 | Félicité Robert de Lamennais - France - 1820 - 550 pages
...l'extrême tendresse pour le malheureux, prétend que le pauvre a besoin du produit d'un travail non interrompu. Je réponds qu'il a encore plus besoin...forces par un labeur sans terme et sans relâche! Cette sorte de pitié , j'en conviens , n'est pas celle qu'inspire la religion : elle ne dispose pas... | |
 | 1820 - 430 pages
...l'extrême len-» dresse pour hmilhenreux , prétend que le pauvre a besoin, du produit d'un travail nop interrompu. Je réponds qu'il a encore plus besoin de principes. Et quelle touchante philautbropie, que celle qui, pour unique secours, offre à Pindipi-iït l'inappréciable liberté... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - Church and state - 1825 - 534 pages
...l'extrême tendresse pour le malheureux i prétend que le pauvre a besoin du produit d'un travail non interrompu. Je réponds qu'il a encore plus besoin...forces par un labeur sans terme et sans relâche! Cette sorte de pitié, j'en conviens, n'est pas celle qu'inspire la religion : elle ne dispose pas... | |
 | Toussaint Gautier - Charities - 1854 - 572 pages
...l'extrême tendresse pour les malheureux , prétend que le pauvre a besoin du produit d'un travail non interrompu. Je réponds qu'il a encore plus besoin...philanthropie que celle qui, pour unique secours, offreà l'indigent l'inappréciable liberté d'épuiser ses forces par un labeur sans terme et sans... | |
 | Toussaint François A. Gautier - 1854 - 580 pages
...l'extrême tendresse pour les malheureux . prétend que le pauvre a befoin du produit d'un travail non interrompu. Je réponds qu'il a encore plus besoin de principes. Et quelle louchante philanthropie que celle qui, pour »nique secours, o/Jreà l'indigent l'inappréciable liberté... | |
 | 1855 - 974 pages
...l'extrême tendresse pour le malheureux, prétend que le pauvre a besoin du produit d'un travail non interrompu ; je réponds qu'il a encore plus besoin...secours, offre à l'indigent l'inappréciable liberté de dépenser ses forces par un labeur sans terme et sans relâche ! » L'examen de l'exposition de... | |
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La philosophie, dont on connoît l'extrême tendresse pour le malheureux, prétend que le pauvre a besoin du produit d'un travail non interrompu. Je réponds qu'il a encore plus besoin de principes. Et quelle touchante philanthropie , que celle qui ,... 