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par M. Georges Monval. Préface de M. Jules Claretie. Paris, Société de la propagation des Livres d'art, 1897: 1 volume grand in-8° avec planches.

Molière, sa vie et ses œuvres, par M. Jules Haraszti (en hongrois). Budapest, Franklin, 1897: 2 volumes.

Voyez dans la Revue critique du 23 août 1897, p. 110 et 111, l'article où M. J. Kont rend compte de cet ouvrage, écrit pour être joint à la traduction des œuvres du poète qu'a publiée la Société Kisfaludy (cette traduction est mentionnée, tome XI, p. 113 et 114 de la Notice bibliographique).

Manuel de l'Histoire de la littérature française, par M. Ferdinand Brunetière. Paris, Delagrave, 1898: 1 volume in-8°.

Histoire de la langue et de la littérature française des origines à 1900..., publiée sous la direction de M. L. Petit de Julleville. Paris, Armand Čolin; in-8°. Tome V, 1898, chapitre 1: Molière et la Comédie au temps de Molière, par M. André Le Breton,

Molière à Bordeaux vers 1647 et en 1656, avec des considérations nouvelles sur ses fins dernières, à Paris en 1673 ou peut-être en 1703, par M. Anatole Loquin (d'Orléans). Extrait des Actes de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux. Paris, Libraires associés; Bordeaux, Feret; Orléans, Herluison 1898, 2 volumes in-8°.

Un secret d'État sous Louis XIV. Le prisonnier masqué de la Bastille, son histoire authentique. Par M. Anatole Loquin (d'Orléans). Paris, Libraires associés; Bordeaux, Feret; Orléans, Herluison; Marseille, Ruau : 1900, I volume in- 18.

La langue de Molière, article de M. Ferdinand Brunetière inséré dans la Revue des Deux Mondes du 15 décembre 1898.

Molière à Vienne, par M. C. Latreille. Extrait de la Revue d'histoire littéraire de la France du 15 avril 1899. Paris, Armand Collin, 1899: brochure in-8°.

Les Libertins en France au dix-septième siècle, par M. F.-T. Perrens. Paris Calmann-Lévy, 2° édition, 1899 (la 1° est de 1896): 1 volume in-18.

Histoire de la littérature française, par M. René Doumic; nouvelle édition. Paris, Delaplane, 1900: I volume in-12.

La Littérature comparée. Essai bibliographique, par M. Louis-P. Betz. Introduction par M. Joseph Texte. Strasbourg, 1900 : in-8°.

Hommes et mœurs du dix-septième siècle, par M. N.-M. Bernardin. Paris, Société française d'imprimerie et de librairie (ancienne librairie Lecène et Oudin), 1900: 1 volume in-18 jésus.

J.-J. Weiss. MOLIÈRE. Préface par M. le prince Georges Stirbey. Paris, Calmann Lévy, 1900: 1 volume in-18, contenant quatre conférences sur Molière, faites à l'Athénée en 1866, une leçon sur la comédie de Molière à Beaumarchais faite en 1857, et quelques autres fragments.

Francisque Sarcey. QUARANTE ANS DE THÉÂTRE (Feuilletons dramatiques) [2° volume]: Molière et la Comédie classique. Bibliothèque des Annales politiques et littéraires, Paris, 1900: I volume in-12.

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SUPPLÉMENT

AUX

ADDITIONS ET CORRECTIONS

RELATIVES AUX TOMES I A IX ET AU TOME XI

TOME I.

Page 178. Note 2, fin. Aux mots: « L'article... passe pour avoir été écrit par Mme Poisson, fille de du Croisy, le camarade de Molière », ajoutez un renvoi à une Addition du tome XI, p. 290, 6° alinéa, où cette attribution à Mme Poisson est démentie.

Page 503. Vers 1512 du Dépit amoureux :

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Ne me fais point ici de contes superflus.

Ajoutez en note: « Ce vers est une réminiscence: Léontine interrompt en mêmes termes Exupère à la scène v de l'acte IV d'Héraclius (la tragédie de Corneille est de 1647). »

TOME II.

Page 51.Ligne 13 de la note. Effacez les mots : « à Paris ». Voyez la Notice bibliographique, t. XI, p. 2, début du 5° alinéa.

