Vient -il quelqu'un dans ma chambre, il le voit si je veux ; il lui parle, lui dit les choses que je veux qu'il lui dise, non pas toujours telles que je les lui dicte, mais telles que la vérité l'exige. Quand il veut dire plus que je ne crois prudent... Aventures de Cagliostro - Page 6by Félix d'Amoreux Saint-Félix (called Jules de) - 1854 - 160 pagesFull view - About this book
 | Alexandre Jacques François Bertrand - Animal magnetism - 1826 - 543 pages
...suis bien utile, et j'opère bien des » effets salutaires sur tous les malades des environs. «Ils affluent autour de mon arbre; il y en avait ce «matin...baquet «possible; il n'ya pas une feuille qui ne commu» nique la santé ; chacun y éprouve plus ou moins de «bons effets. Vous serez charmé de voir... | |
 | Alexandre Jacques F. Bertrand - 1826
...l'exige. Quand il veut dire plus que je • ne crois prudent qu'on en entende, alors j'arrête • ses idées, ses phrases, au milieu d'un mot, et je » change son idée totalement. » M. de Puységur, enchanté des nouvelles merveilles qu'il avait sous les yeux, aurait voulu en rendre... | |
 | Alexandre-Jacques-François Bertrand - Ecstasy - 1826 - 539 pages
...vérité l'exige. Quand il veut dire plus que je »ne crois prudent qu'on en entende , alors j'arrête »ses idées, ses phrases, au milieu d'un mot, et je » change son idée totalement. » M. de Puységur, enchanté des nouvelles merveilles qu'il avait sous les yeux , aurait voulu en... | |
 | Jacques-Paul Migne, Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - Dreams - 1848 - 4 pages
...étonnants. « J'opère des effets bien salutaires sur les malades des environs, disait M. de Puységur ; ils affluent autour de mon arbre; il y en avait ce matin plus de cent trente. » Des arbres déjà pleins de force et de vie , auxquels on communique son propre fluide , deviennent... | |
 | J. du Potet - 1856 - 632 pages
...vérité l'exige. Quand il veut dire plus que je ne crois » prudent qu'on entende, alors j'arrête ses idées, ses » phrases, au milieu d'un mot, et je change son idée tota» lement. » » est en crise. J'en ai plusieurs qui approchent de son état, » mais aucun ne... | |
 | Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - Oracles - 1860
...étonnants. « J'opère des effets bien salutaires sur les malades des environs, disait M. de Puységur; ils affluent autour de mon arbre; il y en avait ce matin plus de cent trente. » Des arbres déjà pleins de force et de vie , auxquels on communique son propre fluide , deviennent... | |
 | Louis Figuier - Animal magnetism - 1860
...vérité l'exige. Quand il veut dire plus que je ne crois prudent qu'on n'en entende , alors j'arrête ses idées , ses phrases au milieu d'un mot , et je change son idée totalement. Vous jugez qu'il est impossible que cet homme ne soit pas singulièrement pénétré de reconnaissance... | |
 | Nouvelle biographie - 1862
...car je suis bien utile et j'opère bien des effets salutaires sur tous les malades des environs ; ils affluent autour de mon arbre : il y en avait ce matin...trente. C'est une procession, perpétuelle dans le pays. » En deux mois M. de Puységtir opéra soixante-deux guérisons, et trois cents malades étaient inscrits... | |
 | Hoefer (M., Jean Chrétien Ferdinand) - Bio-bibliography - 1862
...bien utile et j'opère bien des effets salutaires sur tous les malades des environs ; ils al Huent autour de mon arbre : il y en avait ce matin plus...trente. C'est une procession perpétuelle dans le pays. » En deux mois M. de Puységor opéra soixante-deux -guérisons, et trois cents malades étaient inscrits... | |
 | Henri Roger Gougenot des Mousseaux - 1864 - 464 pages
...Quand il veut dire plus que je ne crois prudent qu'on entende, alors f arrête ses idées; j'arrête ses phrases AU MILIEU D'UN MOT, et je change son idée totalement. Je ne connais rien de plus profond et de plus clairvoyant que ce paysan , quand il est en crise '.... | |
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