(5) Quoique ces deux mots paraiffent avoir une étymologie commune, on eft aujourd'hui affez généralement dans l'usage de diftinguer par cette légère différence dans l'orthographe, les deffeins (projets) d'un général d'armée, et les deffins tracés par un deffinateur. Pag. Lign. FAUTE S. 295 9 épuiferaient 303 2 DES EDITEURS 308 22 de gens CORRECTION S. ION S. épuiferait DE LA PREMIERE EDITION, et de même pour le titre courant. des gens 345 2 fublime; (Arzame, c'eft fublime, Arzame; (c'eft fon nom) 369 12 ces fon nom) fes avant d'expirer je les fais le mépris Les Guèbres d'un trône je ne fais pourquoi ôtez les guillemets aux huit lignes. feraient A vos plaintes, Seigneur, CORRECTIONS. duc de Nivernois Malesherbes s'être méprise Charle était t'ofes je le tiens et les chefs fort Sparte (6) Les opinions ne font pas trop d'accord fur ce point. 3 13 Ptolomées, 4 3 Lockes, des Galilées. 11 pén. vengez le public; 32 d. la forte 48 N. 2 Après : Saint-Omer 82 19 toué 118 10 Bailli 179 23 d'autre 196 14 reçois 203 18 en vos 291 5 felon qu'elles. 298 6 foux 317 27 ermitage 319 12 je fuis 360 21 coiffe 437 d. peti Ptolomée, Locke, des Galilée. fa forte ajoutez: dirigé par des jéfuites anglais. tout Baillif d'autres reçoi à vos felon ce qu'elles fou hermitage (et par-tout de même) j'y fuis coëffe petits (7) Ceci eft conforme à la première édition de la Prude, imprimée séparément. On ne fait comment la faute s'eft gliffée dans toutes les éditions fuivantes. La gaieté et l'ironie fe font affez fentir dans le difcours de madame Burlet. CETTE petite pièce fut faite pour M. Gretry, qui, à fon retour d'Italie, avait paffé fix mois à Genève, d'où il fe rendait fréquemment à Ferney. M. de Voltaire et madame Denis, fur quelques effais de mufique qu'il leur fit entendre, conçurent une fi grande efpérance de fes talens qu'ils le prefsèrent vivement d'aller les exercer à Paris; et pour l'y déterminer d'autant mieux, M. de Voltaire s'offrit de travailler dans un genre (8) On a appris de l'ancien directeur des fpectacles de Bordeaux que ce prologue avait été envoyé par M. de Voltaire au maréchal de Richelieu. |