Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Volume 2; Volume 5Arthur La Broderie, Émile Grimaud J. Forest, aîné, 1864 - Anjou (France) |
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Page 20
... presque sans résistance . Celle des Bretons dura plus de deux siècles 3 ; ils défendirent le 1 Dans les historiens latins Cassivellaunus et Caractacus . 2 Guizot , Essais sur l'histoire de France , à la seconde page du 1er Essai . 3 Le ...
... presque sans résistance . Celle des Bretons dura plus de deux siècles 3 ; ils défendirent le 1 Dans les historiens latins Cassivellaunus et Caractacus . 2 Guizot , Essais sur l'histoire de France , à la seconde page du 1er Essai . 3 Le ...
Page 27
... presque sans armes , furent de nouveau asservis . Toutefois cette généreuse explosion populaire commença l'œuvre de la délivrance et donna l'impulsion . Les guer- riers et les seigneurs , réfugiés à l'étranger , rougirent de s'être ...
... presque sans armes , furent de nouveau asservis . Toutefois cette généreuse explosion populaire commença l'œuvre de la délivrance et donna l'impulsion . Les guer- riers et les seigneurs , réfugiés à l'étranger , rougirent de s'être ...
Page 35
... presque cons tante aux envahissements du despotisme . Opposition qui eut pour théâtre le Parlement , les États ; qui , pour n'être ni systématique ni agressive , n'en fut que plus sage , plus ferme , plus glorieuse , et qui réussit ...
... presque cons tante aux envahissements du despotisme . Opposition qui eut pour théâtre le Parlement , les États ; qui , pour n'être ni systématique ni agressive , n'en fut que plus sage , plus ferme , plus glorieuse , et qui réussit ...
Page 46
... presque autant de latin que de fran- çais , c'est - à - dire aussi peu de l'un que de l'autre ; mais , en revanche , je savais bien le breton , que je n'oublierai de ma vie et dont la connaissance me procure encore les plus douces et ...
... presque autant de latin que de fran- çais , c'est - à - dire aussi peu de l'un que de l'autre ; mais , en revanche , je savais bien le breton , que je n'oublierai de ma vie et dont la connaissance me procure encore les plus douces et ...
Page 47
... presque toujours été notre partage ! L'injustice et l'oppression consommées un jour sur un champ de bataille , passent insensiblement dans le domaine des faits à jamais accomplis , et pèsent dès lors sur la liberté et sur l'intelligence ...
... presque toujours été notre partage ! L'injustice et l'oppression consommées un jour sur un champ de bataille , passent insensiblement dans le domaine des faits à jamais accomplis , et pèsent dès lors sur la liberté et sur l'intelligence ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 23 - Mais ceci n'est rien encore : cette haine nationale s'emporte parfois à des cris bien autrement farouches. Savez-vous ce qu'elle demande à l'ennemi? Ce n'est point homme pour homme, coup pour coup. Non, elle est bien autrement exigeante. Ce qu'elle veut lui prendre ou lui rendre — écoutez, — c'est « Cœur pour œil ! tête pour bras, et mort pour blessure! et père > pour mère, et mère pour fille ! — Étalon pour cavale et mule pour » âne! chef de guerre pour soldat et homme pour enfant!...
Page 156 - On y sait comme vont lune , étoile polaire, Vénus, Saturne, et Mars, dont je n'ai point affaire; Et dans ce vain savoir , qu'on va chercher si loin , On ne sait comme va mon pot , dont j'ai besoin.
Page 167 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières, où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine...
Page 227 - La vérité est le fondement et la raison de la perfection et de la beauté. Une chose, de quelque nature qu'elle soit, ne saurait être belle et parfaite, si elle n'est véritablement tout ce qu'elle doit être, et si elle n'a tout ce qu'elle doit avoir.
Page 3 - Frère, se disaient-ils, reconnais-tu la lame? Est-ce bien là l'éclair, l'eau, la trempe et le fil? Et l'acier qu'a fondu le même jet de flamme Fibre à fibre se rejoint-il ? * Et nous, nous vous disons : « 0 fils des mêmes plages, Nous sommes un tronçon de ce glaive vainqueur! Regardez-nous aux yeux, aux cheveux, aux visages : Nous reconnaissez-vous à la trempe du cœur?...
Page 3 - Lorsqu'ils se rencontraient sur la vague ou la grève , En souvenir vivant d'un antique départ , . Nos pères se montraient les deux moitiés d'un glaive Dont chacun d'eux gardait la symbolique part; Frère! se disaient-ils, reconnais-tu la lame?
Page 149 - C'était plaisir de voir sous l'eau limpide et bleue Mille petits poissons faisant frémir leur queue, Se mordre, se poursuivre, ou, par bandes nageant, Ouvrir et refermer leurs nageoires d'argent ; Puis les saumons bruyants ; et, sous son...
Page 231 - IL semble que la fortune, toute changeante et capricieuse qu'elle est, renonce à ses changements et à ses caprices pour agir de concert avec la nature, et que l'une et l'autre concourent de temps en temps à faire des hommes extraordinaires et singuliers, pour servir de modèles à la postérité2.
Page 472 - Dictionnaire celte-breton, que les anciens Celtes ne cultivaient point les muses, et que leur langue n'était, à en juger par le breton d'aujourd'hui, qu'un jargon grossier, incapable de se prêter à la mesure, à la douceur et à l'harmonie des vers. Divers critiques anglais de notre siècle sont allés plus loin encore ; M. de la Villemarqué en citait un qui signalait, chez les nations celtiques, une inaptitude complète pour la civilisation; un autre qui appelait les...
Page 167 - On voit, dit-il, certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus dans la campagne, noirs, livides, nus, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et remuent avec une opiniâtreté invincible. Ils ont comme une voix articulée, et, quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes...