Aventures de Cagliostro |
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Page 10
Il est présumable que le jeune aventurier se Bu reste , l'amour - propre n'était pas
le préoccupa bien plutôt d'exercer quelque coupable al mobile guí l'avait poussé
à s'anoblir ; industrie au milieu de cette riche population , que et pénétrant et ...
Il est présumable que le jeune aventurier se Bu reste , l'amour - propre n'était pas
le préoccupa bien plutôt d'exercer quelque coupable al mobile guí l'avait poussé
à s'anoblir ; industrie au milieu de cette riche population , que et pénétrant et ...
Page 11
Du reste , l'amour - propre n'était pas le principal mobile qui l'avait poussé à s'
anoblir ; son esprit pénétrant et calculateur avait fort bien I compris tout le parti qu
'on pouvait tirer d'un nom h ! et d'un titre à une époque où les priviléges de la ...
Du reste , l'amour - propre n'était pas le principal mobile qui l'avait poussé à s'
anoblir ; son esprit pénétrant et calculateur avait fort bien I compris tout le parti qu
'on pouvait tirer d'un nom h ! et d'un titre à une époque où les priviléges de la ...
Page 20
-1 , je dirai même la vénération que le comte voyage à Paris . su de professer
pour sou maitre és sciences unit seulement que le vieil Altotas n'était pas Un
bâtiment génois qui naviguait pour le name sans valeur . commerce reçut . à son
bord ...
-1 , je dirai même la vénération que le comte voyage à Paris . su de professer
pour sou maitre és sciences unit seulement que le vieil Altotas n'était pas Un
bâtiment génois qui naviguait pour le name sans valeur . commerce reçut . à son
bord ...
Page 21
... personnage que des renseignements très - vagues ; la constante admiration ,
je dirai même la vénération que le comte ne cessa de professer pour son maître
ès sciences prouverait seulement que le vieil Altotas n'était pas un homme sans
...
... personnage que des renseignements très - vagues ; la constante admiration ,
je dirai même la vénération que le comte ne cessa de professer pour son maître
ès sciences prouverait seulement que le vieil Altotas n'était pas un homme sans
...
Page 38
... maçon depuis deux ans . professant un grand dévouement pour la tages qu'il
projetail . Bientôt il voulut revoir dules se trompèrent sur son compte ; ils le prirent
surtout la Sicile . Dans quel but ' quel noter ? On l'ignore . Il n'était pas homme ...
... maçon depuis deux ans . professant un grand dévouement pour la tages qu'il
projetail . Bientôt il voulut revoir dules se trompèrent sur son compte ; ils le prirent
surtout la Sicile . Dans quel but ' quel noter ? On l'ignore . Il n'était pas homme ...
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h
et mesmerisme
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Common terms and phrases
âge arriva assez avaient Balsamo beau belle c'était Cagliostro cardinal cause célèbre cent chercher chose commencement comte corps coup cour d'autres demanda démon dernier devant diable Dieu dire docteur donner doute effet enfant enfin esprits état étrange faculté faisait femme fille fond force forme fort gens guérir haut histoire homme J'ai jeune jour juges l'esprit l'homme laissant lettre lieu livre loge Lorenza Louis magie magnétisme main maison malade médecine ment merveilleux Mesmer mille monde montre mort mouvement moyen n'était nombre nommé nouvelle opération Palerme parler passé pendant pensée personne petite pieds place porte pouvait premier présenta prince puissance qu'un raconte rapport reine rendit reste rien Rohan s'était s'il sait science secret sens sent serait seulement siècle société somme somnambule sorcellerie sorciers sorte souvent suite suivant table tenir terre tête tion tomber toucher tour traitement trouva venir vive voit voyait yeux
Popular passages
Page 118 - Rullandus avait de la dent d'or, et Rullandus fait aussitôt une belle et docte réplique. Un autre grand homme, nommé Libavius, ramasse tout ce qui avait été dit de la dent, et y ajoute son sentiment particulier. Il ne manquait autre, chose à tant de beaux ouvrages, sinon qu'il fût vrai que la dent était d'or. Quand un orfèvre l'eut examinée, il se trouva que c'était une feuille d'or appliquée à la dent, avec beaucoup d'adresse; mais on commença par faire des livres, et puis on consulta...
Page 117 - En 1593, le bruit courut que les dents étant tombées à un enfant de Silésie, âgé de sept ans, il lui en était venu une d'or à la place d'une de ses grosses dents.
Page 118 - Helmstad, écrivit en 1595 l'histoire de cette dent, et prétendit qu'elle était en partie naturelle, en partie miraculeuse, et qu'elle avait été envoyée de Dieu à cet enfant pour consoler les chrétiens affligés par les Turcs. Figurez-vous quelle consolation, et quel rapport de cette dent aux chrétiens, ni aux Turcs. En la même année, afin que cette dent d'or ne manquât pas d'historiens, Rullandus en écrit encore l'histoire.
Page 128 - ... inexplicables dans l'état actuel de nos connaissances. Seulement nous devons les examiner avec une attention d'autant plus scrupuleuse qu'il paraît plus difficile de les admettre.
Page 6 - Vient -il quelqu'un dans ma chambre, il le voit si je veux ; il lui parle, lui dit les choses que je veux qu'il lui dise, non pas toujours telles que je les lui dicte, mais telles que la vérité l'exige. Quand il veut dire plus que je ne crois prudent qu'on en entende, alors j'arrête ses idées, ses phrases au milieu d'un mot, et je change son idée totalement.....
Page 4 - Le magnétisme est aux abois! La Faculté, l'Académie, L'ont condamné tout d'une voix Et l'ont couvert d'ignominie. Après ce jugement bien sage et bien légal, Si quelque esprit original Persiste encor dans son délire, II sera permis de lui dire : Crois au magnétisme... animal.
Page 169 - ... toutes à la fois; ce fut de leur faire signifier par ordre des magistrats qu'il y aurait à la porte du couvent une compagnie de soldats, lesquels, au premier bruit qu'ils entendraient de ces miaulemens, entreraient aussitôt dans le couvent et fouetteraient sur le champ celle qui aurait miaulé.
Page 129 - ... la gorge, par des soubresauts des hypocondres et de l'épigastre, par le trouble et l'égarement des yeux, par des cris perçants, des pleurs, des hoquets et des rires immodérés. Elles sont précédées ou suivies d'un état de langueur ou de rêverie, d'une sorte d'abattement et même d'assoupissement.