Des jardins en EspagneGallimard, 1969 - 160 pages |
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... fallait que je parte , que je disparaisse , et personne ne pourrait jamais me pardonner . Je des- cendais en toute hâte l'escalier de la terrasse , et là je m'arrêtais , étonné . Les arbres , les hortensias , les bancs , le grand ...
... fallait que je parte , que je disparaisse , et personne ne pourrait jamais me pardonner . Je des- cendais en toute hâte l'escalier de la terrasse , et là je m'arrêtais , étonné . Les arbres , les hortensias , les bancs , le grand ...
Page 32
... fallait le voir , en uniforme d'offi- cier , ce port de tête , ce sourire . Je n'ai connu qu'un gros monsieur vieillissant , mais bavard et drôle . Il avait des yeux un peu globuleux , une petite moustache , de la bonhomie , de la ...
... fallait le voir , en uniforme d'offi- cier , ce port de tête , ce sourire . Je n'ai connu qu'un gros monsieur vieillissant , mais bavard et drôle . Il avait des yeux un peu globuleux , une petite moustache , de la bonhomie , de la ...
Page 80
... fallait grimper comme un singe , trois niveaux , et une sorte de tour en miniature qui s'achevait en terrasse , d'où je regardais le soleil se lever , et les premiers pas de la nuit , le soir , autour du village qu'elle submergeait ...
... fallait grimper comme un singe , trois niveaux , et une sorte de tour en miniature qui s'achevait en terrasse , d'où je regardais le soleil se lever , et les premiers pas de la nuit , le soir , autour du village qu'elle submergeait ...
Common terms and phrases
aimé alen allées après-midi arbres assez assis avaient avais barbacane beau blanche bler c'était chambre château chats chemin chose côté devant devinais devoirs de vacances dimanche dire disait doute écrire enfance entouré étions faisait fauteuil femme femmes allemandes fenêtre Forêt-Noire Gabrielle glycine guerre guerre d'Espagne heures heureux j'ai j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais jamais jardin de Bagnères jours Julien Sorel l'ai l'été l'oncle Octave l'oncle Pierre l'usine livres longtemps m'as m'avait m'en m'était machine magnolias main maison matin ment Miss White Mogador monde mort mourir Mousquetaires n'ai n'avais n'était Nathalie Nollet nuit parents parler passé peine penser personne petit garçon petite peut-être pièce pied porte prairie presque raconter regard rêve rien d'autre roman roses trémières sais salon saules pleureurs savais seul silence soleil sorte soucié souvent t'ai table Tante Méla tante Mélanie tèges tendresse Torcy train triste vacances vallée village visage Vitrolles vivre vois voiture voyage vrai