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NOTES BIBLIOGRAPHIQUES SUR LES AUTEURS LATINS
INSCRITS AUX PROGRAMMES DE 1902 (suite et fin)

III

VIRGILE. Géorgiques, livre III (Grammaire).

Le Virgile de Lemaire (1819), qui reproduit le texte de Chr.-Gottl. Heyne, est toujours utile. La deuxième édition des Bucoliques et des Géorgiques de Benoist (collection Hachette d'éditions savantes à l'usage des professeurs, 1876; prix: 7 fr. 50 c.), a profité des travaux critiques postérieurs à l'édition Lemaire et rend des services.

A partir de 1876, il convient de signaler avec l'édition de Page (P. Vergilii Maronis Bucolica et Georgica with Introduction and Notes, by T.-E. Page, London, 1895) tout spécialement les dernières éditions de Ribbeck et de Conington:

P. Vergilii Maronis opera. Apparatu critico in artius contracto iterum recensuit O. Ribbeck, 4 vol., Leipzig, 1894-1895. Le premier volume, Bucolica et Georgica, a paru en 1894.

The Works of Vergil, with a Commentary by S. Conington and H. Nettleship, 5th Edition, rev. by F. Haverfield, vol. I, Eglogues and Georgics, London, 1898.

Enfin, l'édition classique indispensable est celle de A. Waltz (Virgile, Les Géorgiques, Paris, Armand Colin, 1898). Les candidats y trouveront une abondante notice sur le poème, une étude sur la métrique, des notes critiques et un riche commentaire explicatif.

IV

TIBULLE. Élégies I, 1, III, VII, x; II, 1, v; IV, II, IV, VI (Lettres).

Nous n'avons, en France, ni édition critique, ni édition classique de Tibulle.

Le Tibulle de la collection Lemaire (1826) donne le texte établi par la critique du XVII et du XVIII siècle, un vaste commentaire, des excursus qui ne manquent pas d'utilité, et de curieuses imitations en vers français de la première Elégie du livre I, par Laharpe, Lebrun et Loyson.

La traduction complète en vers de Ph. Martinon (Elégies de Tibulle, LXIII-302 pp. in-8°, Paris, Thorin, 1835) est surtout utile par la notice et le commentaire. On consultera deux thèses latines de la Faculté des Lettres de Paris: G. Larroumet, De quarto Tibulli libro (1882) et G. Doncieux, De Tibulli amoribus (1884).

On trouvera un certain nombre des Élégies inscrites au programme dans les Auswahlen des Élégiaques romains de C. Jacoby (Schulausgaben de Teubner; prix: 60 pfenn.), et de K.-P. Schütze (Sammlung de Weidmann, 3 Auflage, 1890; prix: 2 mark., 40 pfenn.), dans les Elegie scelte de C. Pasca Torino, 1889) et dans l'Anthologie des Poètes latins de A. Waltz, Paris, Hachette, 1896; Élégies I, I, III; II, I, V).

Le Tibulle de Lachmann (Berlin, 1829) se trouve difficilement. L'édition la plus commode et la moins coûteuse (30 pfenn.) est celle que L. Mueller a donnée, en 1870, dans la Bibliotheca Teubneriana.

Il convient de mentionner les travaux considérables qu'un érudit allemand, H. Belling, a publiés ces dernières années sur l'œuvre et sur la critique du texte de Tibulle:

Prolegomena zu Tibullus (Berlin, 1893);
Quæstiones Tibullianæ (Berlin, 1894);

Albius Tibullus. Untersuchung und Text (Berlin. 2 vol. in-8°, 1897; prix: 10 mark.). Cet ouvrage comprend deux parties. La première (vш-412 pp.) est consacrée à de longues recherches sur les Élégies de Tibulle; la deuxième (vш-56 pp.) donne le texte disposé d'après l'ordre chronologique établi dans le vol. I. Les tentatives souvent audacieuses et fantaisistes de H. Belling ont été généralement l'objet d'appréciations très sévères.

V

TACITE. Annales, livre XV (Lettres et Grammaire).

