Des jardins en EspagneGallimard, 1969 - 160 pages |
From inside the book
Results 1-3 of 16
Page 21
... silence , si ce n'est les grillons et quelques cigales . Là - bas , le silence était léger , traversé non par le chant , mais par le pépiement des oiseaux . Après le déjeu- ner , on avait encore l'illusion de l'été , mais on évitait l ...
... silence , si ce n'est les grillons et quelques cigales . Là - bas , le silence était léger , traversé non par le chant , mais par le pépiement des oiseaux . Après le déjeu- ner , on avait encore l'illusion de l'été , mais on évitait l ...
Page 80
... silence et une paix comme on n'en fait plus . Pouvions - nous imaginer ce miracle : pas un hôtel dans ce village , pas de touristes à demeure , mais trois maisons de paysans devenus hôteliers , où l'on nous servait des chapons frottés d ...
... silence et une paix comme on n'en fait plus . Pouvions - nous imaginer ce miracle : pas un hôtel dans ce village , pas de touristes à demeure , mais trois maisons de paysans devenus hôteliers , où l'on nous servait des chapons frottés d ...
Page 141
... silence que ne troublait aucun bruit , sinon les cloches de quelque troupeau paissant aux alen- tours . Quand on venait de la route , on franchissait un petit torrent , on passait sous un noble portail , puis on suivait assez longtemps ...
... silence que ne troublait aucun bruit , sinon les cloches de quelque troupeau paissant aux alen- tours . Quand on venait de la route , on franchissait un petit torrent , on passait sous un noble portail , puis on suivait assez longtemps ...
Common terms and phrases
aimé années arbres arrivé assez aurait avaient avant Bagnères beau blanche bois bonne bout c'était chambre changé chemin chose compte côté coup cour d'ailleurs d'autres demande dernier devant devinais dire disait donnait doute écrire enfance enfin entouré faisait fallait femme fenêtre fermé Gabrielle garde gens guère guerre heures heureux homme j'ai j'aurais j'avais j'étais jardin jeune jours jusqu'à l'ai l'oncle Octave l'oncle Pierre l'un laisse livres long longtemps m'as m'avait m'en main maison marches matin ment mieux mois monde montait mort n'ai n'avais n'était nuit parents parler passé peine pendant penser personne petit petite peut-être pièce pied place porte pourrais pouvait première presque qu'à qu'un quitté raconter regard reste retrouve rêve rien route s'il sais savais savoir sentiment serait seul silence soleil sommes sorte souvent suivait table tante Mélanie tard terre tête tour trouvé venait village visage vivait vivre vois voyage voyait vrai yeux