Voyage en Amérique, Volume 1 |
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américains anglois arbres avoient avoit baie baie d'Hudson bison bois bord c'étoit cabane Canada canots capitaine Francklin carcajou castors cent chasse chasseurs Chicassas Circleville circulaire civilisation collines Colomb conjugaison côté danse découvert degré désert détroit distance dix pieds duel eaux élevé espèce étoient étoit Européens femme fleuve forêts fortifications François glaces golfe guerriers hommes huit huron hutte îles Indiens Iroquois j'ai jongleur Kentucky l'Afrique l'Amérique septentrionale l'Asie l'eau l'embouchure l'Essai historique l'Inde l'Ohio l'ouest l'ours lac Érié lac Huron lac Ontario langue langue huronne latitude nord lune Mackenzie maïs ment milles Mississipi Missouri monde monuments Muskingum Natchez nations neige Niagara nord-ouest Ohio osselets ouvrages paroissent passé pays peuples pieds de hauteur pieds de profondeur plaine plantes pluriel poisson porte première quatre rat musqué Relation remparts reste rivages rive rivière Sachem Sauvages Scioto serpent soleil Strabon terre Terre-Neuve tion troisième personne trouve verbes Vinland voit voyage voyageurs
Popular passages
Page 240 - Bartram , que j'avois traduits avec assez de soin. A ces extraits sont entremêlées mes rectifications, mes observations, mes réflexions , mes additions , mes propres descriptions , à peu près comme les notes de M. Ramond à sa traduction du Voyage de Coxe en Suisse.
Page 208 - La réverbération de notre bûcher s'étend au loin: éclairé en dessous par la lueur scarlatine, le feuillage paraît ensanglanté ;. les troncs des arbres . les plus proches s'élèvent comme des colonnes de granit rouge, mais les plus distants, atteints à peine de la lumière, ressemblent, dans l'enfoncement du bois, à de pâles fantômes rangés en cercle au bord d'une nuit profonde.
Page 209 - Voici le vent; il court sur la cime des arbres; il les secoue en passant sur ma tête. Maintenant c'est comme le flot de la mer qui se brise tristement sur le rivage. Les bruits ont réveillé les bruits. La forêt est toute harmonie. Est-ce les sons graves de l'orgue que j'entends, tandis que des sons plus légers...
Page 203 - Dieu, ou adorez-le sous des formes superstitieuses : moi j'irai errant dans mes solitudes ; pas un seul battement de mon cœur ne sera comprimé, pas une seule de mes pensées ne sera enchaînée ; je serai libre comme la nature; je ne reconnoîtrai de Souverain que celui qui alluma la flamme des soleils, et qui d'un seul coup de sa main fit rouler tous les mondes *. Sept heures du soir.
Page 365 - L'algonquin a moins d'énergie que le huron; mais il est plus doux , plus élégant et plus clair : on l'emploie ordinairement dans les traités ; il passe pour la langue polie ou la langue classique du désert. Le huron étoit parlé par le peuple qui lui a donné son nom , et par les Iroquois , colonie de ce peuple. Le huron est une langue complète ayant ses verbes , ses noms , ses pronoms et ses adverbes. Les verbes simples ont une double conjugaison , l'une absolue , l'autre réciproque ; les...
Page 203 - ... sur mon passage. Est-ce sur le front de l'homme de la société, ou sur le mien, qu'est gravé le sceau immortel de notre origine? Courez vous enfermer dans vos cités, allez vous soumettre à vos petites lois; gagnez votre pain à la sueur de votre front...
Page 82 - Otaïti a perdu ses danses , ses chœurs , ses mœurs voluptueuses. Les belles habitantes de la nouvelle Cythère, trop vantées peut-être par...