Chrestomathie française: A French reading book containing I. Selections from the best French writers ... II. The masterpieces of Molière, Racine, Boileau, and Voltaire with ... notes, biographical notices, and a vocabulary |
From inside the book
Results 1-5 of 15
Page 70
... rend la vie . On m'a dit qu'à Paris je trouverais du pain : Plusieurs ont raconté dans nos forêts lointaines Qu'ici le riche aidait le pauvre dans ses peines : Eh bien ! moi je suis pauvre , et je vous tends la main . Faites - moi ...
... rend la vie . On m'a dit qu'à Paris je trouverais du pain : Plusieurs ont raconté dans nos forêts lointaines Qu'ici le riche aidait le pauvre dans ses peines : Eh bien ! moi je suis pauvre , et je vous tends la main . Faites - moi ...
Page 80
... rend plusieurs visites , où l'on ne manque jamais de mettre sur le tapis une question galante qui exerce les esprits de l'assemblée . Le jour de la déclaration arrive , qui se doit faire ordinairement dans une allée de quelque jardin ...
... rend plusieurs visites , où l'on ne manque jamais de mettre sur le tapis une question galante qui exerce les esprits de l'assemblée . Le jour de la déclaration arrive , qui se doit faire ordinairement dans une allée de quelque jardin ...
Page 131
... rend intéressant ; et puis c'est la première vocation de l'homme ; il rappelle à l'esprit une idée agréable , et au cœur tous les charmes de l'âge d'or . L'imagination ne reste point froide à l'aspect du labourage et des mois- sons . La ...
... rend intéressant ; et puis c'est la première vocation de l'homme ; il rappelle à l'esprit une idée agréable , et au cœur tous les charmes de l'âge d'or . L'imagination ne reste point froide à l'aspect du labourage et des mois- sons . La ...
Page 133
... rend douloureux , ils ne laissent au fond du cœur qu'une émo- tion légère et douce , et c'est ainsi qu'un heureux climat fait servir à la félicité de l'homme les passions qui font ailleurs son tourment . Je doute qu'aucune agitation vi ...
... rend douloureux , ils ne laissent au fond du cœur qu'une émo- tion légère et douce , et c'est ainsi qu'un heureux climat fait servir à la félicité de l'homme les passions qui font ailleurs son tourment . Je doute qu'aucune agitation vi ...
Page 203
... rend Thésée excusable , Qu'aucuns monstres par moi domptés jusqu ' aujourd'hui , Ne m'ont acquis le droit de faillir comme lui . Quand même ma fierté pourrait s'être adoucie , Aurais - je pour vainqueur dû choisir Aricie ? Ne ...
... rend Thésée excusable , Qu'aucuns monstres par moi domptés jusqu ' aujourd'hui , Ne m'ont acquis le droit de faillir comme lui . Quand même ma fierté pourrait s'être adoucie , Aurais - je pour vainqueur dû choisir Aricie ? Ne ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
aime amant âme amour Aricie avez back beau Callisthène Cathos charme cher chose chrétiens ciel Cléonte cœur conj Corasmin Covielle crime danser deet Died Dieu dieux Dimanche dire dis-je Don Juan Dorante Dorimène esprit êtes Fatime femme fille fils Gellert Géronte give gloire Guillaume Hélas heureux Hippolyte homme j'ai jamais Jour laisse Laquais Lucile Lusignan Lysimaque M.Jour madame madame de Ventadour main maître à danser Maître de mus make malheureux matin ment monsieur Jourdain musique n. f. pl Nér Nérestan ness Nicole one's Oros Orosmane parler Patelin père peuple Phed Phèdre phil plaire pleurs poëte prep pron refl rien sais sang SCÈNE seigneur sentiments seul Sganarelle sœur Solyme sort soudan Tailleur take teev Théramène tion Trézène Troglodytes trouble veux Virginie voilà vois voix Voltaire voulez vowel yeux Zaïre
Popular passages
Page 219 - Oui, Prince, je languis, je brûle pour Thésée. , '• Je l'aime,, non point tel que l'ont vu les enfers Volage adorateur de mille objets divers, Qui va du dieu des morts déshonorer la couche ; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche, Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi, Tel qu'on dépeint nos dieux, ou tel que je vous vois.
Page 56 - Il part; et comme un trésor J'ai depuis gardé son verre, Gardé son verre. — Vous l'avez encor, grand'mère ! Vous l'avez encor ! ' Le voici. Mais à sa perte Le héros fut entraîné. Lui, qu'un pape a couronné, Est mort dans une île déserte. Longtemps aucun ne l'a cru ; On disait : II va paraître. Par mer il est accouru ; L'étranger va voir son maître. Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère, Fut bien amère. — Dieu vous bénira, grand'mère, Dieu vous bénira...
Page 208 - Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n'est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre corps languit sans nourriture.
Page 270 - Il n'est point de serpent , ni de monstre odieux , Qui, par l'art imité , ne puisse plaire aux yeux ; D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Page 157 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 272 - Bientôt l'amour, fertile en tendres sentiments, S'empara du théâtre ainsi que des romans. De cette passion la sensible peinture Est pour aller au cœur la route la plus sûre.
Page 236 - Contrainte d'avouer tant de forfaits divers, Et des crimes peut-être inconnus aux Enfers ! Que diras-tu, mon Père, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 240 - Prenez garde, seigneur: vos invincibles mains Ont de monstres sans nombre affranchi les humains ; Mais tout n'est pas détruit, et vous en laissez vivre Un... Votre fils, seigneur, me défend de poursuivre.
Page 219 - On ne voit point deux fois le rivage des morts, Seigneur : puisque Thésée a vu les sombres bords, En vain vous espérez qu'un dieu vous le renvoie ; Et l'avare Achéron ne lâche point sa proie.
Page 224 - C'est peu de t'avoir fui, cruel, je t'ai chassé. J'ai voulu te paraître odieuse, inhumaine. Pour mieux te résister, j'ai recherché ta haine. De quoi m'ont profité mes inutiles soins ? Tu me haïssais plus, je ne t'aimais pas moins.