Histoire de France, Volume 1Chamerot, 1861 - France |
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Common terms and phrases
¹ App Alcuin Annal apud Aquitains armée Arvernes avaient barbares bardes Basques Bretagne Bretons Brunehaut c'était Cabires Cambriens Carlovingiens Caswallawn Celtes celtique César Charlemagne Charles Charles-le-Chauve chef Childebert Chilpéric Clotaire Clovis comte concile cùm d'Ostrasie Dagobert Dieu druides druidique Eginh Éginhard empereur enfants ennemis Epist Eudes évêques fils Frédégonde frère Gaëls Galls Gaule Gaulois Germanie Gondovald Gontran Goths Gotteschalk Grecs Greg Grégoire de Tours guerre Hincmar hommes Ibères ibid Irlandais Kymry l'Aquitaine l'Église l'empereur l'Empire l'évêque l'île l'île-de-Bretagne l'Irlande l'Italie langue Logan Lombards Lothaire Louis Martin ment Midi mille monastère monde mort nation Neustrie Nithard Nord Northmans omnes Ostrasiens païens pape pays Pepin père peuple pierre prêtres quæ quàm quod race règne Reims reste Rhin rois Romains Rome royaume s'était saint Colomban Saint-Gall Samhan Sarrasins Saxons seigneurs semble soldats Suèves terre Theod Theuderic tribus trouve vaincus
Popular passages
Page 183 - ... que Marc lui avait apportés des cités qui lui appartenaient. Les ayant jetés dans le feu, elle se tourna vers le roi et lui dit : « Qui t'arrête? fais ce que tu me vois faire, afin que, si nous perdons nos chers enfants, nous échappions du moins aux peines éternelles. » Le roi, touché de repentir, jeta au feu tous les registres de l'impôt, et, les ayant brûlés, envoya partout défendre à l'avenir d'en faire de semblables.
Page 201 - Brunehaut, fille, sœur, mère, aïeule de tant de rois, fut traitée avec une atroce barbarie; on la lia par les cheveux, par un pied et par un bras, à la queue d'un cheval indompté qui la mit en pièces. On lui reprocha la mort de dix rois ; on lui compta par-dessus ses crimes, ceux de Frédégonde.
Page 302 - Pro Deo amur et pro Christian poblo et nostro commun salvament, d'ist di in avant, in quant Deus savir et podir me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo et in...
Page 92 - ... recevront encore , tout vainqueurs qu'ils sont, la loi de Rome vaincue. Ce grand nom d'empire, cette idée de l'égalité sous un monarque, si opposée au principe aristocratique de la Germanie, Rome l'a déposée sur cette terre. Les rois Barbares vont en faire leur profit. Cultivée par l'église, accueillie dans la tradition populaire, elle fera son chemin par Charlemagne et par saint Louis. Elle nous amènera peu à peu à l'anéantissement de l'aristocratie, à l'égalité, à l'équité...
Page 145 - ... d'être république, il avait pris le parti de chercher la gloire en consacrant les forces des Goths à rétablir dans son intégrité, à augmenter même la puissance du nom romain, afin qu'au moins la postétérité le regardât comme le restaurateur de l'Empire, qu'il ne pouvait transporter.
Page 38 - Ces idées d'œuf et de serpent rappellent l'œuf cosmogonique des mythologies orientales, ainsi que la métempsycose et l'éternelle rénovation dont le serpent était l'emblème. Des magiciennes et des prophétesses étaient affiliées à l'ordre des druides, mais sans en partager les prérogatives. Leur institut leur imposait des lois bizarres et contradictoires; ici la prêtresse ne...
Page 147 - Burgondes étaient gens de métiers , ouvriers en charpente ou en menuiserie. Ils gagnaient leur vie à ce travail dans les intervalles de paix, et étaient ainsi étrangers à ce double orgueil du guerrier et du propriétaire oisif, qui nourrissait l'insolence des autres conquérants barbaresi.
Page 184 - Salvius et l'avoir embrassé, j'allai le chercher, et le trouvai dans la cour de la maison de Braine; je lui dis que j'allais retourner chez...
Page 342 - Ier, suivit d'abord la même politique, et lorsque le roi héréditaire eut été déposé et emprisonné à Laon, il se déclara pour lui contre Radulf ou Raoul, beau-frère de Robe-rt, élu et couronné roi en haine de la dynastie franque.
Page 278 - Au-dessous encore existaient d'autres assemblées : celles des vicaires, des centeniers; que dis-je, les moindres bénéfîciers, les intendants des fermes royales, tenaient des plaids comme les comtes. Certes, l'ordre apparent ne laisse rien à désirer, les formes ne manquent pas; on ne comprend pas un gouvernement plus régulier. Cependant il est visible que les assemblées générales n'étaient pas générales ; on ne peut supposer que les missi...