| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 340 pages
...confufes, mais délicieufes , & qui fans avoir aucun objet bien déterminé ni confiant, ne laiflbient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avoïs trouvé d&plus doux dans ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le baifler... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 434 pages
...confufes , mais délicieufes , & qui fans avoir aucun objet bien déterminé ni confiant, ne laiffoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le baifler... | |
| Rousseau - 1782 - 448 pages
...confufes , mais délicieufes , & qui fans avoir aucun objet bien déterminé ni confiant, ne laiffoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le baifler... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1782 - 446 pages
...confufes , mais délicieufes , & qui fans avoir aucun objet bien déterminé ni conftant, ne laiffoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le baiffer... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 522 pages
...délicieufes , & qui, fans Qv Les Rêveries. avoir aucun objet bien déterminé ni confiant } ne laifloient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avois trouvé de plus doux à ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le bai(Ter... | |
| Jean-Jacques Rousseau - Authors, French - 1782 - 594 pages
...confufes, mais délicieufes, & qui fans avoir aucun objet bien déterminé ni confiant, ne laiffoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avois trouvé de plus doux dans ce qu'on appelle les plaifirs de la vie. Souvent averti par le baifler... | |
| Jean-Jacques Rousseau, René Just Haüy - Botany - 1802 - 354 pages
...dans mille rêveries confuses , mais délicieuses, et qui, sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant , ne laissaient pas d'être à mon gré...doux dans ce qu'on appelle les plaisirs de la vie. Souvent averti par le baisser du soleil de l'heure de la retraite, je me trouvais si loin de l'île... | |
| Archibald Alison - Aesthetics - 1812 - 444 pages
...constant, ne laissoient " pas d'etre a mon gre cent fois preferables a tout ce " que j'avois trouve de plus doux dans ce qu'on appelle *' les plaisirs de la vie. " Quand le soir approchoit, je descendois, des " cimes de 1'isle, et j'allois volontiers m'asseoir... | |
| Ludwig Ideler - 1812 - 618 pages
...contuses, mais délicieuse«; et que sans avoir aucun objet bien déterminé ni constant ne laiasoient pas d'être à mon gré cent fois préférables à tout ce que j'avois trouvé de plus doux dans - ce qu'on appelle le» plaisirs de la vie. Souvent .averti par le... | |
| Archibald Alison - Aesthetics - 1812 - 442 pages
...constant, ne laissoient " pas d'etre a mon gr6 cent fois preferables a. tout ce " que j'avois trouv6 de plus doux dans ce qu'on appelle " les plaisirs de la vie. " —Quand le soir approchoit, je descendois, des " cimes de 1'isle, et j'allois volontiers m'asseoir... | |
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