Le Tacite de Lemaire (1819) donne le texte et les commentaires d'Oberlin complétés par Naudet. Celui-ci a publié lui-même, chez Dezobry, à Paris (1845), avec Gibon et Nicolas, une très utile édition classique des Annales, souvent réimprimée (librairie Delagrave) et remplacée elle-même dans les collections scolaires de la librairie Delagrave par l'édition des Annales due à la collaboration de L. Constans et de P. Girbal (tome I, livres I-VI, 1896; tome II, livres XI-XVI, 1898): c'est la plus récente et la meilleure édition classique des Annales.

Entre 1845 et 1896, on peut citer, parmi les travaux publiés en France, les Annales d'Émile Jacob (Paris, Hachette, 1895; édition savante à l'usage des professeurs, 2 vol. gr. in-8°; prix: 15 francs; édition pour les élèves, 1 vol. petit in-16; prix: 2 fr. 50 c.), et les Annales d'Emile Person (Paris, Belin, 1883).

Les ouvrages allemands, mis à profit par les éditeurs français et qui méritent le plus d'être recommandés sont les suivants :

Édition des Annales par K. Halm (Leipzig, Bibliotheca Teubneriana), texte critique sans notes explicatives et avec adnotatio critica. La plus récente édition, la 4o, est de 1886; le fascicule, qui contient les livres XI-XVI, se vend 75 pfenn.

Édition des Annales, texte critique sans notes par K. Nipperdey. Pars II, libros sex postremos continens (Berlin, Weidmann; prix: 60 pfenn.).

Avec commentaires en allemand dans la Sammlung de Weidmann, Annalen, 2o Band, Buch. 11-16, 5° Auflage. Édition de K. Nipperdey, revue par Georg Andresen (prix: 2 mark., 70 pfenn.). Dans les Schulnusgaben de Teubner, Annalen, 2o Band, Buch. 11-16,3° Auflage. Édition de A. Dræger (prix: 2 mark., 25 pfenn.).

En Angleterre, Tacitus, Annales, edited with Introduction and Notes by H. Furneaux, Oxford, Clarendon Press, 1er vol. (livres I-VI), 1884; 2° vol. (livres XI-XVI), 1891. Les deux volumes coûtent 38 sh.

Il est toujours bon de consulter la traduction de Burnouf (Paris, Hachette). L'Élude sur la langue de Tacite de L. Constans (Paris, Delagrave, 1893; prix: 1 fr. 50 c.) complète utilement, sans dispenser de leur lecture, les ouvrages classiques de Gantrelle (Grammaire et style de Tacite, Paris, 1874) et de Dræger (Ueber Syntax und Stil des Tacitus, Leipzig, 1* édit., 1868; 3e édit., 1882).

H. DE LA VILLE DE MIRMONT.

NOTES BIBLIOGRAPHIQUES SUR LES AUTEURS GRECS

PINDARE.

Grammaire).

INSCRITS AUX PROGRAMMES DE 1902

I

Pythiques, I, II (Agrégation des Lettres), IV (Lettres et

Une des dernières éditions de Pindare est celle de W. Christ, l'auteur bien connu d'une métrique grecque et latine, et d'un manuel de littérature grec

que. Christ a publié dans ces dernières années un texte du poète des Odes triomphales Pindari carmina, prolegomenis et commentariis instructa, Lipsia, in ædibus Teubneri, 1896. Cette édition fort soignée coûte une vingtaine de francs. On peut avec elle se dispenser de consulter les autres, surtout si l'on est pressé.

Il en existe une autre, plus récente encore, dont on a dit grand bien dans les revues de philologie. Elle est de l'an dernier : Pindari carmina, recensuit Otto Schrader (Poetæ lyrici græci, coll. Theodor Bergk, ed. V, Partis 1, vol. I. Leipzig 1900, Teubner). Comme on le voit, elle n'est qu'une réédition, la V, des Lyrici græci de Bergk, remaniée et refondue. Je ne l'ai pas sous la main et ne peux dire, après expérience, quelle en est la valeur exacte.

