Les matinées du samedi: livre d'éducation morale et religieuse à l'usage de la jeunesse israélite |
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Abboth âme avaient bienfaisance bientôt bonheur bonne bonté calme cesse chrétiens ciel cœur communauté conscience Consistoire central consolation courage Créateur culte d'Israël David David Blum Deutéronome devant devint dévouement Dieu divine donner douleur enfants envers famille fanatisme femme fille fils force fortune frères Gontrand Hénoch heureux homme Isaïe Israé Israël Israélites j'ai Jérusalem jeune joie Jonathas Joseph jour juifs juive juste justice Konitz l'âme l'empereur l'Éternel l'homme l'humanité laisser larmes lois Louise Scheppler Maïmon Maimonides main malade malheur MATINÉE médecin ment mère misère modeste Moïse Moïse Mendelsohn monde Monnard mort paroles passé pauvre pensée père Péreire peuple pleurs porte prière Proverbes Psaume Rabbi Rabbi Akiba Rabbi Meïr rabbin raison Rebecca religieuse religion répondit reprit respect reste Romains rue des Billettes ruine s'écria s'était sacrifice sage sainte Saül Seigneur sentiments sera seul Simon Michel sort succès synagogue Talmud temple terre tion trouva vertu vint voilà voix yeux
Popular passages
Page 409 - Ces Juifs, dont vous voulez délivrer la nature, Que vous croyez, Seigneur, le rebut des humains, D'une riche contrée autrefois souverains, Pendant qu'ils n'adoraient que le Dieu de leurs pères, Ont vu bénir le cours de leurs destins prospères.
Page 404 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le Lieu saint ce Pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, Cité perfide ! Des Prophètes divins malheureuse homicide.
Page 405 - Seigneur, dans ta Gloire adorable Quel mortel est digne d'entrer • ? Qui pourra , grand Dieu , pénétrer Ce sanctuaire impénétrable , Où tes saints inclinés , d'un œil respectueux , Contemplent de ton front l'éclat majestueux...
Page 400 - On dit que ce brillant soleil N'est qu'un jouet de ta puissance, Que sous tes pieds il se balance Comme une lampe de vermeil.
Page 414 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 411 - Ils conjuraient ce Dieu de veiller sur vos jours, De rompre des méchants les trames criminelles, De mettre votre trône à l'ombre de ses ailes.
Page 399 - Dieu que jusqu'alors il avait oublié. La voix de l'univers à ce Dieu me rappelle ; La terre le publie: Est-ce moi, me dit-elle, Est-ce moi qui produis mes riches ornements ? C'est celui dont la main posa mes fondements. Si je sers tes besoins, c'est lui qui me l'ordonne : Les présents qu'il me fait, c'est à toi qu'il les donne.
Page 398 - Par quel ordre, ô soleil ! viens-tu du sein de l'onde Nous rendre les rayons de ta clarté féconde ? Tous les jours je t'attends, tu reviens tous les jours : Est-ce moi qui t'appelle, et qui règle ton cours ? Et toi dont le courroux veut engloutir la terre, Mer terrible, en ton lit quelle main te resserre P Pour forcer ta prison tu fais de vains efforts ; La rage de tes flots expire sur tes bords.
Page 409 - L'Éternel est son nom, le monde est son ouvrage; II entend les soupirs de l'humble qu'on outrage, ", Juge tous les mortels avec d'égales lois, Et du haut de son trône interroge les rois.
Page 397 - Sous ton joug trouvent d'attraits ! Ta crainte inspire la joie ; Elle assure notre voie ; Elle nous rend triomphants : Elle éclaire la jeunesse , Et fait briller la sagesse Dans les plus faibles enfants. Soutiens ma foi chancelante , Dieu puissant ; inspire-moi Cette crainte vigilante Qui fait pratiquer ta loi.