Lycée, ou Cours de littérature ancienne et moderne, Volume 5F. Didot, 1821 - Bible |
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Page 18
... filles de cette illustre mère , ho- noraient et instruisaient la France : elles ne sont plus ! Et depuis long - temps , toutes les fois que se rencontre sous ma plume quelqu'une de ces innombrables ruines dont nous sommes envi- ronnés ...
... filles de cette illustre mère , ho- noraient et instruisaient la France : elles ne sont plus ! Et depuis long - temps , toutes les fois que se rencontre sous ma plume quelqu'une de ces innombrables ruines dont nous sommes envi- ronnés ...
Page 104
... fille à peine au sortir de l'enfance . Ta douleur , Dupérier , sera donc éternelle , Et les tristes discours Que te met en l'esprit l'amitié paternelle , L'augmenteront toujours . Observons d'abord le choix du rhythme : ce petit vers ...
... fille à peine au sortir de l'enfance . Ta douleur , Dupérier , sera donc éternelle , Et les tristes discours Que te met en l'esprit l'amitié paternelle , L'augmenteront toujours . Observons d'abord le choix du rhythme : ce petit vers ...
Page 171
... fille d'Asdrubal , Sophonisbe , et son vieux mari , Sy- phax , qui a surpris une lettre qu'elle écrit à Massinisse . Ce prince , allié des Romains , et à qui Sophonisbe a été fiancée autrefois sans l'avoir jamais vu , est alors devant ...
... fille d'Asdrubal , Sophonisbe , et son vieux mari , Sy- phax , qui a surpris une lettre qu'elle écrit à Massinisse . Ce prince , allié des Romains , et à qui Sophonisbe a été fiancée autrefois sans l'avoir jamais vu , est alors devant ...
Page 185
... fille , contre le tyran qui vient de condamner l'inno- cence ; mais , dans la crainte qu'on ne la soup- çonne elle - même de complicité dans la prétendue trahison de Mariamne , elle attend au passage cette infortunée que l'on mène au ...
... fille , contre le tyran qui vient de condamner l'inno- cence ; mais , dans la crainte qu'on ne la soup- çonne elle - même de complicité dans la prétendue trahison de Mariamne , elle attend au passage cette infortunée que l'on mène au ...
Page 189
... que nous avons vu de la pièce de Mairet . Est - ce bien la fille d'Asdrubal , l'épouse de Syphax , cette reine que l'histoire nous représente si fière et si sensible , et qui accepta du poison de COURS DE LITTÉRATURE . 189.
... que nous avons vu de la pièce de Mairet . Est - ce bien la fille d'Asdrubal , l'épouse de Syphax , cette reine que l'histoire nous représente si fière et si sensible , et qui accepta du poison de COURS DE LITTÉRATURE . 189.
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Common terms and phrases
Achille Acomat acte Agamemnon aime amant amour Andromaque Aricie assez Atalide Bajazet beau beautés Bérénice Britannicus Burrhus Calchas caractère Chimène chose Cinna Clytemnestre cœur Corneille Cours de Littérature crime d'Acomat d'Ériphile d'Hippolyte d'Iphigénie défauts déja dieux dire doit Émilie ennemis époux Euripide eût Félix fille fils François Ier frère fureur génie gloire goût grace Grecs hémistiche Hermione héros heureux Hippolyte homme Horaces idées Iphigénie j'ai jamais jour l'amour l'art l'auteur l'autre l'esprit laisse langage long-temps malheureux Mariamne Marot ment mérite Mithridate Monime mort Narcisse NÉARQUE Néron Osmin ouvrages par-tout paraît parler passion pensée père personnages Phèdre pièce pleurs poésie poëte poétique Polyeucte premier prince Pyrrhus qu'un Racine raison reproche reste rien rôle Romains Rome Ronsard Roxane s'il sang scène seigneur semble Sénèque sentiment serait Sertorius seul siècle Sophonisbe sort spectateur style sublime sujet sultane sur-tout talent théâtre Thésée tion tragédie tragique veut Voilà Voltaire yeux
Popular passages
Page 535 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
Page 140 - Ce style figuré dont on fait vanité Sort du bon caractère et de la vérité ; Ce n'est que jeu de mots, qu'affectation pure, Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
Page 398 - Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux , ce bûcher, cette nuit enflammée , Ces aigles , ces faisceaux , ce peuple , cette armée , Cette foule de rois , ces consuls , ce sénat , Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat -, • Cette pourpre , cet or , que rehaussait sa gloire , Et ces lauriers encor témoins de sa victoire ; Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards ; Ce port majestueux, cette douce présence...
Page 428 - Consultez ces héros que le droit de la guerre mena victorieux jusqu'au bout de la terre : libres dans leur victoire, et maîtres de leur foi, l'intérêt de l'état fut leur unique loi ; et d'un trône si saint la moitié n'est fondée que sur la foi promise et rarement gardée. Je m'emporte, seigneur...
Page 229 - D'une simple vertu c'est l'effet ordinaire, Mille déjà l'ont fait, mille pourraient le faire ; Mourir pour le pays est un si digne sort, Qu'on briguerait en foule une si belle mort. Mais vouloir au public immoler ce qu'on aime, S'attacher au combat contre un autre soi-même, Attaquer un parti qui prend pour défenseur...
Page 107 - L'âge insensiblement nous conduit à la mort ; Nous avons assez vu sur la mer de ce monde Errer au gré des flots notre nef vagabonde ; Il est temps de jouir des délices du port.
Page 104 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 108 - Dont l'inutile soin traverse nos plaisirs ; Et qui, loin retiré de la foule importune, Vivant dans sa maison, content de sa fortune, A, selon son pouvoir, mesuré ses désirs...
Page 398 - Tous ces yeux qu'on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides regards ; Ce port majestueux, cette douce présence. Ciel ! avec quel respect et quelle complaisance Tous les cœurs en secret l'assuraient de leur foi ! Parle : peut-on le voir sans penser, comme moi, Qu'en quelque obscurité que le sort l'eût fait naître, Le monde en le voyant eût reconnu son maître?
Page 380 - NARCISSE. Seigneur, j'ai tout prévu pour une mort si juste; Le poison est tout prêt. La fameuse Locuste A redoublé pour moi ses soins officieux : Elle a fait expirer un esclave à mes yeux ; Et le fer est moins prompt pour trancher une vie, Que le nouveau poison que sa main me confie.