Biographie universelle, ou, dictionnaire historique des hommes qui se sont fait un nom par leur génie, leurs talents, leurs vertus, leurs erreurs ou leurs crimes, Volume 2J. Leroux, Jouby, 1848 - Biography |
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... prit une forte dose d'arsenic , qui lui fit éprouver durant toute la journée les douleurs les plus aiguës . Il expira à six heures du soir , entouré des agents de la police qui cherchaient , mais inutilement , à lui arracher des aveux ...
... prit une forte dose d'arsenic , qui lui fit éprouver durant toute la journée les douleurs les plus aiguës . Il expira à six heures du soir , entouré des agents de la police qui cherchaient , mais inutilement , à lui arracher des aveux ...
Page 15
... prit pour son théolo- gien ; il y parut avec distinction . De retour dans son pays , il employa son crédit auprès de la régence de Cologne pour y faire admettre les jésuites , qui y vinrent à propos pour s'opposer aux progrès de l ...
... prit pour son théolo- gien ; il y parut avec distinction . De retour dans son pays , il employa son crédit auprès de la régence de Cologne pour y faire admettre les jésuites , qui y vinrent à propos pour s'opposer aux progrès de l ...
Page 29
... prit en 1734 , le bonnet de docteur dans l'université de Pont - à - Mousson ; il fut ensuite curé d'Estival , et official du même lieu . Il aida l'abbé Hugo dans le travail des Annales de l'ordre des prémontrés , et parcourut un grand ...
... prit en 1734 , le bonnet de docteur dans l'université de Pont - à - Mousson ; il fut ensuite curé d'Estival , et official du même lieu . Il aida l'abbé Hugo dans le travail des Annales de l'ordre des prémontrés , et parcourut un grand ...
Page 31
... prit pour son élève . Il devint associé en 1714 , et en 1727 il succéda , dans la place de pen- sionnaire , à Boivin le cadet . Il mourut en 1755 . * BLANCHARD ( Jean - Baptiste ) , jésuite français , professeur de rhétorique au collége ...
... prit pour son élève . Il devint associé en 1714 , et en 1727 il succéda , dans la place de pen- sionnaire , à Boivin le cadet . Il mourut en 1755 . * BLANCHARD ( Jean - Baptiste ) , jésuite français , professeur de rhétorique au collége ...
Page 45
... prit à Flo- rence en 1682 l'habit de l'ordre de Citeaux , où son nom de baptême Paul fut changé en celui de Silvio , et c'est par cette raison qu'une partie de ses ou- vrages se trouvent publiés sous le premier nom et d'autres sous ...
... prit à Flo- rence en 1682 l'habit de l'ordre de Citeaux , où son nom de baptême Paul fut changé en celui de Silvio , et c'est par cette raison qu'une partie de ses ou- vrages se trouvent publiés sous le premier nom et d'autres sous ...
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Common terms and phrases
Amsterdam anglais Angleterre Anvers Augsbourg auteur ayant Bâle Besançon Bonaparte cardinal célèbre chanoine Charles chrétienne collége Cologne comte conseil conseil des Cinq-cents député devint diocèse discours Dissertation distingua donna ecclésias ecclésiastique écrits édition ensuite entra estimé évêque famille fils française François Ier frère général goût gouvernement grec guerre Henri Histoire Hollande homme imprimé in-fol intitulé italien Jean jésuite l'abbé l'académie l'âge l'an l'armée l'auteur l'église l'empereur l'histoire laissé langue latin Leipsig lettres Leyde livre Londres Louis Louis XIV Louis XVI Lyon médecine membre Mémoires ment ministre mort mourut Napoléon naquit nommé obtint ouvrages pape passa patrie peintre père philosophie Pie VII poème poésies poète premier prince prit professeur publié recueil reçut réimprimé religion révolution Rome royale s'était saint savant sciences Sermons société succès suivant talents théologie tion titre traduit Traité trouve Utrecht Venise vint voyage vrages XVIe siècle zèle
Popular passages
Page 131 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue ; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces...
Page 219 - ... qu'il fallait faire retentir la parole sainte dans toute la force de son tonnerre , et placer avec moi dans cette chaire , d'un côté la mort qui vous menace, et de l'autre mon grand Dieu qui vient vous juger.
Page 89 - Mémoires pour servir à l'histoire de France sous Napoléon , écrits à Sainte-Hélène, par les généraux qui ont partagé sa captivité, et publiés sur les manuscrits entièrement corrigés de la main de Napoléon.
Page 219 - A la vue d'un auditoire si nouveau pour moi, il semble, mes frères, que je ne devrais ouvrir la bouche que pour vous demander grâce en faveur d'un pauvre missionnaire, dépourvu de tous les talens que vous exigez quand on vient vous parler de vol re salut.
Page 219 - Alors, pénétrés d'horreur pour vos iniquités passées , vous viendrez vous jeter entre mes bras, en versant des larmes de componction et de repentir, et à force de remords , vous me trouverez assez éloquent.
Page 219 - La nécessité du salut , la certitude de la mort , l'incertitude de cette heure si effroyable pour vous , l'impénitence finale , le jugement dernier, le petit nombre des élus, l'enfer, et pardessus tout l'éternité ! l'éternité ! voilà les sujets dont je viens vous entretenir , et que j'aurais dû sans doute réserver pour vous seuls.
Page 131 - Job, avec ces rois et ces princes anéantis, parmi lesquels à peine peut-on la placer, tant les rangs y sont pressés, tant la mort est prompte à remplir ces places...
Page 131 - Agréez ces derniers efforts d'une voix qui vous fut connue. Vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort des autres, grand prince, dorénavant, je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte ; heureux si , averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration , je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie les restes d'une voix qui tombe et d'une ardeur qui s'éteint.
Page 131 - Talions voir dépouillée même de cette triste décoration. Elle va descendre, à ces sombres lieux, à ces demeures souterraines, pour y dormir dans la poussière avec les grands de la terre...
Page 166 - Bourdaloue supérieur à tout, depuis que je l'ai lu comme j'aurais dû toujours le lire. Ces deux mérites, qui lui sont particuliers, sont l'instruction et la conviction, portées chez lui seul à un tel degré , qu'il ne me semble pas moins rare et moins difficile de penser et de prouver -comme Bourdaloue, que de plaire et de toucher comme Massillon. Bourdaloue est donc aussi une de ces couronnes du grand siècle, qui n'appartiennent qu'à lui ; un de ces hommes privilégiés que la nature avait,...