Revue des deux mondesAu bureau de la Revue des deux mondes., 1853 |
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Common terms and phrases
Adeline Américains anglais assez aujourd'hui avaient Barbier Barbier de Séville BARTHOLO beau Beaumarchais Bédarieux c'était caractère Caucase chose cœur comédie Comédie-Française comte Cosaques côté Daghestan Danemark destinée devant Dieu dire donner doute dramatiques enfans esprit États-Unis eût femme Figaro force forme général gens goût gouvernement Grèce guerre guerre du Caucase hommes idées j'ai jamais jeune jour jusqu'à Kabarda l'Angleterre l'art l'auteur l'église l'esprit l'Europe l'histoire laisser Lazare liberté Lodève longtemps lutte Macao main Mariage de Figaro ment Mexique millions monde morale moyen âge n'avait n'était New-York Ossètes parler passé passion pays peine pensée peuple peut-être philosophie pièce poésie politique population porte pouvait premier presque prince puissance qu'un question raison religieux représentation reste révolution rien Rochelle Russie s'est s'était saint Anselme sait semble sentimens sentiment serait seul société soldats sorte succès surtout système Tcherkesses Tchétchens termites terre théâtre tion trouve vérité Villeneuvette vrai XVIIIe siècle yeux Zéphyr
Popular passages
Page 537 - Madrid que la république des lettres était celle des loups, toujours armés les uns contre les autres, et que, livrés au mépris où ce risible acharnement les conduit, tous les insectes, les moustiques, les cousins, les critiques, les maringouins...
Page 239 - A l'ouverture de la séance, il le posa sur la table du roi, disant: « Sire, voilà de quoi vos sujets se nourrissent !... » Dimanche dernier, le roi traversait le faubourg Saint-Victor.
Page 174 - Ah! quel bonheur d'aller en mer! Par un ciel chaud, par un ciel clair, La mer vaut la campagne; Si le ciel bleu devient tout noir, Dans nos cœurs brille encor l'espoir, Car Dieu nous accompagne. Le bon Jésus marchait sur l'eau, Va sans peur, mon petit bateau.
Page 559 - M. Corneille nous a fait un grand tort; nous avions ci-devant des pièces de théâtre pour trois écus, que l'on nous faisoit en une nuit, on y étoit accoutumé, et nous gagnions beaucoup. Présentement les pièces de M. Corneille nous coûtent bien de l'argent, et nous gagnons peu de chose.
Page 235 - ... au roi dans sa dédicace, lequel demeure en sûreté sous son figuier, cultivant sa terre, et comme à l'abri de Votre Majesté, qui a à ses côtés la justice et la paix. Le fatal génie qui préside à nos destinées ne permit pas longtemps ce calme...
Page 239 - Au moment où j'écris, en pleine paix, avec les apparences d'une récolte, sinon abondante, du moins passable, les hommes meurent tout autour de nous comme des mouches, de pauvreté, et broutant l'herbe. Les provinces du Maine, Angoumois, Touraine, Haut-Poitou, Périgord, Orléanais, fierry, sont les plus maltraitées; cela gagne les environs de Versailles.
Page 542 - Qui diable est-ce donc qu'on trompe ici? Tout le monde est dans le secret ! BARTHOLO, haut.
Page 579 - Nous jouons vos pièces, parce qu'elles nous fournissent de bonnes recettes, et nous les jouerons malgré vous, malgré tous les décrets du monde, et je ne conseille à personne de venir nous en empêcher, il y passerait mal son temps. » Mais Beaumarchais n'était pas homme à se décourager dans la défense d'une cause juste. Jusqu'à la fin de sa vie il se constitua, auprès des ministres de la monarchie ou de la république, le patron des auteurs dramatiques, et une de ses dernières lettres...
Page 563 - Il ya beaucoup d'objets, me dit-il, sur lesquels nous ne pouvons offrir à MM. les auteurs qu'une cote mal taillée. - Ce que je demande à la Comédie, beaucoup plus que l'argent, lui répondis-je, est une cote bien taillée, un compte exact, qui puisse servir de type ou de modèle à tous les décomptes futurs, et ramener la paix entre les acteurs et les auteurs. -Je vois bien, me dit-il en secouant la tête, que vous voulez ouvrir une querelle avec la Comédie.
Page 542 - Grimm au sujet du Barbier, jamais première représentation n'attira plus de monde. — On ne pouvait, dit de son côté La Harpe dans sa Correspondance , on ne pouvait paraître dans un moment plus marqué de faveur populaire, ni attirer un plus grand concours 1.