La littérature française au dix-septième siècle |
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... contemporains . Ce n'est pas être quitte avec lui que de dire en passant : c'est un sceptique . Outre que le scepticisme n'est pas la marque d'un esprit médiocre , il est forcément dogmatisme par certains points . Il y a telles matières ...
... contemporains . Ce n'est pas être quitte avec lui que de dire en passant : c'est un sceptique . Outre que le scepticisme n'est pas la marque d'un esprit médiocre , il est forcément dogmatisme par certains points . Il y a telles matières ...
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... contemporains de Descartes ; mais le bon sens indique que , vivant parmi des Français du xvII ° siècle , il faut provisoirement s'accommoder aux opinions ré- - gnantes ; plus tard , Descartes se fera sur DESCARTES 59.
... contemporains de Descartes ; mais le bon sens indique que , vivant parmi des Français du xvII ° siècle , il faut provisoirement s'accommoder aux opinions ré- - gnantes ; plus tard , Descartes se fera sur DESCARTES 59.
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... contemporains bien plus rapprochés que nous des événements et des personnages du drame , bien plus naïfs et abandonnés dans leurs impressions , eut quelque chose de tendre et de reconnaissant . Remués et conquis dans 82 CORNEILLE.
... contemporains bien plus rapprochés que nous des événements et des personnages du drame , bien plus naïfs et abandonnés dans leurs impressions , eut quelque chose de tendre et de reconnaissant . Remués et conquis dans 82 CORNEILLE.
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... contemporains qui nous ressem- blent . Ce qu'il y a d'essentiel dans une œuvre dramatique , ce n'est point l'extérieur , ce que l'on appelle les règles , c'est le sujet , c'est le ressort de l'action . Depuis les Grecs et les Romains ...
... contemporains qui nous ressem- blent . Ce qu'il y a d'essentiel dans une œuvre dramatique , ce n'est point l'extérieur , ce que l'on appelle les règles , c'est le sujet , c'est le ressort de l'action . Depuis les Grecs et les Romains ...
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... contemporains , tous ceux qui un peu plus jeunes , avaient été comme salués à leur entrée dans la vie par ces nobles figures , Rodrigue , Chimène , Pau- line , Sévère , et Laodice et Nicomède , ne purent jamais oublier ces puissantes et ...
... contemporains , tous ceux qui un peu plus jeunes , avaient été comme salués à leur entrée dans la vie par ces nobles figures , Rodrigue , Chimène , Pau- line , Sévère , et Laodice et Nicomède , ne purent jamais oublier ces puissantes et ...
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Common terms and phrases
absolument admirable aime âme Anne d'Autriche années Aristote Arnauld avaient Boileau Bossuet Bruyère c'était cardinal Chapelain chose chrétien Clèves cœur condamne contemporains Corneille cour courtisans critique Descartes Dieu dire écrivains esprit eût fameuse Fayette femme Fénelon fond Fontaine Fronde genre gens de lettres gloire goût héros homme jamais jansénisme jésuites jeune jour l'Académie l'âme l'amour l'auteur l'esprit l'homme l'œuvre langage livre Louis XIV lui-même Mazarin ment Mme de Maintenon Mme de Motteville Mme de Sévigné Molière monde mort Mothe Le Vayer n'avait n'était nature œuvre parler Pascal passé passion pensée père Perrault personnages personne peuple philosophie poésie poète poétique Port-Royal première Princesse de Clèves public Racine raison reine reste Retz Richelieu rien Rochefoucauld saint Saint-Évremond Saint-Simon Sainte-Beuve sais sait satire Scarron scène seigneurs semble sent sera seul société sorte style sujet surtout théâtre tion tragédie trouvé Vaugelas vérité vive Voilà XVIIe siècle yeux
Popular passages
Page 253 - Lorsque vous peignez des héros, vous faites ce que vous voulez; ce sont des portraits à plaisir où l'on ne cherche point de ressemblance, et vous n'avez qu'à suivre les traits d'une imagination qui se donne l'essor et qui souvent laisse le vrai pour attraper le merveilleux. Mais lorsque vous peignez les hommes, il faut peindre d'après nature; on veut que ces portraits ressemblent , et vous n'avez rien fait si vous n'y faites reconnoître les gens de votre siècle.
Page 198 - Console-toi, tu ne me chercherais pas, si tu ne m'avais trouvé. Je pensais à toi dans mon agonie, j'ai versé telles gouttes de sang pour toi.
Page 60 - Mais aussitôt après je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais.
Page 326 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur ? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 438 - On n'a plus parlé de l'État ni des règles ; on n'a parlé que du roi et de son bon plaisir. On a poussé vos revenus et vos dépenses à l'infini. On vous a élevé jusqu'au ciel , pour avoir effacé , disait-on , la grandeur de tous vos prédécesseurs ensemble , c'est-à-dire , pour avoir appauvri la France entière, afin d'introduire à la cour un luxe monstrueux et incurable.
Page 203 - Le style le moins noble a pourtant sa noblesse. Au mépris du bon sens, le burlesque effronté Trompa les yeux d'abord, plut par sa nouveauté : On ne vit plus en vers que pointes triviales; Le Parnasse parla le langage des halles : La licence à rimer alors n'eut plus de frein ; Apollon travesti devint un Tabarin.
Page 392 - Les enfants des Dieux, pour ainsi dire, se tirent des règles de la nature, et en sont comme l'exception. Ils n'attendent presque rien du temps et des années. Le mérite chez eux devance l'âge. Ils naissent instruits, et ils sont plus tôt des hommes parfaits que le commun des hommes ne sort de l'enfance.
Page 336 - Confonds dans ses conseils une reine cruelle. Daigne, daigne, mon Dieu, sur Mathan et sur elle Répandre cet esprit d'imprudence et d'erreur, De la chute des rois funeste avant-coureur!
Page 439 - Vous n'aimez point Dieu ; vous ne le craignez même que d'une crainte d'esclave ; c'est l'enfer, et non pas Dieu que vous craignez.
Page 60 - Puis examinant avec attention ce que j'étais, et voyant que je pouvais feindre que je n'avais aucun corps et qu'il n'y avait aucun monde ni aucun lieu où je fusse, mais que je ne pouvais pas feindre pour cela que je n'étais point...