Œuvres complètes de Voltaire, Volume 70la Société littéraire-typographique, 1789 - Authors, French |
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... Monfieur , ne me parlez plus de cet homme - là , et laissez - moi mourir en repos , répondit Voltaire . Alors le prêtre annonça qu'il ne pouvait s'empê- cher de lui refuser la sépulture . Il n'en avait pas le droit , car , fuivant les ...
... Monfieur , ne me parlez plus de cet homme - là , et laissez - moi mourir en repos , répondit Voltaire . Alors le prêtre annonça qu'il ne pouvait s'empê- cher de lui refuser la sépulture . Il n'en avait pas le droit , car , fuivant les ...
Page 185
... Monfieur , les obligations infinies que je vous ai . Votre bon cœur est encore bien au - dessus de votre esprit , et vous êtes l'ami le plus essentiel qui ait jamais été . Le zèle avec lequel vous m'avez servi , me fait en quelque forte ...
... Monfieur , les obligations infinies que je vous ai . Votre bon cœur est encore bien au - dessus de votre esprit , et vous êtes l'ami le plus essentiel qui ait jamais été . Le zèle avec lequel vous m'avez servi , me fait en quelque forte ...
Page 186
... Monfieur , de faire enforte que l'ordre du roi soit levé par une autre lettre de cachet en cette forme : Le roi , informé de la fausseté de l'accufation intentée contre le fieur abbé Desfontaines , confent qu'il demeure à Paris . Si ...
... Monfieur , de faire enforte que l'ordre du roi soit levé par une autre lettre de cachet en cette forme : Le roi , informé de la fausseté de l'accufation intentée contre le fieur abbé Desfontaines , confent qu'il demeure à Paris . Si ...
Page 187
... Monfieur , en ne me croyant point coupable d'aucune mauvaise intention . J'ose même vous protester que jamais je n'en ai eu , et que jamais amant n'a aimé plus tendrement une maîtresse , que je vous ai toujours aimé , malgré tout ce qui ...
... Monfieur , en ne me croyant point coupable d'aucune mauvaise intention . J'ose même vous protester que jamais je n'en ai eu , et que jamais amant n'a aimé plus tendrement une maîtresse , que je vous ai toujours aimé , malgré tout ce qui ...
Page 188
... Monfieur , Votre très - humble , & c . Demoulin . Billet du même . Je soussigné reconnais que M. de Voltaire ayant prêté à ma femme et à moi la somme de vingt - fept mille livres , et vu le mauvais état de nos affaires , ayant bien ...
... Monfieur , Votre très - humble , & c . Demoulin . Billet du même . Je soussigné reconnais que M. de Voltaire ayant prêté à ma femme et à moi la somme de vingt - fept mille livres , et vu le mauvais état de nos affaires , ayant bien ...
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affez ainſi aſſez auſſi avaient beſoin c'eſt c'était cauſe choſe CORRECTIONS d'Argental diſait diſcours duc de Choiseul eſpèce eſprit eſt faibleſſe faint fanatiſme fans fefait feſait font françaiſe Frédéric gens de lettres Henriade hommes idem j'ai jéſuites jeuneſſe juſqu'à juſte juſtice l'abbé l'auteur l'eſprit l'Europe l'hiſtoire laiſſer liberté Lign long-temps lorſque Louis XIV madame de Châteauroux madame de Pompadour madame du Châtelet maîtreſſe marquiſe Maupertuis meſſieurs mettez en note miniſtre Monfieur n'avait n'eſt nations néceſſaire pén penſer perſécution perſonne peuple philofophie philoſophe plaifir plaiſir pluſieurs poëme poëte pouvait préjugés préſent preſque prince Pruſſe raiſon reconnaiſſance reſpect reſte s'eſt ſa gloire ſage ſans ſavait ſavoir ſcène ſciences ſecret ſentiment ſentir ſervir ſes ſes amis ſes ouvrages ſeul ſeule ſiècle ſociété ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſtyle ſuccès ſuis ſuiv ſujet ſuperſtition ſur ſurtout talens théâtre trag tragédie Voltaire