Du travail intellectuel en France, depuis 1815 jusqu'à 1837 |
From inside the book
Results 1-5 of 59
Page 9
... femme , c'est - à - dire le ministre , doit participer de la nature de l'homme et de celle de l'enfant ; et dans la société politique ou publique , où le ministère héréditaire , où la noblesse parti- cipe de la nature du pouvoir royal ...
... femme , c'est - à - dire le ministre , doit participer de la nature de l'homme et de celle de l'enfant ; et dans la société politique ou publique , où le ministère héréditaire , où la noblesse parti- cipe de la nature du pouvoir royal ...
Page 21
... femme la plus extraordinaire du monde , comme j'en suis l'homme le plus extraordinaire ; à nous deux nous ferions sans doute un enfant ' en- core plus extraordinaire . » Madame de Staël avait trop d'esprit pour ne pas prendre le parti ...
... femme la plus extraordinaire du monde , comme j'en suis l'homme le plus extraordinaire ; à nous deux nous ferions sans doute un enfant ' en- core plus extraordinaire . » Madame de Staël avait trop d'esprit pour ne pas prendre le parti ...
Page 57
... femmes et des biens . Le 1er octobre 1830 , MM . Bazard et Enfantin adressèrent à la Chambre des députés la réponse suivante . Elle importe trop à la connaissance des idées de la secte pour que nous ne la donnions pas ici . « Oui sans ...
... femmes et des biens . Le 1er octobre 1830 , MM . Bazard et Enfantin adressèrent à la Chambre des députés la réponse suivante . Elle importe trop à la connaissance des idées de la secte pour que nous ne la donnions pas ici . « Oui sans ...
Page 59
... femme ; mais ils ensei- gnent que l'épouse doit devenir l'égal de l'époux , et que selon la grâce particulière que Dieu a dévo- lue à son sexe , elle doit lui être associée dans l'exer- cice de la triple fonction du temple , de l'Etat ...
... femme ; mais ils ensei- gnent que l'épouse doit devenir l'égal de l'époux , et que selon la grâce particulière que Dieu a dévo- lue à son sexe , elle doit lui être associée dans l'exer- cice de la triple fonction du temple , de l'Etat ...
Page 60
... femmes des fonctions politi- ques . Leur influence nous paraît devoir s'exercer autrement , et ne devoir pas être moins puissante pour cela . Sans doute il faut que la femme s'élève beaucoup dans l'avenir , qu'elle comprenne la mis ...
... femmes des fonctions politi- ques . Leur influence nous paraît devoir s'exercer autrement , et ne devoir pas être moins puissante pour cela . Sans doute il faut que la femme s'élève beaucoup dans l'avenir , qu'elle comprenne la mis ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
admirable âme assez aujourd'hui avons Benjamin Constant Bonald bonheur Bossuet c'était Casimir Delavigne catholique charme Chateaubriand choses chrétienne christianisme civilisation cœur comte de Maistre critique démocratie Dieu dire divine doctrines doute écrit écrivains Émile Souvestre enseignement époque esprits fantaisie femme féodalité force Fourier française génie Génie du Christianisme George Sand gloire gouvernement guerre Guizot hommes humain idées jamais jour justice l'âme l'amour l'auteur l'avenir l'Église l'esprit l'histoire l'homme l'humanité l'idée l'in l'intelligence Lamartine Lamennais législation liberté livre long-temps madame de Staël ment monde morale moyen âge nation noble œuvre orateur panthéisme parler parole passé passions Paul-Louis Courier pensée peuples peut-être phalanstère philosophie poëme poésie poëte poétique politique pouvoir prêtre principe profonde public puissance qu'un raison religieuse religion révolution Royer-Collard saint Saint-Simon saint-simoniens Sainte-Beuve science semble sent sera seulement sion sociale société sorte souvent style talent terre terrible théories tion travail tribune vérité Victor Hugo Voilà voix volume
Popular passages
Page 142 - Nous , nous voulons la monarchie assise sur les bases de l'égalite des droits , de la morale , de la liberté civile , de la tolérance politique et religieuse. Nous l'as-tu donnée, cette monarchie? Qu'astu fait pour nous? que devons-nous à ton règne? Qui est-ce qui a assassiné le duc d'Enghien , torturé Pichegru , banni Moreau , chargé de chaînes le souverain pontife, enlevé les princes d'Espagne, commencé une guerre impie? C'est toi. Qui est-ce qui a perdu nos colonies , anéanti notre...
Page 33 - Le Dieu de la conscience n'est pas un Dieu abstrait, un roi solitaire relégué par delà la création sur le trône désert d'une éternité silencieuse et d'une existence absolue qui ressemble au néant même de l'existence : c'est un Dieu à la fois vrai et réel, à...
Page 89 - J'ai encore beaucoup de choses à vous dire; mais vous ne pouvez les porter présentement (e). 13. Quand cet Esprit de vérité sera venu, il vous enseignera toute vérité; car il ne parlera pas de lui-même; mais il dira tout ce qu'il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir.
Page 22 - ... les plus capables dans les sciences, dans les beauxarts, et dans les arts et métiers faisant en tout les trois mille premiers savants, artistes et artisans de France.
Page 34 - ... et totalité, principe, fin et milieu, au sommet de l'être et à son plus humble degré, infini et fini tout ensemble, triple enfin, c'est-àdire à la fois Dieu, nature et humanité.
Page 190 - Bourbon, et l'usurpateur qui venait saisir la couronne d'un Bourbon après s'être emparé de sa personne par une trahison sans exemple; entre un conquérant qui marchait brisant les autels, tuant les religieux, déportant les prêtres , renversant les institutions du pays, et un petit-fils de saint Louis qui arrive pour protéger tout ce qu'il ya de sacré parmi les hommes, et qui, jadis proscrit lui-même, vient faire cesser les proscriptions.
Page 49 - Mais aucun de nous n'est lui. — Chacun de nous vit de sa vie, — et tous nous communions en lui ; car il est TOUT CE QUI EST* ». Nul de nous n'est hors de lui!
Page 58 - Saint-Simoniens repoussent ce partage égal de la propriété, qui constituerait à leurs yeux une violence plus grande, une injustice plus révoltante que le partage inégal qui s'est effectué primitivement par la force des armes, par la conquête. » Car ils croient à l'inégalité naturelle des hommes, et regardent cette inégalité comme la base même de l'association, comme la condition indispensable -de l'ordre social.
Page 28 - C'est la passion de la science et du bonheur public, c'est le désir de trouver un moyen de terminer d'une manière douce l'effroyable crise dans laquelle toute la société européenne se trouve engagée, qui m'ont fait tomber dans cet état de détresse.
Page 103 - Ce n'est point là de la poésie de tumulte et de bruit ; ce sont des vers sereins et paisibles , des vers comme tout le monde en fait ou en rêve , des vers de la famille, du foyer domestique , de la vie privée ; des vers de l'intérieur de l'âme.