DU LANGAGE ET DE SON RÔLE DANS LA CONSTITUTION DE LA RAISON OU VUES PHILOSOPHIQUES SUR L'ORIGINE DES CONNAISSANCES HUMAINES. PAR L.-F. JEHAN (DE SAINT-CLAVIEN), CHEZ JACQUES LECOFFRE ET CE, ÉDITEURS, 1852 Bequest o Convers Frances2I. Quodcunque cogitaveris, sermo est; quodcunque senseris, ratio est. Loquaris illud in animo necesse est et dum loqueris, collocutorem pateris sermonem, in quo inest hæc ipsa ratio qua, cum eo cogitans, loqueris, per quam loquens, cogitas. Ita, secundus quodammodo in te est sermo, per quem loqueris cogitando et per quem cogitas loquendo. TERTULLIEN, au commencement du livre contre Praxéas, c. V. Il est impossible de méditer quelques instants avec attention ce grand et étonnant problème : L'homme élevé, par l'usage des signes, à la dignité d'homme, sans s'apercevoir qu'il doit renfermer les plus précieuses et les plus importantes données, pour la solution des problèmes qui composent l'étude de l'intelligence humaine. DEGÉRANDO, Des signes et de l'art de penser, t. I, introd. OUVRAGES DE M. L. F. JÉHAN (DE SAINT-CLAVIEN ), Membre de la Société géologique de France, NOUVEAU TRAITÉ DES SCIENCES GÉOLOGIQUES. Considérées dans leurs rapports avec la religion, et dans leur application générale à l'industrie et aux arts, avec un tableau figuratif des terrains, et la représentation des fossiles les plus caractéristiques et les plus curieux. Ouvrage dédié à Mer l'archevêque de Tours, et adopté pour l'enseignement dans la plupart des petits et grands séminaires. Nouvelle édition, 1 vol. in-12. |