Page 52.

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Ligne 4, aux mots : « bon bourgeois », ajoutez en note: « C'est-à-dire homme de bonne bourgeoisie: voyez tome IX, p. 48, 2a alinéa, la Notice des Femmes savantes ».

Page 122. Remplacez la note a par celle-ci : « Protestant a eu le sens d'amoureux, de soupirant: voyez le Dictionnaire de Littré et le tome V du la Fontaine, p. 157 et note 3. »

Page 211.- Supprimez la note 4.

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Page 259. Note 2, relative au vers 463 de Dom Garcie. Le vers est un peu autrement expliqué au Lexique : voyez la fin de l'article VORU, p. 610. Page 267. Au vers 584, ajoutez en note: «Ce vers a été mis aussi dans la bouche d'Arsinoé, vers la fin de la scène v de l'acte II du Misanthrope (voyez tome V, p. 513, vers 1126) ».

Page 274. Du vers 724 de Dom Garcie, il y a à rapprocher ces deux vers (1412 et 1413) d'Amphitryon :

Résolvez ici l'un des deux :
Ou de punir, ou bien d'absoudre.

Page 215.-Note 2, relative au vers 742 de l'École des femmes. Ajoutez un renvoi à l'Addition faite plus haut dans le présent volume à la page 126 de la Notice bibliographique (tome XI).

TOME III.

Page 141. Note 5, ligne 2, après les mots : « ... << ainsi plus haut, p. 197, vers 485, Agnès a dit

soit avec sur », lisez :

J'étois sur le balcon à travailler au frais,

et l'Académie (en 1694) donne pour exemple.... »

Page 327. Note (sur obscénité) continuée de la page précédente, fin. Ajoutez: « Le mot, comme plus ou moins hasardé, a été souligné, en 1665, dans les Observations de Rochemont sur le Festin de Pierre (voyez notre tome V, p. 222, au 2a renvoi). »

Page 334 (texte de Molière).- Ligne 8 du 4° couplet de cette page, au lieu de « A tous les éclats de rire », lisez : « A tous les éclats de risée ».

:

TOME IV.

Page 86. Note 1, fin. Ajoutez : « Une scène de charivari, rassemblant des bourgeois devant la maison de nouveaux mariés mal assortis, ouvrait la seconde partie du ballet mascarade des Plaisirs troublés qui fut représenté à la cour en février 1657. Mollier avait fait la musique de ce ballet. Mais, dit M. Fournel, « le compositeur du charivari... était de Lorge le père » ;....... il était joué par vingt musiciens. » Voyez les Contemporains de Molière, tome II, P. 464.

--

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Page 183. Note 1, ligne 1. Au lieu de « p. 141 », lisez : « p. 139 ». Page 422. Note 3 (sur l'expression dévots de place du vers 361 du Tertuffe). A l'Addition du tome XI, p. 296, 3° alinéa, se rapportant à cette note, ajoutez encore : « Mais ne peut-on croire que par cette expression de dévots de place Molière faisait allusion à ceux dont parle l'Evangile (saint Matthieu, chapitre vi, verset 57), ces « hypocrites qui aiment à prier debout dans les synagogues et dans les angles des places publiques, afin d'être vus des hommes >>?

Page 486.

- Note 2. Ajoutez un renvoi au mot VOEU du Lerique : dans la dernière remarque de l'article (p. 610), est donnée une explication qui paraît préférable du vers 1282 du Tartuffe.

-

TOME V.

Page 82. Avant-dernière ligne du texte de Molière. Au mot a loupgarou», ajoutez en note: << Comparez plus loin, p. 139 de ce tome V, note 2, le passage, reproduit d'après l'édition d'Amsterdam 1683, où Sganarelle demande successivement à Don Juan sa pensée sur le Ciel, sur l'Enfer et sur le Moine bourru. Nulle mention du Moine bourru ne se trouve dans aucun des exemplaires de l'édition de 1682. Le loup-garou, comme on voit, est resté dans le texte non remanié de cette édition; il y avait pourtant, pour ceux qui se souvenaient du perfide commentaire de Rochemont, même raison de supprimer ici l'allusion à une superstition toute semblable, de ne pas laisser le valet, pour achever de peindre l'incrédulité de son maître, mêler avec le Ciel et l'Enfer cet autre ridicule nom de spectre1; aussi Diable

