De la psychologie de Platon |
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... du rôle que joue dans la philosophie de Platon la science de l'âme , en disant qu'elle en est le véritable fondement et le principe solide . Enfin , j'ai formulé en un certain nombre de pro- 7 de positions , et , pour les appeler par 6 ...
... du rôle que joue dans la philosophie de Platon la science de l'âme , en disant qu'elle en est le véritable fondement et le principe solide . Enfin , j'ai formulé en un certain nombre de pro- 7 de positions , et , pour les appeler par 6 ...
Page 11
... nombre ; et que l'âme , qu'il définit par la puissance d'un mouvement spontané agissant sur elle - même et sur le corps , n'est pas une abstraction en rapport avec une autre abstrac- tion , et dont l'acte n'est lui - même qu'une ...
... nombre ; et que l'âme , qu'il définit par la puissance d'un mouvement spontané agissant sur elle - même et sur le corps , n'est pas une abstraction en rapport avec une autre abstrac- tion , et dont l'acte n'est lui - même qu'une ...
Page 28
... nombre des êtres , qui ne tombe ni sous la prise de nos sens , ni sous l'intuition de la raison pure , mais qui est saisi et comme palpé , áττóv , sans sensation , par une espèce de raisonnement bâtard , inspirant une croyance à ...
... nombre des êtres , qui ne tombe ni sous la prise de nos sens , ni sous l'intuition de la raison pure , mais qui est saisi et comme palpé , áττóv , sans sensation , par une espèce de raisonnement bâtard , inspirant une croyance à ...
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... nombre est aux objets : le temps et le lieu ne sont que des espèces d'ordre . » ( Leibnitz , Nouv . Essais , liv . II , ch . IV , § 4. ) 2 Arist . , Physiq . , IV , c . II , § 2 . contre le mot de la dyade que dans un sens 30 PREMIÈRE ...
... nombre est aux objets : le temps et le lieu ne sont que des espèces d'ordre . » ( Leibnitz , Nouv . Essais , liv . II , ch . IV , § 4. ) 2 Arist . , Physiq . , IV , c . II , § 2 . contre le mot de la dyade que dans un sens 30 PREMIÈRE ...
Page 34
... nombre de sept . 2o Les mouvements d'altération ( Théét . , H. Et . , p . 181 , Parménid . , trad . de M. V. Cousin , p . 29 ) , tels que génération et destruction ( Lois , X , p . 893 ) , passage de l'être au non - être ou du non ...
... nombre de sept . 2o Les mouvements d'altération ( Théét . , H. Et . , p . 181 , Parménid . , trad . de M. V. Cousin , p . 29 ) , tels que génération et destruction ( Lois , X , p . 893 ) , passage de l'être au non - être ou du non ...
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Common terms and phrases
1er Alcib absolument acte âme Arist Aristote Banq beau beauté Bossuet cause Charmid connaissance connaître conscience conséquent contemplation contraire corps Cratyle désirs dialectique Dieu dire distinction divine division doctrine de Platon douleur elle-même Ennéad essence éternelle facultés force forme genre idées images immortelle indivisible intel intelligible l'acte l'âme du monde l'âme humaine l'âme pensante l'âme universelle l'amour l'autre l'esprit l'essence divisible l'être l'homme l'idée l'intelligence l'unité Leibnitz logique Lois lui-même M. V. Cousin matière mélange Ménon ment métempsychose morale mortelle mouvement nature nécessaire notion objet organes Parménide passions perfection Phédon Phèdre phénomènes Philèb philosophie physiologique plaisir plaisirs Platon n'a platonicienne Plotin Plutarque principe vital Proclus produit Protag Protagoras psychologie puissance pure qu'une raison rapport réalité réelle réminiscence Rép sagesse sance Schwalbé science sens sensation sentiment serait seule Socrate Sophist substance suivant Platon Théét Théétète théorie théorie des idées Timée tion vérité vertu volonté vrai καὶ τε τὸ
Popular passages
Page 103 - L'homme intérieur est double, il est composé de deux principes différents par leur nature, et contraires par leur action. L'âme, ce principe spirituel, ce principe de toute connaissance, est toujours en opposition avec cet autre principe animal et purement matériel...
Page 23 - O éternel Roi des siècles, vous êtes toujours à vous-même , toujours en vousmême; votre être, éternellement immuable, ni ne s'écoule, ni ne se change, ni ne se mesure : « et voici que vous avez fait • mes jours mesurables , et ma substance n'est rien devant • vous. » Non, ma substance n'est rien devant vous , et tout...
Page 167 - Les philosophes ont été fort embarrassés sur l'origine des formes, entéléchies ou âmes : mais aujourd'hui, lorsqu'on s'est aperçu par des recherches exactes, faites sur les plantes, les insectes et les animaux, que les corps organiques de la nature ne sont jamais produits d'un chaos ou d'une putréfaction, mais toujours par des semences dans lesquelles il y avait sans doute quelque préformation...
Page 167 - C'est ce qui fait aussi qu'il n'ya jamais ni génération entière, ni mort parfaite prise à la rigueur, consistant dans la séparation de l'âme.
Page 192 - Car, comme j'ai déjà remarqué ailleurs , nous ne connaissons point les substances immédiatement par elles-mêmes ; mais de ce que nous apercevons quelques formes ou attributs qui doivent être attachés à quelque chose pour exister , nous appelons du nom de substance cette chose à laquelle ils sont attachés.
Page 337 - C'est elle qui prête aux écrits une grâce toujours nouvelle. On retient une pensée. On ne retient point l'enchaînement des inflexions fugitives et délicates de l'harmonie. Ce n'est pas à l'oreille seulement, c'est à l'âme d'où elle est émanée, que la véritable harmonie s'adresse.
Page 23 - Je ne sais si ce que j'appelle veiller n'est peut-être pas une partie un peu plus excitée d'un sommeil profond ; et si je vois des choses réelles, ou si je suis seulement troublé par des fantaisies et par de vains simulacres.
Page 383 - Il faut donc entendre que l'âme , faite à l'image de Dieu, capable d'entendre la vérité, qui est Dieu même, se tourne actuellement vers son original, c'est-à-dire vers Dieu , où la vérité lui...
Page 379 - Je vous soutiens que vous ne pourriez jamais penser à ces formes abstraites de genres et d'espèces, si l'idée de l'infini, qui est inséparable de votre esprit, ne se joignait tout naturellement aux idées particulières que vous apercevez.
Page 323 - ... pour le plus scélérat des hommes ; que son attachement à la justice soit mis à l'épreuve de l'infamie et de ses plus cruelles conséquences; et que jusqu'à la mort il marche d'un pas ferme, toujours vertueux, et paraissant toujours criminel... Le juste, tel que je l'ai représenté, sera fouetté, mis à la torture, chargé de fers; on lui brûlera les yeux ; à la fin, après avoir souffert tous les maux, il sera mis en croix...