Revue de Bretagne de Vendée & d'Anjou, Volume 17O. de Gourcuff, 1897 - Anjou (France) |
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Anne Archives Arthur bois Bois-Hus Borderie bourg Breil Brest breton bronze Bruz Buste en plâtre Camille Natal capitaine Carhaix cathédrale chapelle Charles Charles de Blois château châtellenie chevalier cœur comte de Richemont d'Angleterre d'Ille-et-Vilaine dame Dieu duc de Bretagne duchesse église enfants épousa évêque famille Faouédic femme Fescal fille fils François frère GOURCUFF Grootaers Guérande Guesclin Henri homme Ibidem j'ai Jean Jeanne Jos Parker jour l'abbé l'église lettres livres Lobineau Loire-Inférieure Louis Louise maison manoir marbre Marie Marzan Médaillon messire Montfort Montgaillard Morice mort mourut Musée des Beaux-Arts Nantes la rue naquit navire noble paroisse Passage Pommeraye passé Paul Sébillot pauvre père Plessix-Bertrand Pleurtuit poésie poète Poilley Pontbriand Pontbriant porte Quistillic Renac rendit aveu Romilley Rouairie Saint Saint-Brice Saint-Coulomb Saint-Donatien Saint-Lunaire Salon Sébillot seigneurie de Renac siècle sieur de Pontgan Statue de pierre terre Théâtre Graslin trouve à Nantes Tuffin Tymeur Vannes veuve vicomté de Rennes Yvonne
Popular passages
Page 248 - Cent ans plus tard, lorsque les Bretons eurent chassé les envahisseurs normands et reconquis leur pays, il se forma en Bretagne quatre grands comtés, gouvernés par autant de comtes respectivement indépendants, qui, tout au plus consentaient à reconnaître l'un d'eux pour chef de la nation sous le nom de duc, sans que cette reconnaissance ôtât rien à l'indépendance de chacun d'eux dans l'administration et dans les limites de son comté. C'étaient les comtes de Nantes, de Rennes, de Cornouaille...
Page 54 - Adieu, je vous embrasse de tout mon cœur et je suis très parfaitement, « Monsieur, « Votre très humble et très obéissant serviteur.
Page 256 - Les personnages sculptés des monuments religieux et civils des rues, places, promenades et cimetières de la ville de Nantes.
Page 464 - Ouvrage fort rare dont on ne connaît qu'un autre exemplaire. 3* Célébrité de la canonization de saint Ignace de Loyola, de la compagnie de Jésus, et de saint François-Xavier, de la même compagnie, faicte à Rennes. Rennes, Pierre l'Oyselet et Pierre Poulain, Par M. Olivier DE GOURCUFF : i» Instruction louchant l'Adoration perpétuelle du TS Sacrement de l'autel, établie dans la ville de Rennes.
Page 81 - Poilleye a donné son nom à'une des familles les plus anciennes et les plus considérables de la baronniede Fougères. Cette famille portait pour armes : parti d'argent et d'azur au lion léopardé de gueules, armé, lampassé et couronné d'or, brochant sur le tout ; II est probable qu'elle eut pour auteur un certain seigneur nommé Gradeloc qui la fin du X' siècle donna l'église de Poilley à l'abbaye du Mont-Saint-Michel3.
Page 36 - Considérant que la clôture des temples, la destruction du culte et la persécution contre ses ministres ont été la principale cause du soulèvement des campagnes et de la guerre des Chouans, et que toute inquiétude à ce sujet doit cesser au moment où la Convention nationale, rendue à sa liberté, a rétabli les principes trop longtemps violés...
Page 401 - Corsaires, par le RP Fr. PIERRE DAN, Ministre et Superieur du Convent de la Sainte Trinite et Redemption des Captifs, fonde" au Chasteau de Fontaine-bleau, et Bachelier en Theologie, de la Faculte de Paris. A. Paris, chez Pierre Rocolet, Libraire et Imprimeur ord" du Roy, au Palais, aux Armes du Roy et de la Ville.
Page 465 - Corps d'Observations de la Société d'agriculture, de commerce et des arts, établie par les états de Bretagne; Rennes, 1761 , in-8° ; — 2°...
Page 36 - La révolte qui vient d'éclater tient à deux causes : à la persécution contre les prêtres et au refus des paysans de prendre fait et cause pour la République; ils veulent rester catholiques et ne pas servir.
Page 334 - Heaumont, qui suppliait également M. de Pauliac de ne pas se déranger. A peine dehors, Pontgan aperçut Montgaillard précédé par le prêtre Touchart, tous les deux à cheval, se suivant dans cette étroite venelle. Pontgan était à pied. Il dépassa le marquis sans rien dire, puis tirant vivement son épée,il lui en porta deux coups dans le dos'.