Du Pape, avec un Discours préliminaire, Volume 2 |
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Adrien IV Amphictyons anglais anglicane avaient bataille de Lépante calviniste catholique CHAP CHAPITRE chose chrétiens christianisme civilisation clergé concile crimes Cyrille et Méthode déclare déposer Dieu dire divine dogmes doute ecclésias églises photiennes églises séparées électeurs empereurs ennemis état européenne évan évêques excommunié fameux force Frédéric gouvernement Grèce grecque Grégoire Grégoire VII Guelfes guerre Henri Hist hommes humain ibid incontestable Innocent III jamais jugement juste justice l'Eglise l'église anglicane l'empereur l'empire l'Europe l'homme l'orgueil l'unité l'univers légitime Lettres sur l'histoire lois mahométisme malheur ment mœurs monarchie n'ont n'y a rien nable nations nommer orthodoxe Pape parle partout peuples Philippe de Souabe Photius politique préjugés prêtre princes principe protestantisme protestants puissance qu'un raison rascolnic règnes religieuse Religion rois romaine Rome russe s'il sacerdoce Saint-Siége sainte sait schisme science sectes serait serment de fidélité seul souve Souverain Pontife souveraineté sujets suprématie surtout temporelle tion trône universelle vérité Voltaire XVIe siècle
Popular passages
Page 7 - C'est un usage antique et sacré parmi nous : Quand la mort sur le trône étend ses rudes coups, Et que du sang des rois, si cher à la patrie, Dans ses derniers canaux la source s'est tarie, Le peuple au même instant rentre en ses premiers droite; II peut choisir un maître, il peut changer ses lois.
Page 238 - Un vaisseau qui fend les eaux laisse moins de traces de son passage , et nul trône de l'univers ne porta jamais autant de sagesse, de science et de vertu. Au milieu de tous les bouleversements imaginables , Dieu a constamment veillé sur toi , ô VILLE ÉTERNELLE ! Tout ce qui pouvait t'anéantir s'est réuni contre toi , et tu es debout ; et comme tu fus jadis le centre de l'erreur, tu es depuis dix-huit siècles le centre de la vérité.
Page 11 - Ces premiers Pontifes, en ne se mêlant des querelles temporelles que pour les apaiser, en avertissant les rois et les peuples de leurs devoirs, en reprenant leurs crimes, en réservant les excommunications pour les grands attentats, auraient toujours été regardés comme des images de DIEU sur la terre.
Page 11 - L'intérêt du genre humain demande un « frein qui retienne les souverains, et qui mette « à couvert la vie des peuples : ce frein de la « religion aurait pu être , par une convention « universelle, dans la main des Papes. Ces pre...
Page 67 - C'est une opinion commune aux hommes de tous les temps , de tous les lieux et de toutes les religions qu'il ya dans la CONTINENCE quelque chose de céleste qui exalte l'homme et le rend agréable à la Divinité; que par une conséquence nécessaire , toute fonction sacerdotale , tout acte religieux, toute cérémonie sainte, s'accorde peu ou ne s'accorde point avec le mariage.
Page 213 - Église romaine, puisse-je m'oublier moi-même! que ma langue se sèche et demeure immobile dans ma bouche, si tu n'es pas toujours la première dans mon souvenir, si je ne te mets pas au commencement de tous mes cantiques...
Page 16 - ... qu'on puisse citer de la* part des Papes agissant sur le pouvoir temporel , attaquaient toujours une souveraineté élective ; c'est-à-dire une demi-souveraineté à laquelle on avait sans doute le droit de demander compte , et que même on pouvait déposer s'il lui arrivait de malverser à un certain point.
Page 127 - Romain. Le courage des premiers âges de la république revivait » en lui dans un temps de lâcheté...
Page 113 - C'est en vain qu'ils s'agiteront sous une main arbitraire ; c'est en vain qu'ils s'élanceront sur les traces des nations ennoblies, ignorant qu'avant de faire des lois pour un peuple, il faut faire un peuple pour les lois. Tous les efforts seront non seulement vains, mais funestes ; nouveaux Ixions, ils irriteront Dieu, et n'embrasseront qu'un nuage.
Page 97 - ... arrogant, avec leur rage de chicane et d'intolérance, ils ne savent plus ce qu'ils croient ni ce qu'ils veulent ni ce qu'ils disent. Je ne les vois plus que comme de mauvais...