Quelques chapitres de la vie et des voyages du célébre Monsieur Boudin: suivis des secondes noces du Seigneur Pandolphe et du songe d'une nuit d'été dans la parc de Versailles |
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... chose , ma foi ! N'est - il pas mieux de marcher en homme , régulièrement , sans orgueil comme sans mollesse , sans précipitation ni lenteur , sans roideur ni balancement , passibus æquis . Les hommes , disait - il un jour , ne sont pas ...
... chose , ma foi ! N'est - il pas mieux de marcher en homme , régulièrement , sans orgueil comme sans mollesse , sans précipitation ni lenteur , sans roideur ni balancement , passibus æquis . Les hommes , disait - il un jour , ne sont pas ...
Page 27
... chose , dans ses récits amoureux , de la plus minutieuse exactitude . M. Boudin offrit galamment son bras à sa voisine en ' descendant de voiture ; et , comme ils entraient tous deux dans la cour de l'hôtel , la dame aux yeux bruns s ...
... chose , dans ses récits amoureux , de la plus minutieuse exactitude . M. Boudin offrit galamment son bras à sa voisine en ' descendant de voiture ; et , comme ils entraient tous deux dans la cour de l'hôtel , la dame aux yeux bruns s ...
Page 32
... chose que d'être colossal ou im- perceptible entre ses repas ! Cela est fort gai . Quant à moi , je n'ai jamais connu de géants , je le déclare , qui n'eussent le mot pour rire . » La tente de M. Joseph Gorrhes était décorée exté ...
... chose que d'être colossal ou im- perceptible entre ses repas ! Cela est fort gai . Quant à moi , je n'ai jamais connu de géants , je le déclare , qui n'eussent le mot pour rire . » La tente de M. Joseph Gorrhes était décorée exté ...
Page 50
... chose que d'avoir un cœur aussi sensible , une âme aussi avide d'émotions douloureuses ... » Ce disant , en gémissant , M. Joseph Gorrhes éten- dait son bras au - dessus de la tête du père Picard , qui tenait le nez baissé , et riait ...
... chose que d'avoir un cœur aussi sensible , une âme aussi avide d'émotions douloureuses ... » Ce disant , en gémissant , M. Joseph Gorrhes éten- dait son bras au - dessus de la tête du père Picard , qui tenait le nez baissé , et riait ...
Page 61
... chose à faire , nous ne soufflerons mot . » La demoiselle remercia du regard le bon jeune homme , qui lui venait en aide , et elle dit à voix basse : « Je demeure si loin ! Allons , allons , s'écria M. Garo , qui faisait pro- fession de ...
... chose à faire , nous ne soufflerons mot . » La demoiselle remercia du regard le bon jeune homme , qui lui venait en aide , et elle dit à voix basse : « Je demeure si loin ! Allons , allons , s'écria M. Garo , qui faisait pro- fession de ...
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Common terms and phrases
Acomat aimait Allons Amouna amoureux Anglais balcon bâton beau belle Berthe blanc boléro bras Brown chaise charmante cher cheveux Chinois cœur cornac coup cousin cymbales dame demoiselle devant diable Dieu disait divan dolphe DON SERTORIUS douce doux embrassez-moi épaules estomac êtes eût femme fenêtre fille Frédéric Garo géant Hélas homme HYACINTHE j'ai j'avais jeune ami jeune baron jeune Boudin jeune philosophe Joseph Gorrhes jour JULIEN jure laisser larmes Laura leva lèvres m'en madame Boudin madame Dubreuil madame Gertrude Madame Ollaliah mademoiselle Mélanie main maître Baldo mameluks manger ment milady Miss-Nelly monsieur pâle Parbleu parc de Versailles passer pauvre pense père Picard perfide Albion petit petite phalanstère pieds Plâtrière pleurer poëte poiriers Pou-Tzin regard Riquetta rire Rodolphe rouge s'écria sais Sardaigne seigneur Pandolphe semblait sentit seul silence sœur soir sourire squire Stella tête tourna Trois-Étoiles veux vieux peintre visage voilà voix yeux
Popular passages
Page 100 - CHAMPS Autrefois le Rat de ville Invita le Rat des champs, D'une façon fort civile, A des reliefs d'Ortolans. Sur un Tapis de Turquie Le couvert se trouva mis. Je laisse à penser la vie Que firent ces deux amis.
Page 110 - ... ils peuvent passer pour vrais , et les avoir trompées; enfin, ils peuvent avoir reçu d'une femme les services, les marques de dévouement qui lieraient ensemble deux amis, deux compagnons d'armes, qui déshonoreraient l'un des deux, s'il se montrait capable de les oublier; ils peuvent les avoir reçus d'une femme, et se dégager de tout, en attribuant tout à l'amour, comme si un sentiment, un don de plus diminuait le prix des autres.
Page 60 - C'est assez, dit le rustique ; Demain vous viendrez chez moi : Ce n'est pas que je me pique De tous vos festins de Roi ; Mais rien ne vient m'interrompre Je mange tout à loisir. Adieu donc ; fi du plaisir Que la crainte peut corrompre.
Page 19 - Je vois l'image de ma vie. Tu remets dans mon souvenir Ce qu'un jour je dois devenir, N'étant qu'une cendre animée ; Et tout d'un coup je m'aperçois Que, courant après la fumée, Je passe de même que toi.
Page 226 - Oui, puisque je retrouve un ami si fidèle, Ma fortune va prendre une face nouvelle ; Et déjà son courroux semble s'être adouci Depuis qu'elle a pris soin de nous rejoindre ici.
Page 238 - ... exemple la série des amateurs de poires. Voici comment Fourier a procédé : SÉRIE DE LA CULTURE DES POIRIERS, COMPOSÉE DE TRENTE-DEUX GROUPES. Division Progression numérique. Genre de culture. 1. Avant-poste.
Page 102 - Ah ! s'il m'était donné seulement pour vingt-quatre heures d'arranger le monde à ma fantaisie, je vous divertirais par un spectacle bien étrange : en un moment j'ôterais à chaque âme les parties de sa demeure qui lui sont superflues, et vous verriez chaque personne caractérisée par celle qui lui resterait.
Page 97 - Ne fais pas aux autres ce que tu ne veux pas qu'on te fasse,— ne peut vivre honnête et proopère.
Page 55 - Ma fille, lui dit-il, glanez près des javelles; « Les pauvres ont des droits sur des moissons si belles. « Mais vers ces deux palmiers suivez plutôt mes pas ; « Venez des moissonneurs partager le repas; « Le maître de ce champ par ma voix vous l'ordonne ; « Ce n'est que pour donner que le Seigneur nous donne.
Page 110 - ... de la moralité même, selon l'opinion d'un monde injuste, semblent suspendues dans les rapports des hommes avec les femmes ; ils peuvent passer pour bons, et leur avoir causé la plus affreuse douleur, que la puissance humaine puisse produire dans une autre ame; ils peuvent passer pour vrais, et les avoir trompées : enfin, ils peuvent avoir reçu d'une femme les services, les marques de dévouement qui lieraient ensemble deux amis, deux compagnons d'armes, qui déshonoreraient l'un...