Théatre choisi |
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ACTE ADRIEN ALCMÈNE âme amour AMPHITRYON ANSELME appas ardeur assez Aurélie avecque beau bras CASSANDRE CEPHALIE charmes cher ciel cieux cœur comédie COMTE CONSTANCE Corneille Cosroès couronne courroux crime dessein Dieu dieux digne DIOCLÉTIEN DON BERNARD DON LOPE DON PEDRE doux Dreux enfin ennemis ÉRASTE ERGASTE Éroxène esprit extrême FÉDERIC fils flamme FLAVIE fortune frère GARDES GENEST GÉRONTE gloire haine hélas hymen importune j'ai j'en jamais Jean Rotrou jour JUPITER l'amour l'infante LADISLAS laisse Laure LAZARILLE LÉLIE LÉONOR LYDIE m'en m'est Madame main malheur MARDESANE MAXIMIN mépris MERCURE moi-même mort mourir NARSÉE OCTAVE ORANTÉE PALMIRAS parle passion peine père PHARNACE PLANCIEN poète PREMIER CAPITAINE prince puis-je qu'un raison rang règne respect Richelieu rien Rotrou s'il Saint-Genest sang SARDARIGUE SCÈNE SECOND CAPITAINE Seigneur sentiments sera seul SIRA SIROÈS sœur soin sort SOSIE souffrir théâtre THÉODORE tragi-comédie traître trépas trône VENCESLAS vertu veut veux vœux yeux
Popular passages
Page 305 - Déployez vos rigueurs, brûlez, coupez, tranchez : Mes maux seront encor moindres que mes péchés. Je sais de quel repos cette peine est suivie, Et ne crains point la mort qui conduit à la vie.
Page 279 - Adrien, honteux d'être vaincu ; Si ton Dieu veut ta mort, c'est déjà trop vécu. J'ai vu, ciel, tu le sais par le nombre des âmes Que j'osai t'envoyer par des chemins de flammes, Dessus les grils ardents et dedans les taureaux, Chanter les condamnés et trembler les bourreaux...
Page 417 - De ces derniers instans dont il presse le cours , Ce que j'ôte à mes nuits je l'ajoute à mes jours : Sur mon couchant, enfin , ma débile paupière Me ménage avec soin ce reste de lumière.
Page 83 - Moi, ne vous dis-je pas? Moi que j'ai rencontré , moi qui suis sur la porte , Moi qui me suis moi-même ajusté de la sorte, Moi qui me suis chargé d'une grêle de coups, Ce moi qui m'a parlé, ce moi qui suis chez vous.
Page 434 - II vous en faut pourvoir s'il vous faut pardonner, Et punir votre crime , ou bien le couronner. L'État vous la souhaite , et le peuple m'enseigne , Voulant que vous viviez , qu'il est las que je règne. La justice est aux rois la reine des vertus ; Et me vouloir injuste est ne me vouloir plus.
Page 413 - Et ne connoître point ce qu'il faudroit reprendre. THÉODORE. Un songe interrompu, sans suite, obscur, confus, Qui passe en un. instant et puis ne revient plus, Fait dessus notre esprit une légère atteinte, Et nous laisse imprimée ou point ou peu de crainte ; Mais les songes suivis, ou dont à tout propos L'horreur se remontrant interrompt le repos , Et qui distinctement marquent les aventures, Sont les avis du ciel pour les choses futures.
Page 33 - Je ne trouve jamais le chant des oiseaux, que je ne me prépare au bruit des ruisseaux : les bergères sont toujours couchées sur des fougères; et on voit moins les bocages, sans les ombrages, dans nos vers, qu'au véritable lieu où ils sont.
Page 172 - Moi ! que je souffre Laure et lui parle jamais ! Que jamais je m'arrête et jamais je me montre Où Laure doive aller, où Laure se rencontre ! Que je visite Laure et la caresse un jour! Que Laure puisse encor me donner de l'amour ! Qu'ayant reçu de Laure un traitement si rude, Laure me puisse plus causer d'inquiétude!
Page 417 - Est-ce vous , Ladislas , Dont la couleur éteinte et la vue égarée Ne marquent plus qu'un corps dont l'âme est séparée? En quel lieu , si saisi , si froid et si sanglant, Adressez-vous ce pas incertain et tremblant? Qui vous a si matin tiré de votre couche ? Quel trouble vous possède et vous ferme la bouche ? LADISLAS , se remettant sur sa chaise.
Page 278 - N'y laisser rien d'aveugle , y mettre plus de jour, Donner plus de hauteur aux travaux d'alentour, En marbrer...