Mentionnons maintenant l'édition critique de Tycho-Mommsen (1864) et celle de Dissen aidé de Schneidewin. Cette dernière est facile à lire. Elle est imprimée en deux volumes in-8°. Le premier parut en 1843, à Gotha: il contient le texte avec des notes critiques. L'autre renferme le commentaire ; il a été publié quatre ans plus tard, en 1847, dans la même ville. Les notes sont en latin.

Enfin tout le monde connaît l'édition monumentale que Boeckh a fait paraître à Leipzig de 1811 à 1821. On la trouve dans la plupart des bibliothèques d'Université. Bien que déjà ancien, ce travail n'a guère vieilli et il sert de base à toutes les éditions modernes. Il comprend deux tomes grand in-8°, de chacun deux parties, où sont imprimées outre le texte, les scholies, une traduction latine et la dissertation célèbre de metris Pindari, dans laquelle Boeckh a expliqué le premier comment les strophes du poète étaient faites. Le commentaire exégétique est dû à Boeckh et à Dissen. Consulter le Lexicon Pindaricum de Rumpel, Leipzig, 1883.

En France, les lecteurs de Pindare doivent être bien peu nombreux, si l'on en juge d'après le nombre des éditions que nous avons publiées de ce poète. Je ne citerai que le travail de Fix et Sommer, paru chez Hachette (Pythiques, in-16, 1 fr. 50).

Il existe plusieurs traductions françaises de Pindare. L'une a été faite par Boissonade et revue par Egger (Hachette, 1867). L'autre est due à Poyard; elle a été publiée chez Garnier, en 1853.

OUVRAGES A CONSULTER.

JULES GIRARD, Études sur la Poésie grecque (art. sur Pindare, p. 75-145), Paris, Hachette, 1884; A. CROISET, La Poésie de Pindare et les lois du lyrisme grec (3° édition), Paris, Hachette; NAGEOTTE, Histoire de la poésie lyrique grecque, Paris, Garnier, 1888-89, 2 vol. in-12. Ajouter les articles

contenus dans les Histoires générales de la Littérature grecque, notamment celles de Bergk, O. Muller, K. Sittl, Christ et Croiset.

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SOPHOCLE. Électre (Agrégation des Lettres). Méme tragédie, 1-1097 (Agrégation de Grammaire).

L'Electre de Sophocle a été souvent imprimée isolément. Je crois que le dernier texte publié est celui de Georg Kaibei: Sophokles Elektra, Leipzig, Teubner, 1896, in-8°. Cette édition faite sur le modèle de l'Herakles de Wilamowitz-Möllendorf, est divisée eu deux parties. D'abord le texte grec avec des notes critiques. Puis le commentaire. Le texte de 1500 vers environ est contenu dans 42 pages. Le commentaire, imprimé en caractères serrés, n'en a pas moins de 260. Il est permis de trouver que Kaibel aurait pu l'abréger. J'avoue ne pas l'avoir lu en entier, et je suis certain que même en Allemagne beaucoup de gens sont comme moi.

Je préfère à cette volumineuse compilation le travail d'Otto Iahn, Bonnæ, apud A. Marcum, editio tertia curata ab Adolfo Michaelis, MDCCCLXXXII, in-8°. Dans son genre cette édition me paraît bien voisine de la perfection. L'introduction contient avec une notice sur les mss. du poète tous les textes de l'antiquité relatifs à Sophocle et à sa tragédie. D'ailleurs 0. lahn s'est donné comme tâche d'expliquer Sophocle surtout d'après l'antique. C'est dire qu'il commente le texte en citant Pausanias, Hésychios, Suidas, les scholiastes d'Homère et des tragiques, Sophocle lui-même, etc., sans négliger ni les monuments figurés, ni les conjectures des modernes là où elles paraissent justifiées. On tirera un grand profit de ce travail. Il est fait avec un soin et une précision admirables. Dans une explication préparée il peut, à lui seul, suffire, pourvu que l'on soit capable de mettre en lumière tous les documents qu'il contient. Il y en a beaucoup.

