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LA SOLITUDE.

Les charmés les avantages de la folitude. SONNET. 185

STANCES.

STANCES.

186

189

Les occupations d'un homme qui vit dans la folitude.

192.

Le Parc de St. James à Londres. ODE.

194

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Pour vivre heureux il faut borner modérer fes défirs.

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La mort n'épargne perfonne, & confond les grands & les

petits. STANCE S.

MADRIGAL.

STANCES.

Sentiment des Philofophes fur la mort.

209

210

-213

217

Ceux qui témoignent le plus de courage quand ils jouiffent de la fanté, font épouvantez comme les autres, quand la mort vient les attaquer.

FABLE.

218

219

On doit attendre la mort avec fermeté, n'en être point

Surpris quand elle arrivera

SONNET IRREGULIER. Sur un avorton.

Epitaphe d'un homme illuftre.

220

222

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224

225

Epitaphe d'un Prêtre. SONNET.

227

DIE U

Epitaphe des plus grands Heros.

Epitaphe d'un Médecin.

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Toutes les créatures doivent louër Dieu, rendre homma

ge à leur Créateur. CANTIQUE.

Idée de la majesté & de la puiffance de Dieu.

STANCES.

SONNET. Sur la mort de notre Sauveur.

227

238

240

241

LES PREDICATEURS. Gefles ridicules que les Prédicateurs doivent éviter. Maniere de compofer les yeux en prêchant.

242

243

Défauts de certains Prédicateurs qui ne reglent pas bien - le mouvement de leurs yeux.

Grimaces qu'on doit éviter en Chaire.

244

245

Le Prédicateur doit inftruire par l'exemple autant que par fes Sermons.

247

A Monfieur Ducros Miniftre de l'Eglife de la Savoye à Londres. STANCES.

QUATRAIN.

248

250

LA GUERRE.

La Bataille de Rameliés. POEME.

251

STANCES. Sur les glorieux fuccès des armes de la Rei

ne de la Grande-Bretagne.

256

Sur les heureux fuccès des Alliez. SONNET.

259

ODE. Sur la Paix, que Guillaume troifiéme a donnée

à l'Europe, ou le Triomphe de Nassau.

260

L'AMITIE'.

Les avantages de l'amitié.

Exemple d'une amitié bien rare,

A Monfieur Balmier. STANCES.

Comment il faut choifir les amis.

266

268

-269

271

Pourquoi de deux perfonnes qu'on voit la premiere fois,

on aime plûtôt l'un que

Parole de Socrate.

Les devoirs de l'amitié.

l'autre.

274 ibid.

275

LA RAISON.

La Raifon nous rend malheureux en troublant nos plaifirs.

* L

A Raison est d'un trifte ufage,
Qu'il eft ennuyeux d'être fage!
De vivre toûjours gravement
Sous les ordres du jugement,
De réfléchir toute fa vie
De peur de faire une folie!

L'Amour n'eut jamais de liens
Raifon, fi fâcheux que les tiens:
En Amour on aime fes peines:
Raifon, tu combats nos défirs,
Contrains ou choques nos plaisirs,
C'eft de toi proprement que nous portons les chaînes.

C'est toi qui caufes les rigueurs
Que nous trouvons avec les Dames:
Tu mets le fcrupule en leurs ames
Tu fais le tourment de leurs cœurs,

Sans toi, fans toi l'Amour n'auroit que des douceurs.'
A

Оп

*ST. EVREMONT,

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