vous pouvez compter sur ma considéra» lion, ma déférence et mes égards. » — Je m'assis près de lui : Adèle me demanda si enfin j'avais lu cette lettre que j'avais reçue avec tant de mystère ? Ce monsieur s'empressa d'assurer que j'étais... Oeuvres de Madame de Souza - Page 97by Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 477 pagesFull view - About this book
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1798 - 250 pages
...considération , ma défé„rence, & mes égards.,. Je m'assis près de lui : Adèle me demanda si enfin j'avais lu cette lettre que j'avais reçue avec tant...d'assurer que j'étais certainement trop poli , gracieux & civil , pour ne pas prévenir ses desirs ! — Je lui répondis que les Anglais n'étaient pas si... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1821 - 480 pages
...considéra» lion, ma déférence et mes égards. » — Je m'assis près de lui : Adèle me demanda si enfin j'avais lu cette lettre que j'avais reçue avec tant...rudesse.— Pourquoi rudesse, lui demandai-je avec élonnement? — Monsieur, me répondit-il, nous appelons souvent rudesse, et sûrement mal-à-propos,... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - French fiction - 1845 - 526 pages
...considération , ma déférence et mes égards. » — Je m'assis près de lui ; Adèle me demanda si eotin j'avais lu cette lettre que j'avais reçue avec tant...Je lui répondis que les Anglais n'étaient pas si galants. « Ils ont raison, dit-il, car peut-être plaisent-ils davantage par leur ingénuité . leur... | |
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