FablesLes Fables de Jean de La Fontaine sont un recueil de fables écrites en vers, publiées entre 1668 et 1694. Ce livre est considéré comme l'une des œuvres les plus importantes de la littérature française. Il est composé de plus de 200 fables, qui sont des histoires courtes qui enseignent une morale à travers l'utilisation d'animaux comme personnages. Les fables de La Fontaine sont encore lues et étudiées aujourd'hui pour leur style poétique et leur sagesse. Ce livre est un incontournable pour tous les amoureux de la littérature française. À PROPOS DE L'AUTEUR Jean de La Fontaine est un écrivain français célèbre pour ses Fables, un genre littéraire qui utilise des histoires de la vie animale pour enseigner des leçons morales. Il a écrit plus de 250 fables, dont "Le Corbeau et le Renard", "La Cigale et la Fourmi" et "Le Lièvre et la Tortue". Il est né en 1621 dans une famille modeste dans la région de Champagne, mais a réussi à poursuivre des études à Paris et à se faire un nom dans les cercles littéraires de la ville. Il a écrit des fables pour tous les âges et tous les niveaux de compréhension, en utilisant des histoires simples et amusantes pour enseigner des leçons importantes sur la vie et l'humanité. Il est considéré comme l'un des plus grands auteurs de fables de tous les temps et son œuvre est encore lue et appréciée aujourd'hui pour sa sagesse et son humour. |
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... prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des pages. IV. LES. DEUX. MULETS. Deux mulets cheminaient, l'un d'avoine chargé, L'autre portant l'argent de la gabelle[1]. Celui-ci, glorieux d'une charge si belle, N'eût voulu pour ...
... prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des pages. IV. LES. DEUX. MULETS. Deux mulets cheminaient, l'un d'avoine chargé, L'autre portant l'argent de la gabelle[1]. Celui-ci, glorieux d'une charge si belle, N'eût voulu pour ...
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... prince a des dépendants Qui, de leur chef, sont si puissants Que chacun d'eux pourrait soudoyer une armée. Le chiaoux[1], homme de sens, Lui dit : Je sais par renommée Ce que chaque électeur peut de monde fournir ; Et cela me fait ...
... prince a des dépendants Qui, de leur chef, sont si puissants Que chacun d'eux pourrait soudoyer une armée. Le chiaoux[1], homme de sens, Lui dit : Je sais par renommée Ce que chaque électeur peut de monde fournir ; Et cela me fait ...
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... prince, Comme le Transylvain, le Turc et le Hongrois. Au lieu de deux, j'en ai rencontré trois : Il est assez de cette marchandise. De nul d'eux n'est souvent la province conquise : Un quart voleur survient, qui les accorde net En se ...
... prince, Comme le Transylvain, le Turc et le Hongrois. Au lieu de deux, j'en ai rencontré trois : Il est assez de cette marchandise. De nul d'eux n'est souvent la province conquise : Un quart voleur survient, qui les accorde net En se ...
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Adieu animaux Apollon aujourd’hui beau belette berger bête C’est C’était cent cerf chasseur chat chien chose conte corbeau crut d’abord d’aller d’autrui d’en d’être d’eux d’or D’où vient d’un d’une Dieu dieux dire dit-il enfants Ésope fable Fortune gens Grenouilles homme J’ai J’aurai J’en jour Jupiter jusqu’au l’affaire l’ai l’aigle l’air l’âme l’amour L’ÂNE l’animal l’argent l’avait L’avare l’eau l’éléphant l’emporte l’enfant l’esprit l’herbe l’heure L’hirondelle l’histoire l’homme l’honneur l’œil l’oiseau l’ombre l’on l’ours l’un et l’autre l’univers laisse lion logis loup m’en maint maître manger mieux mort mouche mouton n’ai n’aurais n’avait n’en n’est n’était n’eût n’ont n’osait neuf sœurs passer pauvre peine peuple Pilpay plaisir prince qu’à qu’au qu’elle qu’en Qu’est-ce qu’il qu’on qu’un raison renard repartit rien s’allait s’en s’était s’il sage seigneur seul singe sire soin sort souris Styx t’en tête Tircis trésor trouva veux voilà