Voici maintenant une liste des éditions complètes de Sophocle. Celle de Tournier-Desrousseaux est fort connue chez nous, et mérite de l'être. C'est notre édition française. Chacune des sept tragédies comprises dans ce volume se vend séparément 2 fr. 50 (Hachette). On fera bien de comparer ce texte soit avec celui de Wolf-Bellermann (Dritte Aufl. Leipzig, Teubner, 1 fr. 20), soit surtout avec celui de Schneidewin-Nauck (Elektra, achte Aufl. Berlin, Weidmann, 1882, 1 m 50. Réimpressions nombreuses). Cette édition, dont le commentaire est discret et sagace, reste excellente. Nauck par ses travaux sur les tragiques grecs avait fini par acquérir dans la constitution et l'intelligence de leur texte une habileté et une compétence singulières.

Il est inutile si l'on a l'édition française et l'une des éditions allemandes que je recommande soit celle d'O. Jahn, soit celle de Nauck-Schneidewin, de recourir aux travaux qu'ont fait paraître tour à tour Matthiae, Wunder, Elmsley, Erfurdt (revision de G. Hermann) Wecklein et G. Dindorf. Le texte, établi par ce dernier philologue, a été adopté par Benloew dans la Bibliothèque gréco-latine de Didot, et suivi le plus souvent par Tournier.

Il existe deux lexiques de la langue de Sophocle. Celui d'Ellendt parut d'abord en 1826. Il a été remanié et rajeuni par Herm. Genthe, Berolini, 1872, in-8°. L'autre est de G. Dindorf. Il a été publié à Leipzig en 1871. Le premier de ces deux lexiques est le plus connu.

Les scholies de Sophocle ont été éditées par Papageorgios : Scholia in Sophoclis tragedias vetera, 1888, chez Teubner (4 m 80).

Traductions françaises de Bellaguet (Hachette) et de Pessonneaux (Charpentier).

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OUVRAGES A CONSULTER.

W. BRAMBACH, Metrische Studien zu Sophokles, Leipzig, Teubner, 1869;CH. MUFF, Die chorische Technik des Sophokles, Halle, Mühlmann, 1877; H. GLEDITSCH, Die Cantica der Sophokleischen Tragœdien, Wien, Konegen, 1883; P. MASQUERAY, Théorie des formes lyriques de la tragédie grecque, Paris, Klincksieck, 1895. Traité de métrique grecque, Paris, Klincksieck, 1899; SAINT-MARC GIRARDIN, Cours de littérature dramatique, Paris, Charpentier, 5 vol. 1890-1897; PATIN, Études sur les tragiques grecs, Sophocle, vol. II, Paris, Hachette; J. GIRARD, Etude sur la poésie grecque, Paris, Hachette; A. MÜLLER, Lehrbuch der Griechischen Bühnenalterthümer, Freiburg i. B. Mohr, 1886. — O. NAVARRE, Dionysos, Étude sur l'organisation matérielle du théâtre athénien, Paris, Klincksieck, 1895; TH. BERGK, Griech. Literaturgeschichte, III, p. 356-465, Berlin, Weidmann, 1884; · CHRIST, Geschichte der Griech. Litteratur, Dritte Aufl, p. 227-252, München, Beck, 1898. — CROISET, Histoire de la Littérature grecque, III, p. 224-282, Paris, Fontemoing; H. WEIL, Etudes sur le drame antique, Paris, Hachette, 1897. (A suivre.)

AGRÉGATION D'ALLEMAND

NOTES BIBLIOGRAPHIQUES SUR LES AUTEURS INSCRITS
AUX PROGRAMMES DE 1902.

1. Tristan.

Pour s'orienter sommairement sur les questions controversées que soulève la légende de Tristan et Iseult, voir l'article de M. G. PARIS, dans la Revue de Paris, 15 avril 1894, p. 138 ss. où l'on trouvera p. 141 une bibliographie des principaux ouvrages parus jusqu'à cette date sur ce sujet. Consulter encore W. RÖTTIGER, Der heutige Stand der Tristanforschung, Hamburg 1897, cf. MURET, Romania, XXVII, 608 ss. et W. GOLTHER, Literaturblatt für germ. u. rom. Philologie, janv. 1898.

