Dictionnaire des metaphores françaises: extraites des meilleurs auteurs dans le style soutenu et le style familier |
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Page 22
... orage et des sots . Colardeau . Tout s'empoisonne entre les mains de la jalousie ; les succès les plus glorieux ne sont qu'un assemblage de circonstances heureuses , qu'on doit à la bizarrerie du hasard , plus qu'à la sagesse des ...
... orage et des sots . Colardeau . Tout s'empoisonne entre les mains de la jalousie ; les succès les plus glorieux ne sont qu'un assemblage de circonstances heureuses , qu'on doit à la bizarrerie du hasard , plus qu'à la sagesse des ...
Page 78
... ? par où ? par quelle porte ? Mad . de Sévigné . Ne vous embarquez nullement Dans des faveurs congratulantes ; C'est un mauvais embarquement . Molière ; 2 L'homme embarque avec lui des orages brûlans . Lebrun . ( 78 )
... ? par où ? par quelle porte ? Mad . de Sévigné . Ne vous embarquez nullement Dans des faveurs congratulantes ; C'est un mauvais embarquement . Molière ; 2 L'homme embarque avec lui des orages brûlans . Lebrun . ( 78 )
Page 79
... orages brûlans . Lebrun . Embarquer . Ce zèle si délicat pour la réputation des morts s'em- Embraser . brâserait bien pour défendre celle des vivans . .... Son intérêt me presse Montesquieu . D'embrasser un conseil qui bannit la ...
... orages brûlans . Lebrun . Embarquer . Ce zèle si délicat pour la réputation des morts s'em- Embraser . brâserait bien pour défendre celle des vivans . .... Son intérêt me presse Montesquieu . D'embrasser un conseil qui bannit la ...
Page 84
... nos jours devait - il être précédé par de tels orages ? Ou bien était - ce comme un travail de la France prête à enfanter le règne miracu- leux de Louis ? Bossuet . Hâtons - nous de purifier notre cœur , afin de ( 84 )
... nos jours devait - il être précédé par de tels orages ? Ou bien était - ce comme un travail de la France prête à enfanter le règne miracu- leux de Louis ? Bossuet . Hâtons - nous de purifier notre cœur , afin de ( 84 )
Page 112
... orage ! Voltaire . La raillerie froide des mauvais plaisans est un mal inévitable . La Bruyère . Veut - on voir combien une pensée fausse est froide et puérile ? Boileau . Le divin Molière , A peine obtint le froid bonheur De dormir ...
... orage ! Voltaire . La raillerie froide des mauvais plaisans est un mal inévitable . La Bruyère . Veut - on voir combien une pensée fausse est froide et puérile ? Boileau . Le divin Molière , A peine obtint le froid bonheur De dormir ...
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Dictionnaire Des Metaphores Françaises: Extraites Des Meilleurs Auteurs Dans ... A. Varinot No preview available - 2022 |
Dictionnaire des Metaphores Françaises: Extraites des Meilleurs Auteurs ... A. Varinot No preview available - 2018 |
Common terms and phrases
airs âme astres Atrée Barthélemy beauté Bernardin de Saint-Pierre Bernardin de St.-Pierre Boileau bondir Bossuet brillant Buffon céleste César charme Chateaubriand choses Cicéron ciel cieux cœur Colardeau colore Corneille couleurs courroux Crébillon Delille Démosthène dévore Diderot Dieu dieux discours douce doux eaux enfans Eschyle esprit éternel Fénélon figure fille fleurs flots Fontaine Fontenelle force fortune front fureur génie Gilbert glace gloire goût hommes humain idées J. J. Rousseau J'ai jamais Jésus-Christ jour l'âme l'aurore l'esprit l'homme l'imagination l'onde l'univers Labruyère langage langue Lebrun lumière main malheur Massillon métaphores mille Mme de Sévigné Molière monde Montaigne mort mouvemens nations nature orages parole Pascal passions pensée peuple philosophie plaisir plaisirs Pompée qu'un quelquefois Quintilien Racine raison Raynal rayons regards Regnard rien Rivarol rois romain sais sang secret sentimens sentiment seul siècles soleil sort souvent style tantôt tempête terre tête Thomas Traduit tyrans verdure vérité vertu visage vois voix Voltaire yeux
Popular passages
Page 141 - Ce commerce honteux de semblants d'amitié. Je veux que l'on soit homme, et qu'en toute rencontre Le fond de notre cœur dans nos discours se montre ; Que ce soit lui qui parle, et que nos sentiments Ne se masquent jamais sous de vains compliments.
Page 14 - Il est des nœuds secrets, il est des sympathies Dont par le doux rapport les âmes assorties S'attachent l'une à l'autre et se laissent piquer Par ces je ne sais quoi qu'on ne peut expliquer.
Page 157 - Au lieu de déplorer la mort des autres, grand prince, dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte. Heureux, si averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration, je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie, les restes d'une voix qui tombe et d'une ardeur qui s'éteint!
Page 42 - C'est de là que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parler aux yeux, Et, par les traits divers de figures tracées, Donner de la couleur et du corps aux pensées.
Page 17 - Confonds dans ses conseils une reine cruelle. Daigne, daigne, mon Dieu, sur Mathan et sur elle Répandre cet esprit d'imprudence et d'erreur, De la chute des rois funeste avant-coureur!
Page 104 - ... sont les voiles qui poussent le vaisseau vivant, navire et pilote à la fois. Fier de sa noblesse, jaloux de sa beauté, le cygne semble faire parade de tous ses avantages; il a l'air de chercher à recueillir des suffrages, à captiver les regards; et il les captive en effet, soit que, voguant en troupe, on voie de loin , au milieu des grandes eaux , cingler la flotte ailée, soit que, s'en détachant et s'approchant du rivage aux signaux qui l'appellent, il vienne se faire admirer de plus près...
Page vii - La raison outragée enfin ouvrit les yeux, La chassa pour jamais des discours sérieux, Et, dans tous ces écrits la déclarant infâme, Par grâce lui laissa l'entrée en l'épigramme, Pourvu que sa finesse, éclatant à propos, Roulât sur la pensée et non pas sur les mots.
Page 152 - En voyant l'aveuglement et la misère de l'homme, en regardant tout l'univers muet, et l'homme sans lumière, abandonné à luimême, et comme égaré dans ce recoin de l'univers, sans savoir qui l'ya mis, ce qu'il y est venu faire, ce qu'il deviendra en mourant...
Page 103 - II faut que sur le trône un roi soit élevé, Qui se souvienne un jour qu'au rang de ses ancêtres, Dieu l'a fait remonter par la main de ses prêtres, L'a tiré par leurs mains de l'oubli du tombeau , Et de David éteint rallumé le flambeau.
Page 118 - N'imposent qu'à des gens qui ne sont point d'ici. On sait que ce pied plat, digne qu'on le confonde, Par de sales emplois s'est poussé dans le monde, Et que par eux son sort, de splendeur revêtu, Fait gronder le mérite et rougir la vertu.