Marie a levé les yeux au ciel , et les a baissés aussitôt sur son ouvrage. — Je vous entends , Marie ; c'est au ciel que vous reportiez ce bien si pur, la reconnaissance d'une mère ! Mais ces yeux baissés m'apprennent aussi combien votre âme.... Oeuvres de Madame de Souza - Page 209by Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 477 pagesFull view - About this book
| Adelaïde-Marie-Emilie Filleul de Flahaut de Souza - 1802 - 164 pages
...vos sœurs. - » • • i -. -i Miss Sara caressoit les chiens de son. père. Lord Seymour regardoit sa femme d'un air mécontent. On est tombé dans un...seconde fille. J'ai été présenté à ces dames. Kilos ont fait peu d'attention à moi jusqu'à l'inatant où mon père a dit que j'arrivois d'Oxford.... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1821 - 480 pages
...si pur, la reconnaissance d'une mère ! Mais ces yeux baissés m'apprennent aussi combien votre ame sensible craint de blesser vos sœurs. Miss Sara caressait...a dit que j'arrivais d'Oxford. — « Dieu! s'est M écriée miss Eudoxie, vous devez bien re» gretter une ville qui renferme tant de sa» vans! Les... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - French fiction - 1845 - 526 pages
...votre âme sensible craint de blesser vos sœurs. Miss Sara caressait les chiens de son porc, l »il Seymour regardait sa femme d'un air mécontent. On...vous devez bien regretter une ville qui renferme tant de savants ! Les livres seuls peuvent remplacer leur conversation. * — L'embarras de Marie , l'inquiétude... | |
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