1. Gui Patin l'a employé comme une sorte de terme symbolique, représentant toutes les superstitions. Dans une curieuse lettre du 27 août 1648 (tome I, p. 28 de l'édition en 3 volumes des Lettres choisies, Cologne, Pierre du Laurens, 1692, in-12), parlant d'un souper où il vient d'être convié avec Gassendi par Gabriel Naudé, « Ce sera, dit-il, une débauche, mais philosophique, et peut-être quelque chose davantage, pour être

a-t-il été substitué à loup-garou dans l'édition cartonnée de 1682. » Voyez, tome V, la note 1 de la page 83,

Page 108.

Page 117.

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Note 2. Ajoutez un renvoi au mot BRANDI du Lexique.

Fin de la note continuée de la page précédente. Au lieu de : a la seconde note de la scène suivante », lisez : « la troisième note de la scène suivante (p. 121) ».

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Page 140. Ligne 2 de la note continuée de la page précédente. Avant les mots : « emprunte une incontestable autorité », ajoutez : « rappelle le passage de la scène première (au bas de la page 82) où Sganarelle se montre également attaché à la croyance du loup-garou, et elle emprunte une........ »

Page 513.Au vers 1126 (réplique d'Arsinoé à Alceste), ajoutez en note: « Done Elvire se trouve avoir dit à Dom Garcie la même chose en un même vers, à la fin de la scène v de l'acte II de la tragi-comédie (tome II, p. 267, vers 584) ».

Page 525.

Au vers 1368, ajoutez en note : « Philinte dit aussi plus loin à Alceste (vers 1555) :

Page 536.

Non je tombe d'accord de tout ce qu'il vous plaît.»

---

Du vers 1555, rapprochez le vers 1368 qui a été adressé plus ironiquement encore à Alceste par Célimène :

Et je tombe d'accord de tout ce qu'il vous plaît.

Page 543. - Note 1, ligne 1, fin. Au lieu de « Génin », lisez « Littré ». Page 551. Au vers 1806, ajoutez cette note laissée par Eugène Despois : « Ce dénoûment est le vrai. Quand on est Alceste, tôt ou tard il faut prendre ce parti. C'est là la morale de la pièce : si vous voulez toujours dire la vérité, fuyez les hommes; si vous ne voulez pas les fuir, soyez Philinte. »

TOME VI.

Page 30. Ligne 2. Au lieu de : « François Decomberousse », lisez : « François-Isaac-Hyacinthe de Comberousse ».

-

Page 357. Note 5, fin. Ajoutez : << Mais M. Charles Comte (p. 76-80 de l'étude mentionnée plus haut, p. 639 du présent volume XIII, 4o article) paraît avoir prouvé que les vers d'Amphitryon peuvent, à très peu d'exceptions près, se grouper en stances irrégulières, pour lesquelles, de l'une à l'autre, l'alternance n'était nullement imposée »>.

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Page 398. Vers 741 d'Amphitryon, au mot plutôt, ajoutez un renvoi à l'Addition faite au Lexique, plus haut, p. 634 du présent volume XIII, 6o alinéa.

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Page 410. Vers 952. Bien que le point d'interrogation qui termine ce vers, dans notre édition comme dans l'édition originale, ne le sépare pas assez fortement du vers suivant pour que le lecteur ne puisse voir que « les cinq diamants... » sont ainsi que « la nouvelle... » (du vers 951) une dépendance directe de « De qui puis-je tenir », il serait plus conforme à nos habitudes actuelles de ponctuation de substituer une simple virgule à ce point d'interrogation. Il y a pour achever de justifier ce changement la raison que M. Charles Comte tire d'une règle suivie par Molière dans la versification de sa comédie d'Amphitryon: voyez p. 70 et 71 de l'excellente dissertation intitulée les Stances libres dans Molière (citée tome XI, p. 247, et, plus complètement, plus haut, p. 639 du présent volume, 4° article).

[puisque nous sommes] tous trois guéris du loup-garou et être [et que nous sommes] délivrés du mal des scrupules, qui est le tyran des consciences; nous irons peut-être jusques fort près du sanctuaire. »

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