| Théodore Jouffroy - Ethics - 1842 - 514 pages
...questions les plus vivantes et les plus pratiques, ce n'était rien à mes yeux. Je ne pouvais i-evenir de mon étonnement qu'on s'occupât de l'origine des...qu'on eût dit que toute la philosophie était là. Encore si, pour consoler et rassurer ceux qu'on enfermait ainsi dans une aride et étroite question,... | |
| Marie-Stanislas Rattier - 1843 - 482 pages
...philosophie aux questions les plus vivantes et les plus pratiques, ce n'était rien a mes yeux.... Je ne pouvais revenir de mon étonnement qu'on s'occupât...l'homme, Dieu, le monde et les rapports qui les unissent à l'énigme du passé , et les mystères de l'avenir, et tant de problèmes gigantesques sur lesquels... | |
| M.A. BONNETY - 1843 - 496 pages
...autres, s'épuisait à montrer que M. Royer-CoUard avait raison et Condillac tort. C'était là tout Je ne pouvais revenir de mon étonnement qu'on s'occupât...toute la philosophie était là, et qu'on laissât de calé l'homme, Dieu, lemonde, et les rapports qui les unissent, et l'énigme du passé, et les mystères... | |
| Pierre Leroux - 1843 - 166 pages
...censure a toléré ce langage, elle a été bienveillante jusque là ; mais quand Jouffroy ajoute : « Je ne pouvais revenir de mon étonnement qu'on s'occupât...» que toute la philosophie était là , ET QU'ON LAISSAT DE CÔTÉ » L'HOMME , DIEU, LE MONDE , ET LES RAPPORTS QUI LES UNISSENT A L'É» NIGME DU... | |
| Catholic Church and philosophy - 1843 - 498 pages
...tort. C'était là tout»... Je ne pouvais revenir de mon étonnement qu'on s'occupât de l' origine des idées avec une ardeur si grande qu'on eût dit que toute la philosophie était là. et îjui.ni laissât de côté l'homme, Dieu, lentonde,et Its rapports qui les unissent, et l'énigme... | |
| Auguste Nicolas - 1845 - 572 pages
...philosophie aux questions les plus vi» vantes et les plus pratiques , ce n'était rien à mes » yeux. . . Je ne pouvais revenir de mon étonnement » qu'on...une » ardeur si grande qu'on eût dit que toute la philo» sophie était là, et qu'on laissât de côté l'homme, » Dieu, le monde, et les rapports... | |
| Jean Jacques Auguste Nicolas - 1849 - 552 pages
...philoso» phieaux questions les plus vivantes et les plus pratiques, ce n'était rien » à mes yeux... je ne pouvais revenir de mon étonnement qu'on s'occupât...l'origine des idées avec une ardeur si grande qu'on eut dit que toute » la philosophie était là, et qu'on laissât de côté l'homme, Dieu, le monde,... | |
| Joseph Ferari - 1849 - 184 pages
...méthode et avec de la métaphysique. '< Je ne pouvais revenir de mon étonne» ment, poursuit Jouffroy, qu'on s'occupât de l'origine des » idées avec une...qu'on eût dit que toute » la philosophie était 1à. Encore si, pour consoler et ras» surer ceux qu'on enfermait ainsi dans une aride et étroite... | |
| Jean Jacques Auguste Nicolas, Auguste Nicolas - Poor - 1852 - 636 pages
...de ce pauvre Jouffroy, se repliant plus tard sur elle-même, avait donc bien raison de s'écrier : «Je ne pouvais revenir de mon étonnement, qu'on...philosophie était là, « et qu'on laissât de côté Fhomme, Dieu, le monde et « les rapports qui les unissent à l'énigme du passé, et « les mystères... | |
| Auguste Nicolas - Poor - 1852 - 628 pages
...tard sur elle-même, avait donc bien raison de s'écrier : «Je ne pouvais revenir de monétonnement, qu'on « s'occupât de l'origine des idées avec une...qu'on laissât de côté l'homme, Dieu, le monde et a les rapports qui les unissent à l'énigme du passé, et « les mystères de l'avenir, et tant de... | |
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