Magasin pittoresque, Volume 12Aux Bureaux d'Abonnement et de Vente, 1844 - France |
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aérostat animaux Armoises arriva assez avaient ballon bâtiments beau bois Bourgogne et Martinet BUREAUX D'ABONNEMENT c'était Charles Charles IX château cheval chose cœur Comacchio comte corde costume côté d'or dessin devant Dieu donner élevé enfants enfin époque femmes fille forme François Ier galerie gens goût habitants hauteur Henri Henri IV HISTOIRE DU COSTUME hommes Imprimerie de Bourgogne Indiens j'ai jeune jour jusqu'à l'église l'empereur l'un laisser Louis Louis XIV main maison maître marbre Maroc Mazarin ment mètres Michel-Ange milieu mille Mingwé monde monsieur montagnes Montbenoît monument mort Mostaganem n'avait Noiraud nombre passer pauvre pays peinture pendant père petits peuple Philibert Delorme pieds pierre place Pnyx poëte porte premier présente presque prince qu'un regard règne Renardeau reste rien rue des Petits-Augustins rue Jacob s'écria s'était saint salle sapin blanc semble sentiment serait seul soleil sorte tableau tamanoir terre tête tion Tollar trouve Valbois vent
Popular passages
Page 184 - Je l'écoute, je le conseille, je le secours, je le plains. Mon âme ne s'est point endurcie; ma tête ne s'est point relevée. Mon dos est bon et rond, comme ci-devant. C'est le même ton de franchise ; c'est la même sensibilité. Mon luxe est de fraîche date, et le poison n'a point encore agi.
Page 211 - A mesure qu'on a plus d'esprit, on trouve qu'il ya plus d'hommes originaux. Les gens du commun ne trouvent pas de différence entre les hommes.
Page 346 - Bientôt les aquilons Des dépouilles des bois vont joncher les vallons : De moment en moment la feuille sur la terre En tombant interrompt le rêveur solitaire. Mais ces ruines même ont pour moi des attraits. Là, si mon cœur nourrit quelques profonds regrets...
Page 70 - ... on se corrige quelquefois mieux par la vue du mal que par l'exemple du bien ; et il est bon de s'accoutumer à profiter du mal, puisqu'il est si ordinaire, au lieu que le bien est si rare.
Page 183 - ... de ma plume, elle présentait le flanc. On y voyait tracés en longues raies noires les fréquents services qu'elle m'avait rendus. Ces longues raies annonçaient le littérateur, l'écrivain, l'homme qui travaille. A présent, j'ai l'air d'un riche fainéant; on ne sait qui je suis. Sous son abri, je ne redoutais ni la maladresse d'un valet, ni la mienne, ni les éclats du feu, ni la chute de l'eau. J'étais le maître absolu de ma vieille robe de chambre ; je suis devenu l'esclave de la nouvelle.
Page 94 - Ah! madame, répliquai-je, ne vous découragez pas. Les horloges les plus communes et les plus grossières marquent les heures ; il n'ya que celles qui sont travaillées avec plus d'art qui marquent les minutes. De même les esprits ordinaires sentent bien la différence d'une simple vraisemblance à...
Page 32 - Gassendi à se charger de l'instruire. Gassendi ayant démêlé de bonne heure le génie de Poquelin, l'associa aux études de Chapelle et de Bernier. Jamais plus illustre maître n'eut de plus dignes disciples. Il leur enseigna sa philosophie...
Page 183 - L'encre épaissie refusait-elle de couler de ma plume, elle présentait le flanc. On y voyait tracés en longues raies noires les fréquents services qu'elle m'avait rendus. Ces longues raies annonçaient le littérateur, l'écrivain, l'homme qui travaille.
Page 182 - Enfin, il s'y résolut, à la prière de gens très considérables ; mais aussi, le jour qu'on lui apporta le premier exemplaire imprimé de son livre , savez-vous ce qu'il fit? Il mourut.
Page 182 - Saint-Denis de loin ; on lui demandera s'il croit que SaintDenis soit habité comme Paris. Il répondra hardiment que non ; car, dira-t-il, je vois bien les habitants de Paris, mais ceux de Saint-Denis je ne les vois point ; on n'en a jamais entendu parler.