Mémoires touchant la vie et les Ecrita de la Marquise de Sévigné, Volume 6 |
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... parler comme madame de Sévigné , « n'a- voit point été entraînée par ce fleuve qui entraîne tout . » > 2 SÉVIGNE , Lettres , t . IV , p . 252 . SÉVIGNÉ , Lettres ( 10 avril 1676 ) , t . IV , p . 244 . Voyant le grand Condé retourné dans ...
... parler comme madame de Sévigné , « n'a- voit point été entraînée par ce fleuve qui entraîne tout . » > 2 SÉVIGNE , Lettres , t . IV , p . 252 . SÉVIGNÉ , Lettres ( 10 avril 1676 ) , t . IV , p . 244 . Voyant le grand Condé retourné dans ...
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... parler des vertus du héros , de l'émotion trop fu- gitive de la cour , de l'affliction durable de la France . Cela est nécessaire , au reste , pour l'intelligence de ce qui doit suivre . Il n'y aura ici à introduire dans le texte ni ...
... parler des vertus du héros , de l'émotion trop fu- gitive de la cour , de l'affliction durable de la France . Cela est nécessaire , au reste , pour l'intelligence de ce qui doit suivre . Il n'y aura ici à introduire dans le texte ni ...
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... parler de M. de Turenne ; on s'attroupe ; tout étoit hier en pleurs dans les rues , le commerce de toute chose étoit suspendu ' . » Le peuple , ajoute - t - elle en reproduisant une allusion I SÉVIGNÉ , Lettres , t . III , p . 346 ...
... parler de M. de Turenne ; on s'attroupe ; tout étoit hier en pleurs dans les rues , le commerce de toute chose étoit suspendu ' . » Le peuple , ajoute - t - elle en reproduisant une allusion I SÉVIGNÉ , Lettres , t . III , p . 346 ...
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... parler de cette grande nouvelle ; il est naturel de communiquer tout ce qu'on pense là- dessus 2. » Le surlendemain , vendredi , autre lettre à madame de Grignan , presque entièrement remplie de la grande nouvelle : : « Je pense ...
... parler de cette grande nouvelle ; il est naturel de communiquer tout ce qu'on pense là- dessus 2. » Le surlendemain , vendredi , autre lettre à madame de Grignan , presque entièrement remplie de la grande nouvelle : : « Je pense ...
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... parler au roi ; il a toujours été baigné de larmes en racontant ce que je vous dis et les détails de la mort de son maître . M. de Turenne reçut le coup au travers du corps ; vous pouvez penser s'il tomba de cheval et s'il mourut ...
... parler au roi ; il a toujours été baigné de larmes en racontant ce que je vous dis et les détails de la mort de son maître . M. de Turenne reçut le coup au travers du corps ; vous pouvez penser s'il tomba de cheval et s'il mourut ...
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Common terms and phrases
¹ SÉVIGNÉ affaires aime amis Annecy août avoit baronne de Chantal belle c'étoit cardinal de Retz chère chevalier de Grignan chose cœur comte Condé Corbinelli Correspondance de Bussy Correspondance de Bussy-Rabutin cour cousin d'Hacqueville dame dessein Dieu dire dit-elle douleur duchesse écrit enfin étoit eût femme fille Fouquet François de Sales HENRI DE MAUPAS Ibid j'ai jours l'abbé l'évêque de Genève Louis XIV Louvois Ludre Luxembourg madame de Chantal madame de Coulanges madame de Grignan madame de Ludre madame de Maintenon madame de Montespan madame de Sé madame de Sévigné madame de Soubise mademoiselle maison Majesté mande maréchal marquise de Sévigné Mémoires ment Mercure galant mère de Chantal Michaud mille mois monde Monsieur mort parler passer penser Philisbourg Pomponne pouvoit princesse reine rien saint François Saint-Simon sainte Chantal santé sentiments seroit seul sœur sorte tendresse trouve Turenne Versailles Vichy Visitation voilà vouloit Walckenaer
Popular passages
Page 26 - On couvre le corps d'un manteau, on le porte dans une haie, on le garde à petit bruit. Un carrosse vient, on l'emporte dans sa tente : ce fut là où M.
Page 11 - ... sa lettre et l'envoie à deux heures. Il va sur cette petite colline avec huit ou dix personnes : on tire de loin à l'aventure un malheureux coup de canon , qui le coupe par le milieu du corps , et vous pouvez penser les cris et les pleurs de cette armée : le courrier part à l'instant, il arriva lundi, comme je vous ai dit; de sorte qu'à une heure l'une de l'autre, le roi eut une lettre de M. deTurenne, et la nouvelle de sa mort. Il est arrivé depuis un gentilhomme de M.
Page 10 - C'est à vous que je m'adresse, mon cher Comte, pour vous écrire une des plus fâcheuses pertes qui pût arriver en France : c'est la mort de M. de Turenne, dont je suis assurée que vous serez aussi touché et aussi désolé que nous le sommes ici. Cette nouvelle arriva lundi à Versailles. Le roi en a été affligé, comme on doit l'être de la mort du plus grand capitaine et du plus honnête homme du monde.
Page 368 - Il paraît ambitieux sans l'être ; la vanité et ceux qui l'ont conduit, lui ont fait entreprendre de grandes choses, presque toutes opposées à sa profession...
Page 232 - Est-il vrai, grand monarque, et puis-je me vanter Que tu prennes plaisir à me ressusciter? Qu'au bout de quarante ans , Cinna, Pompée , Horace, Reviennent à la mode , et retrouvent leur place ? Et que l'heureux brillant de mes jeunes rivaux N'ôte point leur vieux lustre à mes premiers travaux ? Achève ; les derniers n'ont rien qui dégénère , Rien qui les fasse croire enfants d'un autre père.
Page 366 - Mais puis-je oublier celui que je vois partout dans le récit de nos malheurs? Cet homme si fidèle aux particuliers, si redoutable à l'État, d'un caractère si haut qu'on ne pouvait ni l'estimer, ni le craindre, ni l'aimer, ni le haïr à demi...
Page 308 - Despréaux. Le roi leur dit il ya quatre jours : Je suis fâché que vous ne soyez venus à cette dernière campagne , vous auriez vu la guerre , et votre voyage n'eût pas été long. Racine lui répondit : Sire , nous sommes deux bourgeois qui n'avons que des habits de ville , nous en commandâmes de campagne ; mais les places que vous attaquiez furent plus tôt prises que nos habits ne furent faits.
Page 369 - La retraite qu'il vient de faire est la plus éclatante et la plus fausse action de sa vie ; c'est un sacrifice qu'il fait à son orgueil, sous prétexte de dévotion ; il quitte la cour, où il ne peut s'attacher, et il s'éloigne du monde qui s'éloigne de lui.
Page 13 - Monsieur, je ne suis point un « diseur; mais je vous prie de croire sérieusement que, « sans ces affaires-ci, où peut-être on a besoin de moi, je « me retirerais comme vous; et je vous donne ma parole « que, si j'en reviens, je ne mourrai pas sur le coffre, et < je mettrai, à votre exemple, quelque temps entre la
Page 147 - Tout mon déplaisir, c'est que vous ne voyiez point danser les bourrées de ce pays, c'est la plus surprenante chose du monde; des paysans, des paysannes, une oreille aussi juste que vous, une légèreté, une disposition; enfin j'en suis folle...