| İbrahim Fehim - 1890 - 126 pages
...t-Uiifrl JL^ » <_~O A» " <JU^ • • jV . . J& salent en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre, n'était pas moins ravissante,... | |
| Antonio Scoppa - French language - 1812 - 610 pages
...déroulaient en zones diaphanes de satin blanc , se dispersaient en légers tloconi d'c'curne , ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité'. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante;... | |
| Nicolas Gouin Dufief - French language - 1823 - 634 pages
...déroulaient en zoues diaphanes de satin blanc, se dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 474 pages
...m'a fait changer ou retrancher dans mon second travail. bancs d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à l'œil , qu'on croyoit ressentir leur mollesse...élasticité. La scène sur" la terre n'étoit pas moins ravissatrte : le jour céruséen et velouté de la lune, flottoit silencieusement sur la cime des forêts,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - French literature - 1826 - 474 pages
...dans mon second travail. Nouv. ÉD. bancs d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à l'oeil, qu'on croyoit ressentir leur mollesse et leur élasticité....sur la terre n'étoit pas moins ravissante : le jour céruséen et velouté de la lune, flottoit silencieusement sur la cime des forêts, et descendant... | |
| Timothy Flint - Mississippi River Valley - 1828 - 828 pages
...déroulaient en zones diaphanes de satin blanc, se dispersaient en légers flocons d'écumes, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. 'La scène sur la terre n'était pas moins ravissante:... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1834 - 288 pages
...voile, et partout se formoient dans les cieux de grands bancs d'une ouate éblouissante de blancheur, si doux à l'œil, qu'on croyoit ressentir leur mollesse...sur la terre n'étoit pas moins ravissante : le jour céruséen et velouté de la lune flottoit silencieusement sur la cime des forêts, et, descendant... | |
| French language - 1834 - 632 pages
...déroulaient en zones diaphanes de satin blanc, se dispersaient en légers flocons d'écume, ou formaient dans les cieux des bancs d'une ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante... | |
| 1835 - 344 pages
...voiles, se dérouloient en zones diaphanes de satin blanc, se dispersoient en légers flocons d'écume, ou formoient dans les cieux des bancs d'une ouate...lune descendoit dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes de lumière b jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière... | |
| François Noel - 1835 - 596 pages
...diaphanes de satin blanc , se dispersoient en légers flocons d'écume , on formoient dans les cieaxdes , Qu'il pouvoit , snr la terre , n'éloit pas moins ravissante ; le jour bleuâtre et velouté de la lune desccndoit... | |
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