Vie des grands hommes, Volume 2Bureaux du Constitutionnel, 1856 - Biography |
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Abélard Açores âme amour Anglais avaient Barthélemy Baudricourt beauté bord C'était cacique château cheval choses Christophe Colomb ciel cœur Colomb compagnons crime croyait d'Abélard d'Héloïse d'Isabelle Dauphin découverte devant Diego Dieu dit-elle divine Domrémy duc de Bedford duc de Bourgogne enfants ennemis Espagnols Étienne Dolet femme Ferdinand fils flèche fourneau frères FRIESSHARDT Fulbert FURST génie GESSLER globe gloire gouverneur Guillaume Tell Guttemberg habitants Héloïse Hispaniola hommes humain Indiens inspiration Isabelle j'avois Jeanne Jeanne d'Arc jeune fille jour Juan Perès l'âme l'amiral l'amour l'Église l'esprit l'homme l'île l'Océan laissa larmes lettres lui-même main maison matelots Mayence ment merveilles monastère monde montagnes mort mystère nature navigation navires nuit Palissy Palos Paraclet parole passion patrie pendant pensée père peuple pied Pierre le Vénérable piété Pinzon poëte porte premier Providence Rabida reine rivage royaume sainte secret Seigneur sentiment seul siècle soldats souverains STAUFFACHER tendresse terre tion vaisseaux Vaucouleurs voix WALTHER yeux
Popular passages
Page 420 - ... de vin, rempli de grandes tristesses : d'autant qu'après avoir longuement travaillé, je voyois mon labeur perdu. » Or, en me retirant ainsi souillé et trempé, je trouvois en ma chambre une seconde persécution pire que la première, qui me fait à présent émerveiller que je ne suis consumé de tristesse.
Page 183 - Gentil Dauphin, dit-elle, j'ai nom Jehanne la Pucelle. Le Roi des cieux vous mande par moi que vous serez sacré et couronné en la ville de Reims, et vous serez lieutenant du Roi des cieux, qui est roi de France.
Page 413 - Les autres disoient que je cherchois à faire de « la fausse monnoie, qui estoit un mal qui me fai« soit sécher sur les pieds : et m'en allois par les « rues tout baissé, comme un homme honteux. J'étois « endetté en plusieurs lieux, et avois ordinairement « deux enfants aux nourrices , ne pouvant payer « leurs salaires. Personne ne me secouroit; mais au « contraire ils se moquoient de moy, en disant : « II « luy appartient bien de mourir de faim, parce
Page 413 - Pieux. trouver mauvais si j'en fais un peu long discours, afin de te ,< rendre plus attentif à ce qui te pourra servir. Quand je me fus reposé un peu de temps avec regrets de ce que nul n'avoit pitié de moy, je dis à mon âme : Quest-ce qui te triste, puis que tu as trouvé ce que tu cherchois ? Travaille à présent et tu rendras honteux tes détracteurs.
Page 178 - Elle se plaignit à lui du refus de Baudricourt:» Et cependant, dit-elle, avant qu'il soit la mi-carême, il faut que je sois devers le roi, dussé-je, pour m'y rendre, user mes jambes jusqu'aux genoux. Car personne au monde, ni rois, ni ducs, ni fille du roi d'Ecosse, ne peuvent reprendre le royaume de France, et il n'ya pour lui de secours que moi-même, quoique j'aimasse mieux...
Page 414 - Quand nous eusmes travaillé l'espace de six mois, et qu'il falloit cuire la besogne faite, il fallut faire un fourneau et donner congé au potier, auquel par faute d'argent je fus contraint donner de mes vestemens pour son salaire.
Page 192 - Roi du ciel, rendez les clefs du royaume à la pucelle envoyée de Dieu ! Et vous, archers et hommes d'armes qui êtes devant Orléans, allez-vous-en, de par Dieu, en...
Page 84 - Il raconte qu'il ya une magie dans ces arbres, et que, quand un homme leur a fait dommage, sa main sort de la fosse après sa mort. TELL. Ces arbres sont sacrés, il est vrai. Vois-tu là-bas ces hautes montagnes blanches dont la pointe semble se perdre dans le ciel? WALTHER. Ce sont les glaciers, qui résonnent la nuit comme le tonnerre et d'où tombent les avalanches. TELL. Oui, mon enfant; et...
Page 415 - Mais quand j'eus acheté lesdites étoffes, il me survint un labeur qui me cuida faire rendre l'esprit; car, après que par plusieurs jours je me fus lassé à piler et calciner mes matières, il me les convint broyer, sans aucun aide, à un moulin à bras, auquel il falloit ordinairement deux puissants hommes pour le virer.
Page 411 - ... me pris à ériger un fourneau semblable à ceux « des verriers, lequel je bâtis avec un labeur indi...