Petit musée de littérature française. Gems of French literature in prose and verse, with notices by m. Le Page, Volume 2A P Le Page 1864 |
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Page 12
... crainte du tonnerre Dont il menace les humains ; Mais parce que sa gloire en merveilles abonde , Et que tant de beautés qui reluisent au monde , Sont les ouvrages de ses mains . Sa providence libérale Est une source générale Toujours ...
... crainte du tonnerre Dont il menace les humains ; Mais parce que sa gloire en merveilles abonde , Et que tant de beautés qui reluisent au monde , Sont les ouvrages de ses mains . Sa providence libérale Est une source générale Toujours ...
Page 16
... crainte heureusement déçue . Chi . Allons , quoi qu'il en soit , en attendre l'issue . SCÈNE VI . Le Comte , D. Diègue . Le Comte . Enfin vous l'emportez , et la faveur du roi Vous élève en un rang qui n'était dû qu'à moi ; Il vous fait ...
... crainte heureusement déçue . Chi . Allons , quoi qu'il en soit , en attendre l'issue . SCÈNE VI . Le Comte , D. Diègue . Le Comte . Enfin vous l'emportez , et la faveur du roi Vous élève en un rang qui n'était dû qu'à moi ; Il vous fait ...
Page 35
... crainte de sa mort me fait déjà mourir ; Mon esprit en désordre à soi - même s'oppose ; Je veux , et ne veux pas , je m'emporte , et je n'ose ; Et mon devoir confus , languissant , étonné , Cède aux rébellions de mon cœur mutiné . Tout ...
... crainte de sa mort me fait déjà mourir ; Mon esprit en désordre à soi - même s'oppose ; Je veux , et ne veux pas , je m'emporte , et je n'ose ; Et mon devoir confus , languissant , étonné , Cède aux rébellions de mon cœur mutiné . Tout ...
Page 55
... crainte qu'après moi vous n'eussiez envoyé : Je voulais avoir lieu d'abuser Emilie , Effrayer son esprit , la tirer d'Italie , Et pensais la résoudre à cet enlèvement Sous l'espoir du retour pour venger son amant ; Mais , au lieu de ...
... crainte qu'après moi vous n'eussiez envoyé : Je voulais avoir lieu d'abuser Emilie , Effrayer son esprit , la tirer d'Italie , Et pensais la résoudre à cet enlèvement Sous l'espoir du retour pour venger son amant ; Mais , au lieu de ...
Page 58
... crainte , et je cède à ses larmes , Elle me fait pitié sans me donner d'alarmes , Et mon cœur attendri sans être intimidé N'ose déplaire aux yeux dont il est possédé . L'occasion , Néarque , est - elle si pressante Qu'il faille être ...
... crainte , et je cède à ses larmes , Elle me fait pitié sans me donner d'alarmes , Et mon cœur attendri sans être intimidé N'ose déplaire aux yeux dont il est possédé . L'occasion , Néarque , est - elle si pressante Qu'il faille être ...
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Common terms and phrases
Agamemnon aime âme AMEN CORNER amour Athalie beau Bél bonheur bonté bras cagot Calchas chants charme cher Chimène Chrétien ciel cieux Cinna Clé Clitandre Clytemnestre cœur comédie courroux crime cruel dessein Diègue Dieu dieux discours donne douleur doux Elmire encens enfant enfin époux esprit êtes Euph Euphorbe Fél Félix fille fleurs FRENCH fureur Géronte gloire haine Hélas heureux homme hymen Iphigénie j'ai j'en jamais jour juste l'amour laisse lois madame main malheureux mastiff mérite monsieur mort mourir Mourut Néarque New and Improved Noémi Orgon PAGE'S parle Pauline pensée père pleurs poème Poète Poète dramatique Polyclète Polyeucte Pron qu'un rien Rodrigue rois Rome Ruth sais sang SCÈNE seigneur sentiment seul Sév Sévère sœur soins songe sort souffrir soupirs Stratonice Tartufe temple tragédie trépas triste venger Vêpres Siciliennes vertu veux vœux vois voix yeux zèle
Popular passages
Page 148 - Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois et jamais de repos.
Page 153 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 150 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel : mais quittez ce souci. Les Vents me sont moins qu'à vous redoutables; Je plie , et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin.
Page 164 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir, Et réduisit la muse aux règles du devoir.
Page 155 - LE SAVETIER ET LE FINANCIER. Un savetier chantait du matin jusqu'au soir: C'était merveille de le voir, Merveille de l'ouïr; il faisait des passages, Plus content qu'aucun des sept sages. Son voisin, au contraire, étant tout cousu d'or, Chantait peu, dormait moins encor: C'était un homme de finance.
Page 145 - Hé! bonjour, monsieur du corbeau, Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
Page 171 - En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 145 - LE LOUP ET LE CHIEN. UN loup n'avait que les os et la peau, Tant les chiens faisaient bonne garde. Ce loup rencontre un dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
Page 154 - A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc, prouva par sa harangue Qu'il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable ! Rien que la mort n'était capable D'expier son forfait. On le lui fit bien voir. Selon que vous serez puissant ou misérable, Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Page 56 - Je suis maître de moi comme de l'univers; Je le suis, je veux l'être. 0 siècles ! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire ; Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna, c'est moi qui t'en convie...