Histoire de la Révolution française, Volume 3 |
Contents
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Common terms and phrases
10 août accusés allait armée assemblées assignats attaque autorités Autrichiens avaient Barbaroux Belgique Beurnonville Brissot Buzot c'était camp cause cents Chabot Châlons citoyens Clairfayt Cléry comité commissaires commune conseil exécutif conspirateurs constitution convention nationale courage crimes Croix-aux-Bois Cuesmes Custine Danton déclare décret demande départemens députés devait Dillon dit-il Dumouriez émigrés enfin ennemis ensuite envoyé eût excité fallait fédérés force général girondins Grand-Prey Guadet guerre heures Islettes jacobins Jemmapes jour jugement justice Kellerman l'Argonne l'armée l'assem l'assemblée l'ennemi l'inviolabilité Lafayette législative liberté Longwy Louis XVI Louvet Maillard maire Marat marche massacres membres ment mille hommes ministre mort municipalité n'avait n'était nation nouvelle Pache parole patriotes Pétion peuple place porter pouvait prisonniers prisons procès projet Prussiens question reproches république révolution Rhin Robespierre Roland royale royauté s'était Sainte-Menehould sang Santerre sauver séance sections Sédan septembre serait seul sur-le-champ Temple tion toyens tribunal tribune troupes vait Valmi vention Vergniaud vote voulaient
Popular passages
Page 331 - Mais j'ai été appelé deux fois au conseil de celui qui fut mon maître, dans le temps que cette fonction était ambitionnée par tout le monde; je lui dois le même service, lorsque c'est une fonction que bien des gens trouvent dangereuse.
Page 348 - Je m'arrête devant l'histoire ; songez qu'elle jugera votre jugement, et que le sien sera celui des siècles.
Page 85 - ... la nécessité urgente de s'unir au peuple, et de rendre à la commune, par le rapport du décret de destitution, les pouvoirs dont elle l'avait investie.
Page 348 - Louis était monté sur le trône à vingt ans; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice; il y fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple.
Page 384 - C'était une lettre ainsi conçue : Citoyen président, Ma santé depuis longtemps affaiblie me rend l'habitude de la vie d'une assemblée aussi orageuse que la Convention impossible. Mais ce qui m'est plus impossible encore, c'est de supporter la honte de m'asseoir dans son enceinte avec des hommes de sang, alors que leur avis, précédé de la terreur, l'emporte sur celui des gens de bien ; alors que Marat l'emporte sur Pétion. Si l'amour de mon pays m'a fait endurer...
Page 349 - On vient de vous exposer mes moyens de défense :-' je ne les renouvellerai point. En vous parlant peut-être pour la dernière fois , je vous déclare que ma conscience ne me reproche' rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation , l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et sur-tout que les malheurs du...
Page 224 - La sensibilité qui gémit presque exclusivement pour les ennemis de la liberté m'est suspecte. Cessez d'agiter sous mes yeux la robe sanglante du tyran, ou je croirai que vous voulez remettre Rome dans les fers.
Page 318 - Juste ciel ! toutes les hordes féroces du despotisme s'apprêtent à déchirer de nouveau le sein de notre patrie au nom de Louis XVI ! Louis combat encore contre nous du fond de sa prison, et l'on doute s'il est coupable, s'il est permis de le...
Page 360 - Critias, les Anitus, les César, les Clodius étaient de la majorité ; mais Socrate était de la minorité, car il avala la ciguë ; Caton était de la minorité, car il déchira ses entrailles.
Page 395 - Je meurs innocent de tous les crimes qu'on m'impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort, et je prie Dieu que le sang que vous allez répandre ne retombe jamais sur la France.