Œuvres completes de Voltaire, Volume 10 |
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ainfi armée auffi bataille beau Bourbon bras c'eft c'eſt c'était cent CHANT Charles chef chercher ciel cieux cœur combats conduit corps côté coup cour courage crime devant DIEU dire doit donner enfin ennemis eſt eût faible fainte fang fans fecours fervir feul fils foit foldats fond font force formé forte fous frère fuit fujet fureur génie gloire goût grec guerre Guife haut Henri Henriade héros heureux Homère hommes humains jeune jour juger l'amour l'auteur l'autre l'édition l'un laiffe lieu Ligue loin lois Louis lui-même main maître malheureux marche Mayenne monde mort n'eft nation paffé parle père peuple pieds plein poëme poëte porte premier prince qu'à qu'un regards règne reine religion rien rois Rome s'il ſes terre tête tomber traits trône trouve tué Valois vérité vertu Virgile voit voix vole voyant vrai yeux
Popular passages
Page 43 - C'est d'un scrupule vain s'alarmer sottement, Et vouloir aux lecteurs plaire sans agrément. Bientôt ils défendront de peindre la Prudence, De donner à Thémis ni bandeau ni balance, De figurer aux yeux la Guerre au front d'airain...
Page 78 - Et de mon sang glacé souillez ces cheveux blancs Que le sort des combats respecta quarante ans; Frappez, ne craignez rien : Coligny vous pardonne; Ma vie est peu de chose, et je vous l'abandonne. J'eusse aimé mieux la perdre en combattant pour vous.
Page 372 - L'invention de la poudre, celle de la boussole, de l'imprimerie, tant d'autres arts qui ont été apportés récemment dans le monde, ont en quelque façon changé la face de l'univers. Il faut peindre avec des couleurs vraies comme les anciens, mais il ne faut pas peindre les mêmes choses.
Page 78 - Des assassins trop lents il veut hâter les coups: Aux pieds de ce héros il les voit trembler tous.
Page 147 - Du Dieu qui nous créa la clémence infinie, Pour adoucir les maux de cette courte...
Page 56 - Si son ombre embellit les traits de ta lumière, Avec moi sur tes pas permets-lui de marcher, Pour orner tes attraits, et non pour les cacher.
Page 147 - L'un, quand l'homme accablé sent de son faible corps Les organes vaincus sans force et sans ressorts, Vient par un calme heureux secourir la nature, Et lui porter l'oubli des peines qu'elle endure. L'autre anime nos cœurs, enflamme nos...