cure. • sions, puis envoyé à la résidence d'Avignon. Enfin, dans le livre des Délibérations de l'Oratoire, (Registre 577, aux Archives Nationales), nous lisons, à la date du vendredi 24 novembre 1656: « Le P. François Aigneau, d'Avignon à Arles, pour administrer la Saint-Anne était un poste de confiance. Le P. Agneau y donna l'exemple de toutes les vertus. Il mourut le 7 mai 1680, vénéré de ses paroissiens et de toute la ville. Voir sa notice par le P. Bicaïs, dans le Dictionnaire des Hommes Illustres de Provence et l'article de M. Fassin dans le Musée, série I, p. 87-88. M. Du Roure possède une copie du Testament de Gilles Du Port, daté de Paris, le 4 août 1691, qui mentionne un legs important au Mont de Piété. P. 217. La note sera complétée au tome III, disons seulement que nous avons pu étudier la Nouvelle Pandore, à la Bibl. de l'Arsenal, et constater l'exactitude des renseignements du P. Bougerel. P. 250, à la dernière ligne de la note, au lieu de : Grasse, lisez Evreux. Voir p. 455, note 2. : P. 309. Sur le P. Charles Du Faur, on lit dans les Délibérations de l'Oratoire, Registre 577, aux Archives Nationales « Du vendredi, 3 mai 1652. M. Du Faur cy-devant prestre de l'Oratoire, s'estant de lui-mesme retiré et séparé de la congrégation et pris congé, du R. P. Général, par la lettre qu'il luy a escrit et à son conseil, du 25 mars dernier, est prié de ne plus demeurer en notre maison de Pézenas, ny en autre maison de l'Oratoire de l'ordre de notre R. P. Général et de son conseil, qui tous y ont signé, excepté le R. P. Senault, pour estre absent et non encore de retour à Paris. » : aucune P. 317, ligne 14, au lieu de promettant, lisez obtenant. M. de Beaujeu fut, en effet, nommé membre associé de l'Académie des Inscriptions, à cette date. P. 373, ligne 1, au lieu de: décernait chaque année, lisez décernait tous les deux ans. P. 477, au lieu de Mercure Galant de décembre 1683, lisez Mercure Galant de novembre 1683. Voir p. 480, en note. En divers endroits, on a imprimé : entr'autres, c'est toujours entre autres, qu'il faut lire. P. 15, ligne 22, au lieu de : un homme plus envié, il faut lire un honneur plus envié. P. 21, au lieu de Hesmivry, lisez: Hesmivy. P. 36, lisez : Gratulor ecce tibi, au lieu de : Gratulor eece tibi. P. 118, liscz: Y était-il encore, au lieu de : j'était-il encore. P. 186, lisez Turcs, au lieu de Turs. P. 188, lisez Planctus, au lieu de : Plantus. P. 195, en note, lisez: Boche, et non Roche. P. 219, lisez: Padoue, et non: Padone. P. 240, lisez Communiqua, et non communica. P. 272, en note, ligne 8, lisez ce personnage, au lieu de ce personne. P. 433, lisez flambeaux, et non : Flambleaux. Sisteron, et non: Sisteront. P. 445, lisez P. 473, lisez etc., etc... les chapelles et non la chapelles, Nous ne voulons pas pousser plus loin cette chasse aux coquilles, aussi fastidieuse pour nous que pour le lecteur, qui y suppléera et voudra bien se rappeler que la perfection est, hélas ! irréalisable. FIN DU SECOND VOLUME. TABLE DES MATIÈRES L'Académie en 1677. Gilles Roubin présente à Louis XIV et à l'Académie française l'estampe de l'obélisque. Examen du discours du P. Lucas de Monumentis publicis latine inscri- - Les lettres patentes de 1677 portant à trente le - 81 CHAPITRE IV - Le « logement » de l'Académie au Couvent des CHAPITRE V Instabilité T12 Les nouveaux académiciens, MM. Chorier, 161 CHAPITRE VI L'Académie et M. Guyonnet de Vertron. Son - 216 CHAPITRE VII M. de Grille et M. de Vertron négocient l'affaire des jetons de présence. l'Académie de Soissons. Prétentions de Difficultés avec 244 l'Académie française. Rôle de Vertron CHAPITRE VIII Notices sur les académiciens admis en 1682 et 285 |