Le theatre de P. Corneille, Volume 5Chez Zacharie Chatelain., 1740 |
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affez AGESILAS AGLATIDE AGLAURE aifément aime Ainfi ALBIN Amant amour ARDARI ARDARIC ASPAR ATTILA auffi befoin Bérénice c'eft c'eſt CAMILLE charmant chofe choifir choix CIDIPPE Ciel Cinna coeur Cotys crime deftin déja Dieux dire DOMITI DOMITIAN douleur doux ELPINICE Epoux eſt étoit EURIDIC fang fans favoir fecond fecret fentimens feroit fervir feul fien flame FLAVIE foins foit fon cœur font fouffrir fouhaits foûpirs fous fouvent fuis fujet Galba gloire grace hazarder hymen ILDIONE illuftre IRENE j'ai j'en jufte l'ame l'amour l'Empire LACUS laiffe LEON loix LYSANDER m'aime m'en Madame Mandane MARTIA MARTIAN n'eft n'en n'ofe néceffaire OCTAR ORODE OTHON PACORU paffe paffion PALMIS penfe perfonne Pfiché Pifon PLAUTINE poëme prémier prémiére Prince Princeffe PSICHE puiffe PULCHERIE qu'à qu'un raifon refte rien Rodogune Rois s'eft s'il SCENE Seigneur SPITRIDATE SUREN tendreffe Théatre TITE toûjours Tragédie Trône VALAMI veut veux Vinius vœux yeux
Popular passages
Page 290 - Plus je me plais à m'attacher sur eux. Par quel ordre du ciel , que je ne puis comprendre , Vous dis-je plus que je ne dois , Moi de qui la pudeur devrait du moins attendre Que vous m'expliquassiez le trouble où je vous vois?
Page 520 - ... le combat des passions contre la nature, ou du devoir contre l'amour, occupe la meilleure partie...
Page 4 - Je les voyais tous trois se hâter sous un maître Qui, chargé d'un long âge, a peu de temps à l'être, Et tous trois à l'envi s'empresser ardemment A qui dévorerait ce règne d'un moment.
Page 331 - Je vous aime, Léon, et n'en fais point mystère; Des feux tels que les miens n'ont rien qu'il faille taire. Je vous aime, et non...
Page 187 - Ce dieu dont vous parlez, de temps en temps sévère, Ne s'arme pas toujours de toute sa colère; Mais quand à sa fureur il livre l'univers, Elle a pour chaque temps des déluges divers. Jadis, de toutes parts faisant regorger l'onde, Sous un déluge d'eaux il abîma le monde; Sa main tient en réserve un déluge de feux Pour le dernier moment de nos derniers neveux; Et mon bras, dont il fait aujourd'hui son tonnerre, D'un déluge de sang couvre pour lui la terre.
Page 15 - Othon à la princesse a fait un compliment, Plus en homme de cour qu'en véritable amant. Son éloquence accorte, enchaînant avec grâce...
Page 235 - Seigneur, telle est l'humeur de la plupart des femmes. L'amour sous leur empire eût-il rangé mille âmes, Elles regardent tout comme leur propre bien, Et ne peuvent souffrir qu'il leur échappe rien. Un captif mal gardé leur semble une infamie : Qui l'ose recevoir devient leur ennemie; Et sans leur faire un vol on ne peut disposer D'un cœur qu'un autre choix les force à refuser...
Page 289 - A peine je vous vois, que mes frayeurs cessées Laissent évanouir l'image du trépas, Et que je sens couler dans mes veines glacées Un je ne sais quel feu que je ne connais pas.
Page 95 - Que comme votre créature, Et montrer avec pompe au reste des humains En ma propre grandeur l'ouvrage de vos mains? Si vous m'avez fait roi...