Sur la source directe de Gottfried de Strasbourg, Thomas de Bretagne, voir l'édition du fragment par FRANCISQUE MICHEL (tomes II-III. Londres 1835-39) et BÉDIER, Spécimen d'un essai de reconstruction conjecturale du Tristan de Thomas dans les Forschungen zur rom. Philologie 1900. Comparaison de Gottfried et de Thomas: BOSSERT, Tristan et Iseult, Paris 1865; HEINZEL, Zeitschr. für deutsches Alterthum XIV, 272 ss.; KÖLBING, Die nordische u. d. englische Version der Tristansage, 2 vol. Heilbronn 1878-83: GOLTHER, Die Sage von Tristan u. Isolt, München 1887; FIRMERY, Notes critiques sur quelques traductions allemandes de poèmes français au moyen dge, Paris et Lyon 1901.

Éditions de Gottfried de Strasbourg. Les deux seules éditions aujourd'hui utilisables sont celles de BECHSTEIN (Deutsche Klassiker des Mittelalters, t. VII et VIII) et GOLTHER (éd. Kürschner, t. IV, 2.)

Sur Gottfried de Strasbourg, poète, voir, outre les histoires générales de la littérature allemande, LOBEDANZ, Die altfranzösischen Elemente in Gottfrieds Tristan, Schwerin 1878. PREUSS, Strassburger Studien, I. p. 1 ss.; BAHNSCH, Tristanstudien, Danzig Programm. 1886; HEIDINGSELD, Gottfr. v. Strassburg als Schüler Hartmanns. Leipzig, Dissert., 1887; RŒTTEKEN, Das innere Leben bei Gottfr. v. d.; Zeitschr. f. d. Alterth., XXXIV, 81 ss. (1890); FIRMERY, ouvr. cité.

Sur les versions modernes de la légende de Tristan, voir BECHSTEIN, Tristan und Isolt in deutschen Dichtungen der Neuzeit Leipz. 1876; W. GOLTHER, Tristandichtungen, Litter. Echo, nov. 1901.

Sur Richard Wagner. - OEuvres: Gesammelte Schriften und Dichtungen, 3° éd. Leipzig 1897-98.

Je me

Ouvrages généraux : Sur l'énorme bibliographie wagnérienne, voir OESTERLEIN, Katalog einer R. Wagner-Bibliothek. 4 vol., 1892-95. bornerai à citer: GLASENAPP, Das Leben R. Wagners, 3 édit. Leipzig 1894 ss. (capital pour tout ce qui touche à la biographie de Wagner); CHAMBERLAIN, Das Drama R. Wagner, Leipzig 1892 et R. Wagner, München 1896 (la traduction française qui a paru de ce remarquable ouvrage est incomplète et insuffisante); R. LOUIS. Die Weltanschauung R. Wagner, Leipzig 1898.A. ERNST, L'art de R. Wagner, Paris 1893; H. LICHTENBERGER, R. Wagner poète et penseur, 2o éd. Paris 1898. Études spéciales sur Tristan. Voir surtout M. KUFFERATH, Tristan et Iseult, Bruxelles 1891; puis les articles de GOLTHER Bayreuther Blätter 1888, p. 252 ss. et 1898 p. 115 ss., de KöÖGEL, Bayr. Bl. 1892, 257 ss., de A. SEIDL, Wagneriana, t. I. Berlin 1901. Sur la « question du roi Mark », voir M. WIRTH, König Marke, Leipzig 1882; W. GOLTHER, Bayr. Bl. 1885, p. 154 s.; M. WIRTH, Wagner-Jahrbuch 1885, p. 239 ss.; N. CREUTZBURG, Bayr. Bl. 1887, p. 244 ss.; R. SCHLOSSER, Bayr. Bl. 1893, p. 23 ss. (A suivre.)

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