Histoire de Napoléon Ier, Volume 3Charpentier, 1869 - France |
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Popular passages
Page 301 - Les positions que nous occupons sont formidables , et pendant qu'ils marcheront pour tourner ma droite , ils me présenteront le flanc. « Soldats, je dirigerai moi-même tous vos bataillons; je me tiendrai loin du feu, si avec votre bravoure accoutumée...
Page 365 - N'y at-il pas des motifs particuliers qui doivent plus fortement nous attacher à Napoléon Ier, notre Empereur? R. — • Oui : car il est celui que Dieu a suscité dans les circonstances difficiles pour rétablir le culte public de la religion sainte de nos pères, et pour en être le protecteur. Il a ramené et conservé l'ordre public par sa sagesse profonde et active; il défend...
Page 325 - Pour le pape, je suis Charlemagne, parce que, comme Charlemagne, je réunis la couronne de France à celle des Lombards et que mon empire confine avec l'Orient. J'entends donc que l'on règle avec moi sa conduite sur ce point de vue. Je ne changerai rien aux apparences, si l'on se conduit bien. Autrement je réduirai le pape à être évêque de Rome...
Page 111 - ... j'ai senti de plus en plus que, dans une circonstance aussi nouvelle qu'importante , les conseils de votre sagesse et de votre expérience m'étaient nécessaires pour fixer toutes mes idées. » Je vous invite donc à me faire connaître votre pensée tout entière.
Page 111 - l'hérédité de la suprême magistrature nécessaire pour mettre le peuple » à l'abri des complots de nos ennemis et des agitations qui naîtraient » d'ambitions rivales. Plusieurs de nos institutions vous ont en même » temps paru devoir être perfectionnées pour assurer sans retour le » triomphe de l'égalité et de la liberté...
Page 119 - J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. « Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. » J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.
Page 255 - Vous-mêmes, vous avez dû accourir à marches forcées à la défense de nos frontières; mais déjà vous avez passé le Rhin Nous ne nous arrêterons plus que nous n'ayons assuré l'indépendance du corps germanique, secouru nos alliés et confondu l'orgueil de nos injustes agresseurs.
Page 365 - R. Les chrétiens doivent aux princes qui les gouvernent, et nous devons en particulier à Napoléon Ier , notre empereur, l'amour, le respect, l'obéissance, la fidélité, le service militaire, les tributs ordonnés pour la conservation et la défense de l'Empire et de son trône ; nous lui devons encore des prières ferventes pour son salut et pour la prospérité spirituelle et temporelle de l'État.
Page 93 - Je fais avec instance la demande d'avoir une « audience particulière du Premier Consul. Mon « nom, mon rang, ma façon de penser et l'horreur « de ma situation me font espérer qu'il ne se
Page 253 - C'est dans cet instant que s'est dévoilée la méchanceté des ennemis du continent : ils craignaient encore la manifestation de mon profond amour pour la paix; ils craignaient que l'Autriche, à l'aspect du gouffre qu'ils avaient creusé sous ses pas, ne revînt à des sentiments de justice et de modération ; ils l'ont précipitée dans la guerre.