Cours d'histoire moderne: Histoire générale de la civilisation en Europe, depuis la chute de l'Empire romain jusqu'à la révolution françaisePichon et Didier, 1828 |
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... n'était pas particulier à Rome : quand on regarde en Italie , à cette époque , autour de Rome , on ne trouve que des villes . Ce qu'on ap- pelait alors des peuples n'était que des confédé- rations de villes . Le peuple latin est une ...
... n'était pas particulier à Rome : quand on regarde en Italie , à cette époque , autour de Rome , on ne trouve que des villes . Ce qu'on ap- pelait alors des peuples n'était que des confédé- rations de villes . Le peuple latin est une ...
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... n'était plus simplement une croyance in- dividuelle , c'était une institution ; il s'était cons- titué ; il avait son gouvernement , un corps du clergé , une hiérarchie déterminée pour les dif- férentes fonctions du clergé , des revenus ...
... n'était plus simplement une croyance in- dividuelle , c'était une institution ; il s'était cons- titué ; il avait son gouvernement , un corps du clergé , une hiérarchie déterminée pour les dif- férentes fonctions du clergé , des revenus ...
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... n'était pas seulement une religion , c'é- tait une église . 1 S'il n'eût pas été une église , je ne sais , Mes- sieurs , ce qui en serait advenu au milieu de la chute de l'Empire romain . Je me renferme dans les considérations purement ...
... n'était pas seulement une religion , c'é- tait une église . 1 S'il n'eût pas été une église , je ne sais , Mes- sieurs , ce qui en serait advenu au milieu de la chute de l'Empire romain . Je me renferme dans les considérations purement ...
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... n'était ni permanente , ni systéma- tique . Je pourrais , en examinant sous toutes ses faces l'état social à cette époque , vous montrer qu'il est impossible d'y découvrir nulle part aucun fait , aucun principe un peu général , un peu ...
... n'était ni permanente , ni systéma- tique . Je pourrais , en examinant sous toutes ses faces l'état social à cette époque , vous montrer qu'il est impossible d'y découvrir nulle part aucun fait , aucun principe un peu général , un peu ...
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... n'était pas moins puissante . Après tout , Messieurs , quels que soient les évé- nemens extérieurs , c'est l'homme lui - même qui fait le monde ; c'est en raison des idées , des senti- des dispositions morales et intellectuelles de l ...
... n'était pas moins puissante . Après tout , Messieurs , quels que soient les évé- nemens extérieurs , c'est l'homme lui - même qui fait le monde ; c'est en raison des idées , des senti- des dispositions morales et intellectuelles de l ...
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Cours d'histoire moderne: histoire generale de la civilisation en Europe ... François Guizot No preview available - 2011 |
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 26 - ... et au commencement du v« siècle, c'est l'Église chrétienne qui a sauvé le christianisme; c'est l'Église avec ses institutions, ses magistrats, son pouvoir, qui s'est défendue vigoureusement contre la dissolution intérieure de l'Empire, contre la barbarie, qui a conquis les Barbares, qui est devenue le lien, le moyen, le principe de civilisation entre le monde romain et le monde barbare.
Page 21 - Un homme s'est rencontré d'une profondeur d'esprit incroyable, hypocrite raffiné autant qu'habile politique, capable de tout entreprendre et de tout cacher, également actif et infatigable dans la paix et dans la guerre, qui ne laissait rien à la fortune de ce qu'il pouvait lui ôter par conseil et par prévoyance...
Page 13 - C'est, au contraire, le plaisir de Louis XI d'éviter l'emploi de la force, de s'emparer des hommes individuellement, par la conversation, par le maniement habile des intérêts et des esprits. Il a changé non pas les institutions, non pas le système extérieur, mais les procédés secrets, la tactique du pouvoir.
Page 21 - Deux faits sont donc compris dans ce grand fait; il subsiste à deux conditions, et se révèle à deux symptômes : le développement de l'activité sociale et celui de l'activité individuelle, le progrès de la société et le progrès de l'humanité.
Page 17 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs : Je meurs , et sur la tombe où lentement j'arrive Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 30 - Je n'ajouterai rien , Messieurs, je n'entreprendrai point de traiter la question même ; je me contente de la poser. Elle se rencontre à la fin de l'histoire de la civilisation : quand l'histoire de la civilisation est épuisée, quand il n'ya plus rien à dire de la vie actuelle, l'homme se demande invinciblement si tout est épuisé, s'il est à la fin de tout? Ceci est donc le dernier problème, et le plus élevé de tous ceux auxquels l'histoire de la (i) Opinion de M.
Page 8 - ... faits moraux, cachés, qui n'en sont pas moins réels; il ya des faits individuels, qui ont un nom propre; il ya des faits généraux, sans nom, auxquels il est impossible d'assigner une date précise...
Page 18 - Je sens que mon corps s'affaiblit et tend vers sa fin. J'ai achevé ma course, et plût à Dieu que je pusse ajouter: j'ai été fidèle.
Page 8 - Pour ceux d'entre vous qui ont fait des études philosophiques un peu étendues, il est, je crois, évident aujourd'hui que la morale existe indépendamment des idées religieuses ; que la distinction du bien et du mal moral, l'obligation de fuir le mal, de faire le bien, sont des lois que l'homme reconnaît dans sa propre nature aussi bien que les lois de la logique , et qui ont en lui leur principe, comme, dans sa vie actuelle , leur application.
Page 17 - Marie les entendit jusqu'à la fin sans émotion ; et faisant le signe de la croix , au nom du Père , du Fils et du Saint-Esprit : « Une âme , dit-elle, n'est pas digne des joies du ciel, lorsqu'elle s'afflige parce que le corps doit endurer la main du bourreau; et quoique je ne dusse pas attendre que la reine d'Angleterre...