Mémoires touchant la vie et les Ecrita de la Marquise de Sévigné, Volume 6 |
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... main droite qui pendant quelque temps encore lui rendirent l'écriture excessivement pénible . Se figure - t - on bien madame de Sévigné ne pouvant tenir une plume , et surtout ne pouvant écrire à sa fille ! Son fils , son cousin ...
... main droite qui pendant quelque temps encore lui rendirent l'écriture excessivement pénible . Se figure - t - on bien madame de Sévigné ne pouvant tenir une plume , et surtout ne pouvant écrire à sa fille ! Son fils , son cousin ...
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... main gauche ; voilà bien du gauche . Mon visage n'est quasi pas changé ; vous trouve- riez fort aisément que vous avez vu ce chien de visage- là quelque part : c'est que je n'ai point été saignée , et que je n'ai qu'à me guérir de mon ...
... main gauche ; voilà bien du gauche . Mon visage n'est quasi pas changé ; vous trouve- riez fort aisément que vous avez vu ce chien de visage- là quelque part : c'est que je n'ai point été saignée , et que je n'ai qu'à me guérir de mon ...
Page 13
... main par convulsion ' ; et puis on jeta un manteau sur son corps . Ce Boisguyot , c'est ce gentilhomme , ne le quitta point qu'on ne l'eût porté sans bruit dans la plus prochaine maison . M. de Lorges étoit à près d'une demi - lieue de ...
... main par convulsion ' ; et puis on jeta un manteau sur son corps . Ce Boisguyot , c'est ce gentilhomme , ne le quitta point qu'on ne l'eût porté sans bruit dans la plus prochaine maison . M. de Lorges étoit à près d'une demi - lieue de ...
Page 25
... main , qui lui dit : « Monsieur ,, jetez les << yeux sur cette batterie que je viens de faire placer là . » M. de Turenne revint , et dans l'instant , sans être ar- rêté , il eut le bras et le corps fracassé du même coup qui emporte le ...
... main , qui lui dit : « Monsieur ,, jetez les << yeux sur cette batterie que je viens de faire placer là . » M. de Turenne revint , et dans l'instant , sans être ar- rêté , il eut le bras et le corps fracassé du même coup qui emporte le ...
Page 45
... main , qui le déclare : « Les confédérés se persuadoient que s'ils pouvoient gagner une bataille , ils entreroient infailliblement en France , et que s'ils y étoient une fois , les mécontente- ments du peuple ne manqueroient jamais d ...
... main , qui le déclare : « Les confédérés se persuadoient que s'ils pouvoient gagner une bataille , ils entreroient infailliblement en France , et que s'ils y étoient une fois , les mécontente- ments du peuple ne manqueroient jamais d ...
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Common terms and phrases
¹ SÉVIGNÉ affaires aime amis Annecy août avoit baronne de Chantal belle c'étoit cardinal de Retz chère chevalier de Grignan chose cœur comte Condé Corbinelli Correspondance de Bussy Correspondance de Bussy-Rabutin cour cousin d'Hacqueville dame dessein Dieu dire dit-elle douleur duchesse écrit enfin étoit eût femme fille Fouquet François de Sales HENRI DE MAUPAS Ibid j'ai jours l'abbé l'évêque de Genève Louis XIV Louvois Ludre Luxembourg madame de Chantal madame de Coulanges madame de Grignan madame de Ludre madame de Maintenon madame de Montespan madame de Sé madame de Sévigné madame de Soubise mademoiselle maison Majesté mande maréchal marquise de Sévigné Mémoires ment Mercure galant mère de Chantal Michaud mille mois monde Monsieur mort parler passer penser Philisbourg Pomponne pouvoit princesse reine rien saint François Saint-Simon sainte Chantal santé sentiments seroit seul sœur sorte tendresse trouve Turenne Versailles Vichy Visitation voilà vouloit Walckenaer
Popular passages
Page 26 - On couvre le corps d'un manteau, on le porte dans une haie, on le garde à petit bruit. Un carrosse vient, on l'emporte dans sa tente : ce fut là où M.
Page 11 - ... sa lettre et l'envoie à deux heures. Il va sur cette petite colline avec huit ou dix personnes : on tire de loin à l'aventure un malheureux coup de canon , qui le coupe par le milieu du corps , et vous pouvez penser les cris et les pleurs de cette armée : le courrier part à l'instant, il arriva lundi, comme je vous ai dit; de sorte qu'à une heure l'une de l'autre, le roi eut une lettre de M. deTurenne, et la nouvelle de sa mort. Il est arrivé depuis un gentilhomme de M.
Page 10 - C'est à vous que je m'adresse, mon cher Comte, pour vous écrire une des plus fâcheuses pertes qui pût arriver en France : c'est la mort de M. de Turenne, dont je suis assurée que vous serez aussi touché et aussi désolé que nous le sommes ici. Cette nouvelle arriva lundi à Versailles. Le roi en a été affligé, comme on doit l'être de la mort du plus grand capitaine et du plus honnête homme du monde.
Page 368 - Il paraît ambitieux sans l'être ; la vanité et ceux qui l'ont conduit, lui ont fait entreprendre de grandes choses, presque toutes opposées à sa profession...
Page 232 - Est-il vrai, grand monarque, et puis-je me vanter Que tu prennes plaisir à me ressusciter? Qu'au bout de quarante ans , Cinna, Pompée , Horace, Reviennent à la mode , et retrouvent leur place ? Et que l'heureux brillant de mes jeunes rivaux N'ôte point leur vieux lustre à mes premiers travaux ? Achève ; les derniers n'ont rien qui dégénère , Rien qui les fasse croire enfants d'un autre père.
Page 366 - Mais puis-je oublier celui que je vois partout dans le récit de nos malheurs? Cet homme si fidèle aux particuliers, si redoutable à l'État, d'un caractère si haut qu'on ne pouvait ni l'estimer, ni le craindre, ni l'aimer, ni le haïr à demi...
Page 308 - Despréaux. Le roi leur dit il ya quatre jours : Je suis fâché que vous ne soyez venus à cette dernière campagne , vous auriez vu la guerre , et votre voyage n'eût pas été long. Racine lui répondit : Sire , nous sommes deux bourgeois qui n'avons que des habits de ville , nous en commandâmes de campagne ; mais les places que vous attaquiez furent plus tôt prises que nos habits ne furent faits.
Page 369 - La retraite qu'il vient de faire est la plus éclatante et la plus fausse action de sa vie ; c'est un sacrifice qu'il fait à son orgueil, sous prétexte de dévotion ; il quitte la cour, où il ne peut s'attacher, et il s'éloigne du monde qui s'éloigne de lui.
Page 13 - Monsieur, je ne suis point un « diseur; mais je vous prie de croire sérieusement que, « sans ces affaires-ci, où peut-être on a besoin de moi, je « me retirerais comme vous; et je vous donne ma parole « que, si j'en reviens, je ne mourrai pas sur le coffre, et < je mettrai, à votre exemple, quelque temps entre la
Page 147 - Tout mon déplaisir, c'est que vous ne voyiez point danser les bourrées de ce pays, c'est la plus surprenante chose du monde; des paysans, des paysannes, une oreille aussi juste que vous, une légèreté, une disposition; enfin j'en suis folle...