...violence de la mer passaient rapidement de l'arrière à* l'avant ; nous fûmes obligés de nous tenir au centre , partie la plus solide du radeau : ceux qui ne purent le gagner périrent presque tous. Sur l'avant et l'arrière les lames déferlaient avec fureur, et...

...violence de la mer , passaient rapidement de l'arrière à l'avant ; nous fûmes obligés de nous tenir au centre , partie la plus solide du radeau : ceux qui ne purent le gagner périrent presque tous. Sur l'avant et l'arrière , les lames déferlaient avec fureur ,...

...violence de la mer , passaient rapidement de l'arrière à l'avant ; nous fûmes obligés- de nous tenir au centre , partie la plus solide du radeau : ceux qui ne purent le gagner périrent presque tous. Sur l 'avant et l'arrière f les lameis déferlaient avec fureur...

...manquait déjà vingt hommes. La nuit suivante fui encore plus affreuse que la précédente; le veut souffla avec une violence extrême; des montagnes...d'impétuosité qu'elles entraînaient les plus vigoureux. On se poussait si fortement au milieu, que quelques infortunés furent étouffés par le poids de leurs camarades,...

...précédente, et les nommes, dans l'impuissance de se tenir sur l'avant ou sur l'arrière,, se réunissaient au centre, partie la plus solide du radeau. Ceux qui ne purent gagner le milieu périrent presque tous. Le rapprochement des hommes y était tel, que quelques-uns...

...précédente, et les hommes, dans l'impuissance de se tenir sur l'avant ou sur l'arrière, se réunissaient au centre, partie la plus solide du radeau : ceux qui ne purent gagner le milieu périrent presque tous. Le rapprochement des hommes y était tel, que quelques-uns...