Corneille et son temps: étude littéraireDidier, 1852 - 476 pages |
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... j'ai vu l'Europe civilisée en proie à deux déluges contraires d'invasion et de conquête tels qu'elle n'avait rien connu de semblable depuis la chute de l'Empire romain . Dans l'espace de dix années , j'ai vu naître , grandir , s'étendre ...
... j'ai vu l'Europe civilisée en proie à deux déluges contraires d'invasion et de conquête tels qu'elle n'avait rien connu de semblable depuis la chute de l'Empire romain . Dans l'espace de dix années , j'ai vu naître , grandir , s'étendre ...
Page xiv
... j'ai publié , en 1813 , cette étude sur la littérature du dix - septième siècle , j'ai été aidé dans mon travail par la personne à qui j'ai dû longtemps le bonheur , et à qui je dois toujours xiv PRÉFACE .
... j'ai publié , en 1813 , cette étude sur la littérature du dix - septième siècle , j'ai été aidé dans mon travail par la personne à qui j'ai dû longtemps le bonheur , et à qui je dois toujours xiv PRÉFACE .
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... j ' ai publié , en 1813 , cette étude sur la littérature du dix - septième siècle , j ' ai élé aidé dans mon travail par la personne à qui j ' ai dû longtemps le bonheur , et à qui je dois toujours XIV PRÉFACE .
... j ' ai publié , en 1813 , cette étude sur la littérature du dix - septième siècle , j ' ai élé aidé dans mon travail par la personne à qui j ' ai dû longtemps le bonheur , et à qui je dois toujours XIV PRÉFACE .
Page 73
... J'ai aimé la guerre devant toutes choses , disait le maréchal d'Hocquincourt au Père Canaye , Mme de Montbazon après la guerre , et , tel que vous me voyez , la philosophie après Mme de Montbazon 2 . » Mais dégoûté de la philosophie ...
... J'ai aimé la guerre devant toutes choses , disait le maréchal d'Hocquincourt au Père Canaye , Mme de Montbazon après la guerre , et , tel que vous me voyez , la philosophie après Mme de Montbazon 2 . » Mais dégoûté de la philosophie ...
Page 80
... j'ai la vue De jugement despourvue ! Parbieu ! c'est un marcassin Dont la trogne résolue Nous nargue dans ce bassin . A voir sa gueule fumante , Il m'est advis qu'il se vante , En grondant mille défis , Que du sanglier d'Erymanthe , Il ...
... j'ai la vue De jugement despourvue ! Parbieu ! c'est un marcassin Dont la trogne résolue Nous nargue dans ce bassin . A voir sa gueule fumante , Il m'est advis qu'il se vante , En grondant mille défis , Que du sanglier d'Erymanthe , Il ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 193 - Qu'on parle mal ou bien du fameux Cardinal, Ma prose ni mes vers n'en diront jamais rien : II m'a fait trop de bien pour en dire du mal, II m'a fait trop de mal pour en dire du bien.
Page 40 - Tu nous rendras alors nos douces destinées ; Nous ne reverrons plus ces fâcheuses années Qui pour les plus heureux n'ont produit que des pleurs. Toute sorte de biens comblera nos familles, La moisson de nos champs lassera les faucilles, Et les fruits passeront la promesse des fleurs.
Page 287 - Depuis un mois , les princes de Condé et de Conti , et le duc de Longueville , leur beau-frère , étaient prisonniers.
Page 256 - Ils abordent sans peur, ils ancrent, ils descendent. Et courent se livrer aux mains qui les attendent. Nous nous levons alors, et tous en même temps Poussons jusques au ciel mille cris éclatants.
Page 173 - Par d'illustres avis je n'éblouis personne ; Je satisfais ensemble et peuple et courtisans , Et mes vers en tous lieux sont mes seuls partisans : Par leur seule beauté ma plume est estimée : Je ne dois qu'à moi seul toute ma renommée; Et pense toutefois n'avoir point de rival A qui je fasse tort en le traitant d'égal.
Page 258 - Je les voyais tous trois se hâter sous un maître Qui, chargé d'un long âge, a peu de temps à l'être, Et tous trois à l'envi s'empresser ardemment A qui dévorerait ce règne d'un moment.
Page 269 - L'empire incompatible avec votre hyménée, Me dit qu'après l'éclat et les pas que j'ai faits, Je dois vous épouser encor moins que jamais. Oui, madame; et je dois moins encore vous dire Que je suis prêt pour vous d'abandonner l'empire, De vous suivre, et d'aller, trop content de mes fers, Soupirer avec vous au bout de l'univers.
Page 244 - Il est des nœuds secrets, il est des sympathies Dont par le doux rapport les âmes assorties S'attachent l'une à l'autre et se laissent piquer Par ces je ne sais quoi qu'on ne peut expliquer.
Page 49 - On apprend par là chaque jour les petites nouvelles galantes, les jolis commerces de prose et de vers. On sait à point nommé : un tel a composé la plus jolie pièce du...
Page 35 - RONSARD et les auteurs ses contemporains ont plus nui au style qu'ils ne lui ont servi : ils l'ont retardé dans le chemin de la perfection; ils l'ont exposé à la manquer pour toujours et à n'y plus revenir. Il est étonnant que les ouvrages de MAROT, si naturels et si faciles, n'aient su faire de Ronsard, d'ailleurs plein de verve et d'enthousiasme, un plus grand...