Des jardins en EspagneGallimard, 1969 - 160 pages |
From inside the book
Results 1-3 of 15
Page 66
... chemin se changeait en rue , passé l'abattoir , montait une légère pente , et aboutissait au grand pont sur l'Adour , au - delà duquel il y avait la ville , les mai- sons grises , l'église et la fontaine qui dan- sait sur la promenade ...
... chemin se changeait en rue , passé l'abattoir , montait une légère pente , et aboutissait au grand pont sur l'Adour , au - delà duquel il y avait la ville , les mai- sons grises , l'église et la fontaine qui dan- sait sur la promenade ...
Page 92
... chemin , tout courant , vers le fond de la vallée . Ce n'était pas pour nous ménager ces émotions charmantes qu'on nous avait menés ici . Les journées étaient intermi- nables , le chemin de l'usine ne conduisait qu'à des salles où les ...
... chemin , tout courant , vers le fond de la vallée . Ce n'était pas pour nous ménager ces émotions charmantes qu'on nous avait menés ici . Les journées étaient intermi- nables , le chemin de l'usine ne conduisait qu'à des salles où les ...
Page 141
... chemin bordé de rosiers qui serpentait dans un verger toujours chargé de fruits et où la chaleur de l'été accablait . Tout au bout , on apercevait le petit château gothique , construit sous le président Jules Grévy , au milieu de sa ...
... chemin bordé de rosiers qui serpentait dans un verger toujours chargé de fruits et où la chaleur de l'été accablait . Tout au bout , on apercevait le petit château gothique , construit sous le président Jules Grévy , au milieu de sa ...
Common terms and phrases
aimé alen allées après-midi arbres assez assis avaient avais barbacane beau blanche bler c'était chambre château chats chemin chose côté devant devinais devoirs de vacances dimanche dire disait doute écrire enfance entouré étions faisait fauteuil femme femmes allemandes fenêtre Forêt-Noire Gabrielle glycine guerre guerre d'Espagne heures heureux j'ai j'allais j'aurais j'avais j'en j'étais jamais jardin de Bagnères jours Julien Sorel l'ai l'été l'oncle Octave l'oncle Pierre l'usine livres longtemps m'as m'avait m'en m'était machine magnolias main maison matin ment Miss White Mogador monde mort mourir Mousquetaires n'ai n'avais n'était Nathalie Nollet nuit parents parler passé peine penser personne petit garçon petite peut-être pièce pied porte prairie presque raconter regard rêve rien d'autre roman roses trémières sais salon saules pleureurs savais seul silence soleil sorte soucié souvent t'ai table Tante Méla tante Mélanie tèges tendresse Torcy train triste vacances vallée village visage Vitrolles vivre vois voiture voyage vrai