Anthology of French prose and poetry |
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... first - hand idea of the succession of schools of writers and of the development of the methods of composition in poetry and prose . They also encourage him to appreciate the beauty and perfection of individual pages and even paragraphs ...
... first - hand idea of the succession of schools of writers and of the development of the methods of composition in poetry and prose . They also encourage him to appreciate the beauty and perfection of individual pages and even paragraphs ...
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... first in Caen , his native town , then in Paris , Basel , and Heidelberg , Malherbe went to Provence ( 1576 ) , and spent a large part of the next twenty years there . In 1605 he went to Paris , where he became the first " écuyer du roi ...
... first in Caen , his native town , then in Paris , Basel , and Heidelberg , Malherbe went to Provence ( 1576 ) , and spent a large part of the next twenty years there . In 1605 he went to Paris , where he became the first " écuyer du roi ...
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... first part of the century . A LA CAMPAGNE A MONSIEUR DE LA MOTTE - AIGRON Il fit hier un de ces beaux jours sans soleil , que vous dites qui ressemblent à cette belle aveugle , 1 dont Philippe second était amou- reux . En vérité je n ...
... first part of the century . A LA CAMPAGNE A MONSIEUR DE LA MOTTE - AIGRON Il fit hier un de ces beaux jours sans soleil , que vous dites qui ressemblent à cette belle aveugle , 1 dont Philippe second était amou- reux . En vérité je n ...
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... first in Holland , then in Bavaria . It was at this time , in the winter of 1619-1620 , at Neuburg on the Danube , that he more or less definitely formulated the principles which had been evolving in his mind since he left La Flèche ...
... first in Holland , then in Bavaria . It was at this time , in the winter of 1619-1620 , at Neuburg on the Danube , that he more or less definitely formulated the principles which had been evolving in his mind since he left La Flèche ...
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... me réussit beaucoup mieux , ce me semble , que si je ne me fusse jamais éloigné ni de mon pays ni de mes livres . << Discours de la méthode » , Part first PIERRE CORNEILLE Rouen , 1606—1684 , Paris Born at Rouen 14 FRENCH ANTHOLOGY.
... me réussit beaucoup mieux , ce me semble , que si je ne me fusse jamais éloigné ni de mon pays ni de mes livres . << Discours de la méthode » , Part first PIERRE CORNEILLE Rouen , 1606—1684 , Paris Born at Rouen 14 FRENCH ANTHOLOGY.
Contents
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Common terms and phrases
Academy aime ALCESTE âme amour ANDROMAQUE appeared assez Bartholo beau became best bois Book Britannicus bruit Burrhus c'était CENONE century CÉPHISE chant charme cher choses ciel cieux Cinna cœur couleur coup death died Dieu Dieux dire discours DON RODRIGUE Elsbeth esprit faisait Fantasio father first fleurs Gaston gens gloire great Harpagon hommes j'ai jamais janissaires JEAN RACINE Joiselle jour Jourdain l'homme l'horizon laisse later life Lisette literary literature Madame made main Maître de Philosophie Maître Jacques ment monde monsieur montagnes mort mourir nature NICOMÈDE noir novels nuit parler parole Pasquin passer pêcheur d'Islande pensée père père Goriot peuple PHÈDRE pieds plaine pleurs Poèmes poet Poirier POLYEUCTE PRUSIAS published Pyrrhus qu'un raison received regard reste rien Rosine sais Salammbô sang semble sentiments serait seul soir soleil sorte terre time took triste trouve Turcaret veux voilà voix work writing wrote years yeux ΙΟ
Popular passages
Page 148 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine ; et en effet ils sont des hommes...
Page 212 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou. comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne...
Page 242 - ... on me dit que, pendant ma retraite économique, il s'est établi dans Madrid un système de liberté sur la vente des productions, qui s'étend même à celles de la presse; et que, pourvu que je ne parle en mes écrits, ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs.
Page 6 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles: On a beau la prier; La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois.
Page 130 - Tertullien * , parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps: il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux restes.
Page 40 - De là vient que, par une prérogative particulière, non seulement chacun des hommes s'avance de jour en jour dans les sciences, mais que tous les hommes ensemble y font un continuel progrès à mesure que l'univers vieillit, parce que la même chose arrive dans la succession des hommes que dans les âges différents d'un particulier.
Page 130 - Job, avec ces rois et ces princes anéantis, parmi lesquels à peine peut-on la placer, tant les rangs y sont pressés, tant la mort est prompte à remplir ces places ! Mais...
Page 140 - Entre toutes les différentes expressions qui peuvent rendre une seule de nos pensées, il n'y en a qu'une qui soit la bonne. On ne la rencontre pas toujours en parlant ou en écrivant ; il est vrai néanmoins qu'elle existe, que tout ce qui ne l'est point est faible, et ne satisfait point un homme d'esprit qui veut se faire entendre.
Page 426 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page 40 - Ceux que nous appelons anciens étaient véritablement nouveaux en toutes choses, et formaient l'enfance des hommes proprement; et comme nous avons joint à leurs connaissances l'expérience des siècles qui les ont suivis, c'est en nous que l'on peut trouver cette antiquité que nous révérons dans les autres.