 | Théodore Jouffroy - Ethics - 1842 - 514 pages
...paisible édifice de la religion qui m'avait recueilli à ma naissance , et à l'ombre duquel ma première jeunesse s'était écoulée, j'avais entendu le vent...les murs et l'ébranlait jusque dans ses fondements. Ma curiosité n'avait pu se dérober à ces objections puissantes semées comme la poussière dans... | |
 | Marie-Stanislas Rattier - 1843 - 482 pages
...durable, et le jour était venu où du sein de ce paisible édiflce de la religion qui m'avait accueilli à ma naissance, et à l'ombre duquel ma jeunesse...les murs et l'ébranlait jusque dans ses fondements. Ma curiosité n'avait pu se dérober à ces objections puissantes semées comme la poussière dans... | |
 | Pierre Leroux - 1843 - 166 pages
...édi» fice de la religion quj m'avait recueilli à ma naissance, et à » l'ombre duquel ma première jeunesse s'était écoulée , j'avais » entendu le...murs » et l'ébranlait jusque dans ses fondements. Ma curiosité n'avait » pu se dérober à ces objections puissantes, semées, comme la » poussière,... | |
 | Théodore Combalot - Catholic universities and colleges - 1844 - 208 pages
...paisible édifice de la religion qui m'avait recueilli à ma naissance, et à l'ombre duquel ma première jeunesse s'était écoulée, j'avais entendu le vent...les murs et l'ébranlait jusque dans ses fondements. « Ma curiosité n'avait pu se dérober à ces objections puissantes semées comme la poussière dans... | |
 | Auguste Nicolas - 1845 - 572 pages
...durable , et le jour était » venu où , du sein de ce paisible édifice de la Re» ligion qui m'avait recueilli à ma naissance, et à » l'ombre duquel ma jeunesse s'était écoulée , j'a» vais entend u -le vent du doute qui de toutes parts » en battait les murs et l' ébranlait... | |
 | Académie nationale de Reims (France) - Reims (France) - 1849 - 536 pages
...de la religion qui m'avait recueilli à » ma naissance , et à l'ombre de laquelle ma paisible » jeunesse s'était écoulée , j'avais entendu le vent...murs et » l'ébranlait jusque dans ses fondements. Ma curio» site n'avait pu se dérober à ces puissantes objec« lions semées comme la poussière... | |
 | Jean Jacques Auguste Nicolas - 1849 - 552 pages
...l'ombre duquel ma jeu» uesse s'était écoulée, j'avais entendu le veut du doute qui de tontes » parts en battait les murs, et l'ébranlait jusque...divinité du christianisme une fois mise en doute aux yeux de ma » raison, elle avait senti trembler dans leur fondement toute* tes eonvic» lions... C'est... | |
 | Henri-Joseph Icard - Catechetics - 1853 - 466 pages
...durable, et le jour était venu » où, du sein de ce paisible édifice de la Religion qui » m'avait recueilli à ma naissance, et à l'ombre duquel » ma jeunesse s'était écoulée, j'avais entendu lèvent du ' doute qui de toutes parts en battait les murs et 1'1'branlait jusque dans ses fondements.... | |
 | Hippolyte Taine - Philosophy, French - 1857 - 388 pages
...paisible édifice de la religion qui m'avait recueilli à ma naissance, et à l'ombre duquel ma première jeunesse s'était écoulée, j'avais entendu le vent...les murs et l'ébranlait jusque dans ses fondements. Ma curiosité n'avait pu se dérober à ces objections puissantes , semées comme la poussière dans... | |
 | Louis François Jéhan - 1863 - 912 pages
...fut durable; et le jour était venu où, du scinde ce paisible édifice de la religion qui m'avait recueilli à ma naissance, et à l'ombre duquel ma...doute qui de toutes parts en battait les murs, et ('ébranlait jusque dans ses fondements. « En \ainje m'attachais à ces croyances dernières, comme... | |
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Mais, dans le temps où j'étais né, il était impossible que ce bonheur fût durable; et le jour était venu où, du sein de ce paisible édifice de la religion qui m'avait recueilli à ma naissance et à l'ombre duquel ma... 
