Entretiens sur la grammaire |
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... comprise par l'enfance . Quant à ceux qui em- ploieront les Petites causeries , ou les Causeries avec mes Élèves , ils feront bien d'étudier la grammaire , à condition qu'ils ne la commencent pas avant le jour xvi PRÉFACE .
... comprise par l'enfance . Quant à ceux qui em- ploieront les Petites causeries , ou les Causeries avec mes Élèves , ils feront bien d'étudier la grammaire , à condition qu'ils ne la commencent pas avant le jour xvi PRÉFACE .
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... jour viendra beaucoup plus tôt que les professeurs ne le supposent peut - être ; et dès lors , ils auront à leur disposition , pour instruire et intéresser les élèves , non - seulement un manuel de causeries sur des sujets variés , mais ...
... jour viendra beaucoup plus tôt que les professeurs ne le supposent peut - être ; et dès lors , ils auront à leur disposition , pour instruire et intéresser les élèves , non - seulement un manuel de causeries sur des sujets variés , mais ...
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... La déesse était triste ? Oui , elle ne pouvait se consoler du départ d'Ulysse . Quand était - elle ainsi triste et inconsolable ? - Tous les jours et sans cesse . - - Sans cesse , mesdames : c'était son état habituel .
... La déesse était triste ? Oui , elle ne pouvait se consoler du départ d'Ulysse . Quand était - elle ainsi triste et inconsolable ? - Tous les jours et sans cesse . - - Sans cesse , mesdames : c'était son état habituel .
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... jours . Quel bonheur ! dans ce para- dis , dans cette île qu'un printemps éternel bordait de gazons fleuris ! Il n'y a pas de paradis , monsieur , pour la femme qui aime quand elle est seule , et abandonée : ces beaux lieux ne faisaient ...
... jours . Quel bonheur ! dans ce para- dis , dans cette île qu'un printemps éternel bordait de gazons fleuris ! Il n'y a pas de paradis , monsieur , pour la femme qui aime quand elle est seule , et abandonée : ces beaux lieux ne faisaient ...
Page 6
... jour l'Achéron , Faisait aux animaux la guerre . Ils ne mouraient pas tous , mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés À chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni Renards n ...
... jour l'Achéron , Faisait aux animaux la guerre . Ils ne mouraient pas tous , mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés À chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni Renards n ...
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Common terms and phrases
absolu adjectif indéfini adjectifs adjectifs possessifs adverbe affirmation aime ATHALIE avez avons beau beauté Bossuet Bruyère chose conjonction couple déclinaison latine déterminer Dieu dire élément négatif employé Entretiens esprit est-il eût exemples exprime Fadette féminin femme FONTAINE genre Grammaire des grammaires homme indirect interrogatif invariable j'ai jonctif l'adjectif l'ai l'article l'élément négatif l'emploi l'homme l'imparfait l'indicatif l'infinitif Landry langue langues analytiques langues synthétiques latin Littré madame mademoiselle maîtres MARE AU DIABLE marque masculin MAXIME ment Mérimée mesdames Mme de Sévigné monsieur MONTESQUIEU Musset n'est-ce n'est-il neutre nombre cardinal parle participe passé Pascal pensée personne phrase pleurer pluriel poésie poëte préposition présent prétérit défini pronom indéfini pronom relatif pronominal qu'un question Racine raison régime direct règle remplace reste rien ROCHEFOUCAULD SAND savez sens sentiment seul signification singulier sous-entendu subjonctif substantif sujet superlatif synonyme tion trouve verbe actif Voici Voilà Voltaire Voyez-vous vrai Xviii Zadig
Popular passages
Page 6 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 18 - Le Savetier et le Financier UN savetier chantait du matin jusqu'au soir: C'était merveille de le voir, Merveille de l'ouïr; il faisait des passages, Plus content qu'aucun des sept Sages. Son voisin, au contraire, étant tout cousu d'or, Chantait peu, dormait moins encor: C'était un homme de finance. Si sur le point du jour parfois il sommeillait, Le savetier alors en chantant l'éveillait; Et le financier se plaignait Que les soins de la Providence N'eussent pas au marché fait vendre le dormir...
Page 4 - II met bas son fagot, il songe à son malheur. Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos...
Page 223 - J'ai perdu jusqu'à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j'ai connu la Vérité, J'ai cru que c'était une amie; Quand je l'ai comprise et sentie, J'en étais déjà dégoûté.
Page 55 - S'il ne te faut, ma sœur chérie, Qu'un baiser d'une lèvre amie Et qu'une larme de mes yeux, Je te les donnerai sans peine; De nos amours qu'il te souvienne, Si tu remontes dans les cieux. Je ne chante ni l'espérance, Ni la gloire, ni le bonheur, Hélas ! pas même la souffrance. La bouche garde le silence Pour écouter parler le cœur.
Page 27 - Sa vue a ranimé mes esprits abattus, Mais lorsque revenant de mon trouble funeste, J'admirais sa douceur, son air noble et modeste, J'ai senti tout à coup un homicide acier, Que le traître en mon sein a plongé tout entier.
Page 183 - La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. C'est donc être misérable que de se connaître misérable; mais c'est être grand que de connaître qu'on est misérable.
Page 215 - Ma fille. En achevant ces mots épouvantables, Son Ombre vers mon lit a paru se baisser. Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser. Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris, et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux, Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 18 - Et le financier se plaignait Que les soins de la Providence N'eussent pas au marché fait vendre le dormir Comme le manger et le boire. En son hôtel il fait venir Le chanteur, et lui dit: «Or ça, sire Grégoire, Que gagnez-vous par an ? — Par an ! ma foi, Monsieur...
Page 65 - Moi, votre ami ? Rayez cela de vos papiers. J'ai fait jusques ici profession de l'être ; Mais après ce qu'en vous je viens de voir...